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De grandes emphases !! Une apologie de l'eau comme force de la nature.| C'est la découverte d'un codex écrit il y a longtemps par des sages anciens et qui refermerait un grand pouvoir | Un genre d'enseignement au Taoïsme/Guilde des ombres ... |Une scène d'exposition plutôt longue!!|Le livre n'est pas du tout ce qu'il semblait être au premier abord !!|Un récit assez classe !|"Une goute d'amour peut guérir un océan de solitude" ...
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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Un livre tendre, poétique, philosophique, de très belles descriptions sur la nature.
C'est un livre court 160 pages mais on prend le temps de déguster ce beau conte.
La belle couverture orangée m'a attiré malgré que je lis sur liseuse, le mélange des deux continents m'a séduite.
Je le surnommerai "l'orphelin" puisqu'il n'a pas de prénom. Sa grand-mère décèdera lors de la mise au monde de sa mère Yunhe qui l'éleva avec beaucoup de courage malgré la réprobation générale. A cette époque une fille-mère c'était la honte pour la famille.
Quand il eut 13 ans sa mère mourut à son tour et il vécut avec son grand-père rustre et réservé. Ce dernier voulut lui apprendre à fabriquer des roues de charrette et l'envoyait chercher du bois dans la forêt mais il restait assis à contempler la nature et il se disait : "qu'un arbre était à lui seul l'expression de la dualité des choses terrestres. le tronc était le Yin, le foncé, l'obscur, la fraîcheur, la réceptivité, l'imperméabilité, l'immobilité. Les feuilles étaient le Yang, la luminosité, la fraîcheur, l'élan, le mouvement. L'idée d'en couper le moindre bout me rebutait. " P 14
Bien sur il rentrait les mains vides et son grand-père très en colère le secouait et décida au bout de trois ans malgré ses supplications de le laisser dans un monastère de moines taoïstes.
Il y avait à l'intérieur de cet enfant que tristesse et chagrin, tout ce qu'il voulait c'était un peu d'amour, de tendresse mais le dernier membre de sa famille repartit sans un au revoir et c'était le seul lien avec sa mère disparue.
Il se posait énormément de questions et quand on lui dit que pour devenir moine taoïste il fallait abandonner toute vie normale, j'ai beaucoup aimé sa réflexion : " Je ne pouvais m'empêcher de me demander ce que deviendrait l'arbre auquel on couperait ses racines. Je ne me sentais pas prêt à faire ce choix de renoncement à un monde auquel je n'avais pas encore goûté. J'avais dans la bouche l'amère sensation que l'on y avait renoncé pour moi, sans que j'eusse mon mot à dire. " P 33.
En songeant au fruit qu'un jour sa mère lui avait offert groseille chinoise, kiwi pour nous et qui voyageait beaucoup, il voulait en être un et avant de devenir moine il demanda au maître d'aller voir " l'eau infinie ", l'océan.
Il partit en quête de son moi intérieur, des réponses à sa foi et à toutes les questions qui le hantait.
Je vous le conseille vivement si vous aimez ce genre de livre. J'ai passé un bon moment de douceur.
Bonne lecture à tous.
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C'était en avril dernier au Festival du livre à Paris. Ma rencontre avec Diane Ducret me procure toujours une énorme émotion.

Le dernier livre de cette auteure ; « le maitre de l'Océan », est très différent de ce qu'elle a écrit jusqu'à maintenant.

Nous sommes très loin de son roman fantaisiste et plein d'humour ; « L'homme idéal existe : il est québécois ».
Très loin des livres plus intimes comme « Corpus Equi » ou « La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose ». Très loin du roman historique comme « Les Indésirables ». Très loin aussi des essais et documentaires d'histoire sur des femmes aussi cruelles que leurs maris ou amants-tyrans, comme dans « Femmes de Dictateur », ou les femmes de gangsters comme dans « Lady Scarface »
Nous sommes très loin aussi de son roman d'anticipation « La Dictatrice ».
*

Avec « le maitre de l'Océan », c'est une autre Diane que je découvre, ou à moins que l'auteure fût toujours ainsi et que la « Diane D avant » n'était qu'une carapace ou un nom d'emprunt.
Ce roman est plein de délicatesse, de douceur, de sagesse, de poésie et de réflexions philosophiques.

C'est l'histoire d'un jeune orphelin illettré, qui voudrait suivre l'enseignement d'un maitre taoïste.
Le jeune homme est à la recherche d'un réconfort, d'une sérénité, suite à un événement émotionnel que fut le décès de Yunhe, sa mère.
Est-ce un parcours initiatique ? Pour découvrir son propre Soi, pour apprendre ce qu'est la douleur, le doute, la confusion, mais aussi apprendre la résilience. Pour découvrir que nous avons tous au profond de chacun de nous, cette capacité à nous construire ou nous reconstruire par nous-mêmes.

Est-ce un conte philosophique ? Qui enseigne l'humilité et qui donne la capacité à écouter le monde qui nous entoure, pour pouvoir justement le comprendre, comprendre sa bienveillance et comprendre qu'il est une partie de nous et que nous sommes aussi une partie de lui.

Est-ce une quête vers une guérison ? Où l'orphelin entreprendra de faire un très long voyage, pour répondre au questionnement sur son existence, sur celui des souffrances de son âme. Au questionnement sur sa vie, sur la mort des êtres qu'il a aimé et sur le manque cruel qu'ils ont créé par leur absence.

Et c'est au bout du monde que le jeune garçon ira à la rencontre de l'Océan, un lieu immense par ses étendues d'eau, un lieu vital pour la vie, un lieu presque originel, un lieu de régénérescence.
Et surtout un lieu propice à la méditation, juste bercé par les murmures de l'écume de la mer, juste étourdi par clapotis des vagues que se brisent sur les rochers, juste emporté par le grondement de ses grandes lames vertes bleutées que soulève une tempête.
*

Il se dégage dans le livre de Diane une certaine fragilité, mais à la fois une force, une énergie.
Une fragilité car je sais que mon auteure préférée a eu de gros problèmes de santé, ces deux dernières années.
Et que je fus toujours de tout coeur avec elle.


La force et l'énergie, sont contenues dans le message que Diane semble nous faire passer.
Que rien n'est jamais acquis. Que toutes les choses sont éphémères et ne durent que le temps d'un souffle de vie.
Que c'est à chaque être de trouver en lui-même les ressources nécessaires pour avancer sur son chemin de vie et faire de son mieux.
Qu'il y a toujours un enseignement positif à tirer de nos expériences aussi difficiles et douloureuses qu'elles soient.

Que nous devrons souvent nous arrêter sur ce chemin, pour écouter « sa petite voix ».
Celle qui nous permet de conserver notre équilibre vital. Celle qui nous guide pour rester en harmonie et en amour avec l'univers.
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Voyage épique et aventure par-delà l'océan d'un jeune orphelin depuis sa Chine natale, des Monts Wudang au Mont St Michel.

« Wudang Shan signifie la montagne du Véritable Guerrier. Il y plus de dix siècles vécut un combattant de légende qui se battit pour faire triompher les principes de l'harmonie sur le chaos du monde des hommes. »

Un roman aux airs de conte initiatique, récit onirique où se mêlent spiritualité, quête, philosophie, sagesse et découverte de soi.
« Deux sentiers gravissent la montagne jusqu'au temple d'Or ».
Nous découvrirons quelle Voie sacrée, le jeune orphelin empruntera.
Amené un jour devant le Maître céleste dans un monastère au coeur de la Montagne Sacrée, destiné à devenir moine, des bouleversements intérieurs le remuent.
« - c'est la peur du Wu Ji, me dit le Maître,
- Qu'est-ce que Wu Ji ?
- le vide. Au début, il peut être effrayant de se retrouver face à soi-même. On est alors comme au milieu d'un torrent, sans musique […]. C'est le stade qui précède la maîtrise de soi. le vide conduit à l'harmonie entre ton corps et ton esprit ».

Sous l'impulsion du Grand Tout qui ordonne, inspiré par une volonté supérieure et le songe de sa mère, le narrateur se sent appelé par l'océan, à travers la pensée omniprésente de sa mère dans son esprit, il va alors entreprendre un incroyable voyage.

Comme dans un voyage intérieur, l'attendent des chemins océaniques bordés de vagues avant d'espérer connaître l'harmonie et atteindre la maîtrise de soi.

A travers l'eau et sa dualité ; une aventure qui le révèlera à lui-même.

« L'océan n'est que vérité en mouvement ».

Une histoire comme un pont entre Orient et Occident, pensée taoïste et références bibliques, au fil des flots et de symbolisme.

« Que sommes-nous face au tumulte formidable et grandiose des éléments, qui obéissent à des lois universelles qui nous dépassent ? »

Océan à la fois yin et yang – Amour originel – Océan et universalité – Goût d'absolu - Vie en mouvements perpétuels – Doutes et consolation.
« Je suis devenu mon propre océan ».
*
Onirique, poétique, je me suis sentie un peu sur le fil durant ma lecture, tanguant entre la sensation d'être emportée par la houle en lâchant prise, ou chavirer au risque de boire la tasse.
Beaucoup de libre interprétation, je reste mitigée mais j'ai globalement apprécié ce roman ; notant de nombreux passages – pensées – bien écrits et pertinents.
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Il vient d'être emmené au temple par le grand-père qui ne sait plus que faire de cet enfant inculte et rêveur. Issu d'une famille de paysans qui avait des rêves de grandeur. Ils avaient décidé de bander les pieds de leur fille, selon cette coutume barbare de la Chine traditionnelle, en espérant ainsi lui voir faire un beau mariage. Les femmes ne pouvant plus marcher seules devaient avoir une maisonnée importante pour s'occuper d'elles. Mais ce n'est pas le chemin qu'elle a suivi, et devenue fille mère, elle a travaillé aux champs, claudiquant sur ses pieds handicapés, après avoir donné naissance à ce fils qu'elle aime tant, mais qu'elle a quitté très jeune.

C'est donc quelque temps après le décès de la mère qu'il entre au temple.
Mais il n'a jamais appris à lire ou à écrire, lui qui est capable de rêver pendant des heures face à la force de la nature, dans les champs, les montagnes, incapable de travailler.
Lorsqu'il arrive au temple, en haut de la plus haute montagne, il se rend compte que c'est en fait l'eau qui l'appelle, l'eau tumultueuse et vivante, vibrante, sans cesse en mouvement.
Alors le maître le laisse partir et apprendre, savoir ce que la mer peut lui donner, lui enseigner par sa force, sa grandeur, sa beauté et sa dureté aussi parfois.

Parti de Chine jusqu'au mont Saint Michel Il va observer, plonger, marcher au bord de l'eau, découvrir les vagues, les éléments déchaînés, les tempêtes, les hommes et les femmes aussi, leur singularité et la sienne, jeune garçon perdu au milieu de ces autres si différents. Et enfin comprendre qui il est, quel est son véritable maître et où est son destin.

Un étonnant roman qui nous parle de taoïsme, de religion, de philosophie, de croyances et de savoir, de recherche sur soi-même, de parcours et d'aboutissement. La mer, ou plutôt l'océan, y a toute sa place, primordiale, vitale, essentielle.
chronique complète en ligne sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2022/04/09/le-maitre-de-locean-diane-ducret/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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Celui qui a gravi les milliers de marches taillées dans la pierre pour monter au Temple d'Or, au sommet des monts Wudang, celui-là sait que cette épreuve est l'allégorie de l'homme nouveau ou de la femme nouvelle qui sera parvenu(e) au terme de l'épreuve. le changement, imperceptible en apparence, sera réel.

Telle est l'expérience vécue par le jeune homme à peine sorti de l'enfance qui aura choisi la montée plus longue, plus lente, au sommet du Wudangshan, délaissant la voie plus rapide et plus aisée qui aurait été possible.

Parvenu au sommet, il fait connaissance avec le Maître céleste au chignon tenu par une épingle surmontée d'une perle de nacre. Que cherche-t-il ? A quelles questions est-il venu chercher des réponses ?
Lui, l'orphelin abandonné par un grand-père qui ne sait que faire de lui. Lui dont la mère Yuhue, a provoqué la mort de sa propre mère lors de sa naissance. Honte de la fille-mère, honte de la nouvelle-née meurtrière, honte de la femme qui retire les bandes de ses pieds torturés pour vivre, enfin.

Nous sommes dans le berceau du taoïsme, dans les monts Wudang, parmi les sommets couronnés de nuages qui cachent le monde « d'en bas ». La ville, en bas, c'est Wuhan, celle dont les journalistes ne parviennent jamais à bien prononcer le nom, la ville où, pour notre époque, a commencé la période COVID.

Mais c'est une autre histoire...

Le jeune apprenti-moine veut trouver les réponses qui lui permettront de comprendre le monde, la vie. Il découvre le Tao, le Grand Tout, l'équilibre parfait, l'impermanence, le non-désir, la place de chaque être animé dans un ensemble immense où tout compte, des plus minuscules des êtres jusqu'aux forces les plus extrêmes.
Chercher sa place,, trouver sa Voie, devenir ce que l'on est : la philosophie taoïste est d'une simplicité apparente extrême et d'une redoutable exigence. Tel sera l'enseignement du Maître à celui qui veut que l'océan lui parle, que la vaste étendue liquide lui apporte les réponses, les chemins, les objectifs. le Maître l'envoie vers son rêve d'océan, en France, au monastère du Mont-Saint-Michel. Et attend de lui qu'il en revienne avec ses réponses.

Il fera beaucoup plus, beaucoup mieux que cela : l'élève-moine aura dépassé le Maître.

Ce livre est une bonne initiation à la pensée taoïste, au chemin que cette philosophie ancestrale ouvre devant des humains éperdus de sens, de désirs de réponses à leurs interrogations. du moins dans toute sa première partie, nourrie de réflexions, d'expériences, de mythes, d'informations sur le monde chinois pénétré de taoïsme. Avoir passé un certain temps dans un temple du Wudangshan, parmi les moines taoïstes, est une expérience unique

Pour ce qui est de la seconde, immersion dans toute l'acception du terme, dans ce que représente l'océan, dans la capacité - ou non - de l'homme à y trouver sa place et son chemin, je serai plus réservée. Certains passages concernant la vague et l'océan m'ont semblé bien longs, un peu faciles, quoique remarquablement bien écrits.

Une belle expérience de lecture.
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Le narrateur (né l'année du cheval dans la province de Hubie) est le fils d'une jeune chinoise prénommée Yunhe, qui l'a conçu à l'âge de seize ans, lors d'une rencontre éphémère avec un soldat de dix-neuf ans. La propre naissance de Yunhe fut – dans son temps – considérée comme « maudite », puisque cela tua sa génitrice … le destin continua dans la même lignée : Yunhe mourut à son tour lorsque notre jeune héros (dont on ne connait pas le nom) atteignit ses treize ans … Il fut élevé par un grand-père totalement incapable de lui apporter la seule chose dont il rêvait (et manquait éperdument) : de l'amour …

Déçu par la maladresse de son petit-fils (à qui il ne parvenait pas à transmettre l'art de son métier) le grand-père décida de le conduire auprès du Maître Céleste, qui commença par lui inculquer les principes des Grands sages (Lao-Tseu, Tchouang-Tseu et Lie-Tseu) afin de faire de lui un bon moine taoïste. le voilà donc plongé dans l'étude du Tao et la découverte du Maître Zhen Wu …

Je ne vous en dirai pas plus : à vous de suivre son étrange périple …

Un très joli conte philosophique autant que poétique, sur la connaissance de soi, l'acceptation de sa part de féminité et/ou de masculinité, et une possible « renaissance » dans la communion avec les éléments qui nous entourent …
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Un livre qui a priori pourrait séduire ceux que l'océan fascine et ceux qui sont avides de spiritualité, de quête de soi ou du sens de la vie. Après tout, l'océan ne détiendrait‐il pas la clé du mystère ? ”Celui qui contemple l'océan s'immerge dans l'image terrestre de l'absolu”.
Un océan qu'un orphelin parcourt de la Chine au Mont Saint-Michel, alliant pensée taoïste et chrétienne, à la découverte de soi et de réponses aux questions existentielles.
Une fois initié par le Maître de l'Océan, la vie peut reprendre son  cours, ” je savais à présent que l'océan ne parle qu'à ceux qui savent se taire et qu'il n'est pas besoin d'aller au bout de la Terre pour écouter la sagesse du monde. le sentiment océanique est la cathédrale de notre coeur. Et une seule goutte d'amour peut guérir un océan de solitude.”
De belles pensées mais des pistes de réflexion qui auraient pu être davantage creusées, rendent ce livre à la fois intéressant et un peu décevant
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Quel plaisir de retrouver la plume de Diane DUCRET après :
Les indésirables, un énorme coup de coeur
La meilleure façon de marcher est celle du flamant rose,
et de découvrir qu'elle puisse s'inviter dans tous les registres littéraires avec talent.
Les contes philosophiques, je les aime pour les messages qu'ils véhiculent.
Là, à travers le parcours initiatique d'une adolescent, l'écrivaine donne à voir la capacité de chacun à prendre son destin à bras le corps, repousser les limites, s'ouvrir au monde.
Le jeune homme est en quête de l'océan, cet élément naturel fantasmé qu'il se fixe comme objectif d'atteindre. Il va ainsi naviguer sur le fleuve Yang Tsé, atteindre Shanghai, monter à bord d'un navire à destination de la Mer Méditerranée pour arriver en France.
Le chemin est semé de belles rencontres. Cette fable, c'est aussi le moyen de se réconcilier avec l'Homme. En pleine Guerre d'Ukraine, qu'il est bon d'imaginer encore pouvoir compter sur de belles âmes.
Mais là où Diane DUCRET excelle, c'est dans le rapport à l'eau, le flux et le reflux, les vagues. Comme j'ai aimé ces passages où l'écrivaine décrit l'apprentissage de l'océan par un adolescent qui a encore tout à apprendre, y compris dans sa confrontation avec Dame Nature.
La métaphore était trop belle avec le coeur de ce récit, la découverte de soi.
Dans une prose un brin mystique traversée par la sagesse maoïste, Diane DUCRET nous fait réfléchir sur notre rapport u monde, notre relation singulière aux autres, la force et la puissance qui en découlent.
La plume est éminemment poétique, tendre et délicate.
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Diane Ducret nous revient avec un roman inspirant et bienfaisant.
Je suis heureuse de retrouver, avec ce livre-ci, l'autrice que j'apprécie, qui nous emmène au loin et dont l'écriture m'avait réjouie. Etes-vous prêt(e)s pour un voyage tout en douceur, une introspection et une recherche du "soi"? Alors embarquez avec notre héros et laissez-vous guider.
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