Nuit blanche

Nuit infernale plutôt que nuit blanche ! Julie, Malee, Chloé et Yazid se retrouvent obligés de faire une garde supplémentaire car une tempête les empêche de sortir de l'hôpital. Et là les catastrophes s'enchainent : un premier patient décède, puis un deuxième puis un dangereux criminel sort du coma, les victimes continuent de s'enchainer à un rythme infernal.
J'ai beaucoup aimé, des personnages bien affirmés, des rebondissements à foison (un peu trop des fois !)
Un excellent premier roman, cela promet pour la suite que je vais n'empresser de dénicher.

Pour un premier roman, l'auteur nous propose un thriller prenant en huis clos.

Une nuit à l'hôpital ou une nuit en enfer, mais je vous rassure sans vampires.
On va suivre Julie, interne en médecine, de garde cette nuit-là, une tempête très violente fait rage et va condamner le personnel et les soignants à l'intérieur de l'hôpital.

Une nuit qui aurait pu être classique sauf qu'a été transféré plus tôt dans la soirée un homme mystérieux, considéré comme dangereux, pourtant il est dans le coma...

De là, entre les conditions climatiques, l'entente entre les soignants et le transféré, l'ambiance devient vite anxiogène et le suspense monte crescendo.
C'est pour moi un gros point fort du livre, l'auteur arrive à garder ce rythme et son intrigue jusqu'à la fin.

Le mystère autour du patient dont je tairai le nom est bien mené et j'ai aimé la construction narrative de ce livre, là également je ne développerai pas car c'est très intéressant de découvrir soi-même.

J'ai dans l'ensemble passé un bien bon moment de lecture, je n'ai pas vu défiler les 450 pages.

En revanche j'ai quelques réserves.
Il s'agit d'une fiction, et d'un premier roman donc les petites choses un peu tirées par les cheveux par moments ne m'ont pas trop dérangée.
Mais j'ai eu plus de mal avec les personnages.
Je les ai trouvés un peu caricaturaux. On retrouve l'archétype des soignants (vus par les gens car heureusement ils ne sont pas tous ainsi), j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour eux et leurs nombreuses disputes étaient agaçantes.

Cela reste pour moi une chouette découverte et je n'oublie pas que l'on parle d'un premier livre qui pour moi est déjà très abouti.

Premier roman de Nicolas Druart pour moi. J'ai adoré ce huis clos très prenant, le rythme de la narration, les fausses pistes, les doutes. J'ai trouvé certains personnages très attachiants. J'adhère moins au côté Hypnose et paranormal mais c'est très personnel.

Julie, toulousaine, est interne dans un hopital paumé en pleine campagne. Ce soir il est même coupé du monde suite à un éboulement de terrain dû à de nombreuses pluies. En pleine tempête, avec des orages, Julie et ses collègues vont accueillir un nouveau patient, transféré car atteint de malaria et dans le coma. Ce n'est pas un simple patient, c'est un détenu de la prison de Cadillac en Gironde où sont emprisonnés les prisonniers les plus durs et dangereux.
Whaou, un huis clos hyper addictif mais surtout très angoissant.
J'ai eu peur un soir en lisant, je me disais qu'il fallait que je continue pour que ça soit moins flippant mais c'était pire, plus on avance et plus j'avais la frousse… bref impossible de m'endormir !
C'est un super thriller avec beaucoup de suspense.
J'aime beaucoup le style et l'écriture de l'auteur.
J'ai eu un coup de coeur pour L'enclave et j'ai du mal à les départager, ils sont aussi bons l'un que l'autre.
Si tu n'as pas eu peur devant le silence des agneaux et Hannibal Lecter, que tu aimes les thrillers et les huis clos, fonce

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Le récit se déroule à l'hôpital de Saint Florentin sur Lot durant une tempête qui isole ce dernier du monde extérieur.
Juste avant cet épisode apocalyptique Julie interne de garde de Médecine Interne accueille un patient de psychiatrie dans le coma extrêmement dangereux, escorté malgré son état par les gendarmes pour une maladie bien étrange pour un patient dans le coma : le paludisme.
Depuis son arrivée plus rien ne tourne rond et memes plusieurs meurtres sont perpétrés dans ce quasi huis clos angoissant qu'est devenu l'hôpital au cours de cette intempérie d'une violence inouïe.
Julie, interne de garde donc et fille du Commissaire Divisionnaire à la retraite décide de prendre les choses en main et de mener son enquête pour démasquer le meurtrier.
J'ai été agréablement surprise par l'épilogue que j'ai trouvé intéressant et inattendu. J'ai moins aimé les dialogues et ai trouvé quelques longueurs.

Hopital de Saint-Florentin-sur-Lot
Julie infirmière espère que cette nuit de garde se passera sans encombre et très tranquillement…
Évidemment, non…
On est dans un thriller, ça ne pouvait pas se passer ainsi.

L'arrivée d'Archibald Tourmenteur, cet homme réputé dangereux arrive encadré par 2 gendarmes.
Il est transféré d'un hôpital psychiatrique dans le service où travaille Julie, il est atteint de la malaria…
Dangereux ?
Mais il est dans le coma depuis des mois !

Des faits curieux se produisent durant cette nuit blanche et surtout des meurtres atroces…

Coupés du monde, car en pleine tempête, Julie est obligée de mener seule sa petite enquête pour trouver parmi le personnel ou les patients qui peut être coupable

Ce huis-clos qui se veut angoissant est addictif grâce aux chapitres courts.
L'ambiance est malsaine,
Tout les personnages sont suspects,
Les meurtres sont effroyables et
La panique monte très rapidement entre eux.
Le personnel s'interroge, ils se suspectent tous les uns, les autres
Et le comateux semble ne pas rester inerte,
Bizarre…
Ce thriller qui se déroule sur une nuit est très bien réussi car le meurtrier est assez inattendu quand les langues se dénouent.

Même si l'histoire est peu plausible. C'est encore une fois une très belle réussite ce roman de cet auteur qui, comme à chaque fois, a su me surprendre.

Et voilà les filles, il ne nous reste plus que « l'instinct » à lire de l'auteur et la boucle sera bouclée en attendant une prochaine sortie.

Cette nuit de garde à l'hôpital de Saint-Florentin-sur-Lot Julie et son équipe s'en souviendront longtemps ! Et pour cause, une tempête se déchaîne dans le département coupant tous moyens de communication avec l'extérieur. Bien sûr, cette nuit ne sera pas aussi tranquille que les précédents...

J'ai apprécié retrouver la plume de Nicolas Druart en lisant ici son premier roman que j'ai trouvé assez abouti. Étant peureuse, j'avoue avoir lu surtout en pleine journée, car sinon j'avais peur de passer la nuit à faire des cauchemars 😂

Sans lire un roman d'horreur, il est très facile de partir dans la psychose. J'ai adoré voir à quel point le cerveau peut nous jouer des tours lorsque nous sommes dans un environnement angoissant. Ici Nicolas Druart a réussi son pari car je n'ai rien vu venir.

J'espère ne jamais vivre une tempête si jamais je suis hospitalisée sinon je risque de penser à ce livre et me rappeler tous les films que je m'étais fait 😂

Même si Saint-Florentin-sur-Lot est un lieu sortant de l'imagination de l'auteur, j'ai toujours un grand plaisir à retrouver avec une certaine nostalgie mon sud natal dans les pages de ses livres. Je tiens à vous en remercier Nicolas ❤

Un hôpital oublié dans une ville isolé à Saint-Florentin-sur-Lot.
La nuit du 15 avril va être longue, très longue, pour Julie une interne en médecine. Un nouveau patient transféré de l'hôpital psychiatre, dans le coma depuis des mois et contaminé par la Malaria, un homme extrêmement dangereux même dans son état. Pour couronner le tout, c'est le déluge sur la ville, toutes les routes sont bloquées par la crue et les tempêtes de vent ne font qu'endommager l'hôpital avec les coupures de courant et réseau qui vont avec.

Un huis clos oppressant dans cet hôpital où le personnel est épuisé par leur journée et enchaîne une nuit sans aucun repos.
L'auteur sait de quoi il parle, voici un semblant du quotidien du personnel médical.
L'atmosphère est flippante, des morts inexpliquées depuis l'arrivée de ce nouveau patient. Archibald Tourmenteur, est un homme qui a fait des milliers de victimes. Julie va découvrir son dossier médical, l'auteur nous retranscrit au fur et à mesure la vie d'Archibald raconter à son psychologue, la terreur au fils des pages s'accentue.
Une équipe d'infirmières et d'aide-soignant qui deviennent suspects aux yeux de Julie, à qui faire confiance, le doute et la paranoïa s'installe face à tous les événements qui s'accumulent.
L'auteur nous décrit à merveille l'ambiance, une plume fluide mais incroyablement immersive, mon cerveau était littéralement dans les couloirs lugubres de l'hôpital et ses cadavres. Des protagonistes arrogants, dépressif et suicidaire un bon combo.
Tout est orchestré avec brio pour maintes réflexions, j'ai suspecté la bonne personne, mais ce n'était clairement pas évident.
Un page-turner, l'histoire est complètement addictive avec de nombreux rebondissements, je vous conseille de le lire à la nuit tombée pour vivre l'histoire à son maximum.
Un roman de plus de quatre cents pages pour exprimer une seule nuit cauchemardesque, l'auteur est brillant, aucune longueur.
Un final à glacer le sang, soyez prêt pour la dernière phrase, l'auteur aime nous faire flipper jusqu'à son dernier mot.
Une lecture géniale.

Addictif , vous le commencez vous ne le lâchez plus. unité de lieu: un hôpital
emprisonné au milieu de nulle part dans le fin fonds du LOT par une tempête énorme qui neutralise toutes les communications; unité de temps: toute une nuit pour 1 interne et trois aides soignants et un veilleur de nuit + les patients ,des personnes âgées et des malades , un coma ; unité d'action un meurtrier évolue dans ce bâtiment de 3 étages semant morts et soupçons dans l 'équipe de nuit….
Quelques grosses ficelles mais que l 'on se plait a négliger,très bien mené un mode opératoire , que je n'avais encore pas lu (futé)
l'auteur nous embarque dans cette nuit blanche et on en ressort lessivé avec un petit switch de fin bien sympathique.

Qu'en un lieu, en un temps, plusieurs crimes perpétrés tiennent jusqu'à la fin
le lecteur assidu.
Consignes respectées.
Un hôpital du Lot accueille celui qui pourrait être le cousin d'Hannibal Lecter un soir d'orage xxl .
Archibald Tourmenteur, c'est son nom, est obsédé par" les mots qui tuent"
Un jour enfant, dans le square de l'oiseau lunaire il a vu un homme en tuer un autre à coups de mots.
L'intrigue est bien emballée .
Druart semble obsédé par les chaussures de ses personnages. C'est peut-être là un atelier mémoire pour ses lecteurs....
D'ailleurs qui a des crocs roses?
Agréable sans être peut être inoubliable.