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sur 2040 notes
Certainement mon préféré de A. Dumas. Il se dévore, avec ce personnage central qui nous entraîne avec lui, les yeux fermés, vers sa vengeance. de l'aventure en veux tu en voilà.
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Le château d'If et l'abbé Faria, premiers héros du Comte de Monte-Cristo participent d'emblée à l'aventure d'abord malheureuse d'Edmond Dantès dont il est possible encore aujourd'hui de voir la cellule au château d'If. L'arrestation du jeune Dantès et la construction de sa relation avec l'abbé constituent des temps très forts de l'oeuvre dans lesquels on sent se dessiner la perspective d'une évasion et une aide à la vengeance par la fortune. L'argent finit effectivement par tout permettre et le trésor caché de Faria ouvrira des perspectives infinies à Dantès, lui permettant de devenir le Comte de Monte-Cristo et d'orchestrer sa vengeance dont la lecture ne m'a pas paru spécialement passionnante. Je préfère de loin les scènes au château d'If et la montée en puissance d'Edmond vers sa stature de Comte.
Un très beau roman d'aventures de Dumas et aussi une leçon sur le pouvoir, l'argent et celles qui gravitent autour de ces deux planètes. L'écriture est très riche, les longues phrases ne rebutent pas et ce livre ne s'oublie jamais.
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Les gens, la vengeance a un nom : Elle s'appelle Edmond Dantès. le gars, il est carrément badass. Si,si. Et moi j'ai kiffé !

Le roman raconte l'histoire d'un jeune homme, notre cher Edmond, donc, à qui le bonheur sourit. Il s'apprête à épouser Mercédes, sa fiancée, et à être nommé capitaine du Pharaon, un navire marchand. Mais voilà, certains ne voient pas d'un bon oeil qu'un jeunot de 19 ans puisse jouir de tant de félicité. Résultat : complots et trahison vont mener Dantès à la prison du château d'If. Plus d'une décennie enfermé, ça laisse le temps de préparer sa vengeance… Et Quand en plus on a l'opportunité de devenir riche, on peut même en faire un plat de luxe. Ce que ne va pas manquer de faire Edmond Dantès.

Une chose est certaine, Alexandre Dumas sait y faire pour tenir son lectorat en haleine. Car de bout en bout, on se laisse prendre par le récit, on se laisse envoûter par le personnage d'Edmond Dantès. Et malgré le fait que nous connaissions pertinemment les auteurs de ses malheurs, le suspens reste entier quant aux châtiments qu'ils vont subir. Quelque part, le lecteur est presque complice de la vengeance infligée par Dantès à ses ennemis. Il faut dire que le personnage est d'un charisme fou, mais sait également cultiver le mystère. Si au tout début, je n'arrivais pas trop à me faire une idée de son caractère, dès son arrivée en prison, j'ai compris que cet homme n'était pas du genre à se s'avouer vaincu. Si ça se trouve, je l'ai même deviné avant lui. Si, si ^^.
Mais si le protagoniste est si bien décrit, c'est aussi parce que les autres personnages sont merveilleusement bien travaillés de la part de l'auteur. J'ai vraiment pris plaisir à suivre le destin de chacun d'entre eux, pour le meilleur ou pour le pire, me demandant ce que Monte-Cristo avait bien pu lui réserver pour anéantir ses ennemis ou au contraire remercier ses amis.

Bon, et si on parlait un peu du vif du sujet : La vengeance ?
Non, parce que comme ça vous pourriez croire que j'étais à fond derrière ce cher Edmond avec ma banderole « Vas-y, bute-les tous ! ». Ouais bah non. Si les choses étaient aussi simple, ce serait bien. Non, en fait ça ne serait pas bien parce que le roman n'aurait certainement pas été aussi prenant. Parce que si au début il est aisé de comprendre cette soif de vengeance, le doute est rapidement de mise quant à la frontière entre cette envie de justice humaine et le fait de se prendre pour un messager de Dieu, un ange de la Miséricorde. Alors oui, parfois j'ai douté du bien-fondé de ses actions, comme lui-même a pu douter de lui-même d'ailleurs. Mais ce qui est étrange, c'est que ce n'était pas forcément au même moment, ni pour les mêmes raisons. A regarder cet homme vouloir agiter chacun de ses ennemis comme de vulgaires marionnettes, j'ai à maintes reprises craint qu'il ne s'emmêle les fils et se perde lui-même. Car oui, sa vengeance il l'a préparée, et il a eu largement le temps pour ce faire. Mais à force d'y consacrer toute son âme, le risque était immense de se faire dévorer.

Au final, le comte de Monte-Cristo est un formidable roman d'intrigue et d'aventure, où rien n'est laissé au hasard, où chaque personnage occupe la place qui lui est destinée, importante ou non ; où l'action attendue ou inattendue se profile à chaque page. Bref, j'ai vogué sur la Méditerranée de surprise en surprise, et de navire en bateau, en direction de la Corse et de l'Italie, en compagnie d'Edmond Dantès. Je n'étais pas toujours d'accord avec ses choix, j'ai souvent eu peur qu'il n'oublie de vivre avant de se venger… Mais j'ai vraiment, vraiment adoré cette aventure.
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Ouf, j'en suis venu à bout !

Bien sûr, c'est un monument de la littérature. Bien sûr, qui se lit comme un polar addictif. Bien sûr, cette plongée dans l'époque napoléonienne est intéressante. Bien sûr, l'histoire flatte nos bas instincts de vengeance (même si Dieu est cité à tour de pages).

Mais que c'est long ! 1 mois à m'endormir avec le comte, à l'inviter dans mes insomnies, à partager avec lui les après-midi pluvieuses. Avec lui et aussi les autres (très) nombreux personnages, qui souvent portent plusieurs noms suivant les époques, quand ils ne sont pas nommés par leurs titres. Merci à l'arbre généalogique trouvé sur le net ;-)

Mais je ne vais pas me fâcher avec l'ami qui me l'a conseillé et reconnais avoir passé quand même un très bon moment de lecture. Reste à voir le film.
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Monte-Cristo , un roman du destin . Au travers des milles péripéties qui y sont décrites , le personnage principal en est le destin . C'est lui qui s'empare d'Edmond Dantès pour lui faire perdre tout ce qu'il possède et le précipiter au château d'If . Lui encore , qui lui donne comme voisin de captivité l'abbé Faria grâce à qu'il réussira une évasion fantastique . Lui enfin qui , le couvrant de richesses lui permettra de devenir son propre justicier sous une identité nouvelle , rangeur impitoyable et infaillible , oeuvrant au delà de toute loi humaine ou divine . le destin , qui tour à tour donne et reprend , toujours inéluctable , toujours changeant , imprévisible et fou . Surtout lorsqu'il sort de la plume d'Alexandre Dumas ...
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j ai du lire 5 fois les 3 mousquetaires et c etait la toute ma connaissance de l'oeuvre d'Alexandre Dumas. Quel dommage! Je viens de lire le Comte de Monte Cristo et je suis sous la charme de cette histoire qui bien que triste et bouleversante n en est pas moins superbe. Je vais donc m empresser de lire quelques autres oeuvres du grand homme.
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Deux grandes parties structurent l'intrigue, fondées sur cette métamorphose, donnant au lecteur l'impression d'y avoir affaire à deux personnages principaux différents, quand il s'agit du même individu.

Dans la première, nous suivons donc Edmond Dantès, jeune et modeste pêcheur à l'avenir prometteur. On le cueille au début du récit de retour d'une campagne de pêche à bord du Pharaon, où il officiait comme second d'un capitaine décédé en cours de route. Edmond, responsable et compétent malgré sa jeunesse, a admirablement pris en main le commandement du bateau, ce dont se félicite l'armateur Morrel, qui lui laisse entendre, à peine débarqué à Marseille, que sa promotion au rang de capitaine est quasiment acquise. L'avenir se présente pour notre héros sous les meilleurs auspices : en plus de cette belle évolution professionnelle, il doit épouser sous peu Mercédès, belle brune à la beauté sauvage qu'il aime passionnément, et réciproquement. Mais ce bonheur n'est pas du goût de certains dont il contrecarre les propres projets, notamment ceux de Danglars, trésorier du Pharaon, ou de Fernand Mandego, épris de Mercédès qui le considère comme un frère. Les machinations de ces deux envieux viennent s'imbriquer aux intérêts personnels du procureur de Marseille -Villefort-, qui mène rondement l'affaire, et Edmond, accusé d'être un agent bonapartiste, est arrêté le jour même de ses noces, et se retrouve presque illico enfermé dans un cachot du château d'If où il passera quatorze ans.

Précisons que nous sommes en 1815. Napoléon est alors en exil à l'île d'Elbe, les autorités en place craignant qu'avec l'aide de ses partisans, il ne fomente son retour. A raison, comme le démontreront les Cent Jours. Néanmoins la fugace reconquête du pouvoir par l'Empereur ne change pas le sort d'Edmond, dont Villefort a fait en sorte qu'il soit définitivement oublié du reste du monde.

C'est une première partie très sombre, où nous sont dépeintes toutes les étapes de l'état d'esprit du prisonnier, de l'espoir et de l'orgueil que lui confère la conviction de son innocence, au doute puis à l'infinie détresse menant à la tentation de la mort.

Je vous laisse découvrir comment, depuis son cachot, Edmond se cultive, apprenant les sciences, l'histoire et plusieurs langues étrangères, ainsi que les détails de son épique évasion et de l'origine de l'immense fortune dont il devient subitement propriétaire.

Dantès, mort pour le monde, devient Monte-Cristo, comte autoproclamé d'un ilot désert de la Méditerranée.

Lorsqu'il fait son apparition dans la société des hommes, c'est sous les apparences d'un personnage aussi fascinant que mystérieux, aussi envoûtant qu'inquiétant. le luxe inouï dans lequel vit l'homme, qui prétend posséder des esclaves -un serviteur noir et muet et une jeune femme grecque d'une extraordinaire beauté-, l'étendue des pouvoirs -rien ne lui semble impossible- que lui confèrent à la fois sa fortune et l'autorité naturelle qui émane de son assurance courtoise et de sa grande intelligence, intriguent au plus haut point.

Dans la seconde partie, Alexandre Dumas déploie avec minutie les mécanismes puis les conséquences de l'ample entreprise de vengeance ourdie par le Comte. Patiemment, méthodiquement, il a tissé un réseau d'indéfectibles fidélités -et qu'elles soient parfois celles de brigands, de contrebandiers ou d'assassins lui importe peu-, traqué les plus intimes secrets de ses ennemis, élaboré un plan aussi machiavélique que complexe, consistant à s'appuyer sur les points faibles et jusqu'à présent soigneusement dissimulés de ses cibles et à se servir des ressentiments et des haines que leurs actes n'ont manqué de susciter. Assister aux manoeuvres du Comte introduit dans la bonne société parisienne où les responsables de son malheur -Villefort, Danglars et Fernand- ont acquis richesse et pouvoir, le jeune Mandego ayant de plus finir par épouser Mercédès qui lui a donné un fils dorénavant adulte, procure une jubilation d'autant plus grande que le regard porté sur ce milieu et ceux qui y évoluent est féroce. Car Alexandre Dumas étrille au passage l'hypocrisie, la mesquinerie, et la cruauté d'une société opportuniste obsédée par le maintien de sa position sociale et de la respectabilité ou des pouvoirs qu'elle lui octroie, dont les différents rouages -armée, justice, finances- sont soumis à la petitesse et à l'égoïsme de ceux qui les font tourner.
Le Comte de Monte-Cristo, non seulement richissime mais aussi charismatique, raffiné et immensément mystérieux, y devient une sorte de légende, tout en affichant en toutes occasions, malgré sa vigueur et son audace, une humilité et une courtoisie qui ne font qu'exhausser l'admiration et la sympathie qu'il provoque généralement chez ses interlocuteurs. Et en même temps, l'ironie qu'il manie avec suffisamment de subtilité pour qu'on ne sache jamais si elle est volontaire, provoque parfois un certain malaise. Sa connaissance des travers et des aspects les plus hermétiques du passé de ses victimes -dont son extraordinaire acuité permet par ailleurs de prévoir les réactions-, associée à son champ d'action apparemment illimité -tout étant à vendre si on y met le prix-, en font un personnage omnipotent, omniscient, et pour tout dire vaguement effrayant.

L'auteur, par un choix qui se révèle habile et pertinent, place le lecteur vis-à-vis de la personnalité du Comte sur un pied d'égalité avec ceux qu'il rencontre, en occultant le détail de ses émotions et de ses pensées, ne nous livrant que la description de ses expressions –ce qui n'était pas le cas avec Edmond Dantès. Eclairé en revanche quant aux antécédents du héros, lui seul comprend le sens des allusions à un teint parfois un peu plus pâle, ou à un sourire imperceptiblement inquiétant.

L'implacable machinerie mise en branle fonctionne, et à merveille, la chute est implacable, et adaptée à chacun. Au-delà du scandale dont elle entache définitivement non seulement les trois cibles du Comte mais aussi leur famille, ces dernières perdent, en plus de leurs proches, ce qui leur est le plus cher : Fernand son honneur, Villefort sa position, Danglars son argent.

Mais comme toute vengeance, elle finit par occasionner des dommages collatéraux… Jusqu'alors porté par la conviction qu'il n'était que le bras d'une Providence appelant à un juste châtiment, se réclamant de Dieu pour justifier que les fautes des pères retombent sur leurs enfants, le Comte de Monte-Cristo est finalement amené à remettre en cause la légitimité et l'équité de son oeuvre vengeresse.

Succession d'épisodes riches de rebondissements, peuplés de personnages peut-être trop multiples pour se révéler tous aussi consistants -ce qui n'est à vrai dire pas très gênant-, le Comte de Monte-Cristo est un roman profus, que je qualifierais avant tout "d'aventures", même si l'on peut aussi y voir une peinture sociale de son époque, une réflexion philosophique sur l'utilité de la vengeance… et sans doute tout un tas d'autres aspects, que je laisse le soin aux spécialistes de lister.
Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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(Ce livre n'est pas le tome 1 seulement mais bien les deux tomes rassemblés dans la collection Folio)

Monte-Cristo livré en vrac, c'est mille deux cents pages de trahison, d'injustice, de meurtres, de jalousie, de rebondissements, d'ambition, d'arrivisme, de réussite sociale, de déchéance, de cupidité, d'avarice, de corruption, de banqueroute, d'amour fou, de passion, de mysticisme, de droiture, d'honneur, de rêve et bien sûr, de vengeance.
Tellement de thèmes et de références s'entrecroisent dans Monte-Cristo qu'on s'y perd mais surtout qu'on aime à s'y perdre. On y croise les thèmes éternels, de la tragédie shakespearienne transposée dans la France de la Restauration de Louis XVIII, des Cent Jours et de la Restauration encore avec des personnages de profiteurs en tout genre et d'autres d'une grande droiture, fidèles. On repasse dans Othello pour la jalousie, dans Macbeth pour l'ambition sans limites, dans Hamlet pour l'atmosphère sombre et la vengeance, dans le conte d'hiver pour les réapparitions. le romantisme n'est pas en reste car le Comte et Mercédès le dit elle-même, les héros portent malheur à leur entourage, comme Hernani. La passion est démesurée, le mysticisme prégnant car tout revient à mettre son destin dans les mains de Dieu qui est cité par chapelet de dix dans les derniers chapitres, aussi bien par les traîtres que par les amis fidèles car, comme Dieu, il se le reproche assez, Monte-Cristo frappe les méchants (on se souviendra de ce passage d'Ezéchiel cité dans le célèbre Pulp Fiction) et récompense les justes avec une extraordinaire munificence. Cette richesse surgie alors qu'il est au fond du trou, lui parvient car il sait écouter un vieux prêtre que l'on dit fou mais qui a une élévation d'esprit au-dessus de la moyenne et représente plutôt la richesse philosophique prônée par Epicure. C'est alors, sur l'île de Monte-Cristo, une narration digne des Mille et une Nuits. Tout y est, la grotte d'Ali Baba, l'appartement souterrain, les statues, l'orientalisme, la confiture de haschisch qui permet de faire dire aux hôtes à qui on l'a offerte, comme Puck à la fin du Songe d'une nuit d'été

That you have but slumber'd here ,
While these visions did appear
(Que vous vous êtes simplement assoupi
Tandis que ces visions apparaissaient.)

Alors, bien sûr, qui dit romantisme, dit lyrisme un peu désuet parfois mais on aime quand même à déguster des pâtisseries avec trop de crème, des bonbons avec trop de sucre car tout y est cohérent stylistiquement parlant. La lumière y est splendide, les cieux sont apocalyptiques, les saisons bien marquées. Petit à petit, on passe de l'ombre à la lumière et je ne sais si des thèses ont été faites à ce sujet mais il y a matière.
Certes, quelques atermoiements, des adieux qui n'en finissent pas, viennent gâter un peu l'ouvrage et l'aspect policier, enquête du roman est vite deviné. On sait vite qui tue et pourquoi mais le but de Dumas n'est pas d'écrire une histoire policière complexe mais d'intéresser son lecteur auquel il s'adresse à plusieurs reprises comme témoin des évènements. Il les enfouit pour mieux les faire apparaître plus tard au grand jour et l'effet a d'autant plus d'impact. Dumas sait jouer avec les nerfs du lecteur.
Le Comte de Monte-Cristo est le roman qui balaie tout sur son passage, qui m'a captivé de bout en bout. Dumas est né la même année que Hugo et, à mon sens, n'a rien à lui envier sur le plan de l'imagination romanesque pour l'édification du lecteur qui se perd avec délices dans ce magnifique pavé.

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J'ai eu énormément de plaisir à relire ce roman. Quelles aventures, quelles vengeances, quelle écriture. C'est un livre addictif. Il faut prévoir de bonnes soirées de lecture et savoir s'arrêter à la fin du chapitre qui en appelle un autre. On passe des heures en compagnie d'Edmond Dantès, l'abbé Faria, La famille Morrel, les Danglars, les Villefort, les Mondego, et bien sur les belles Mercédès et Haydée...
A ma prochaine visite à Marseille je retournerai au Château d'If en pèlerinage de ce roman.
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Aventures trépidantes jusqu'à la déclaration de vengeance ; un peu plus relâché ensuite. Quelque chose d'amusant: on ne parle que d'argent dans ce roman, à comparer aux romans d'aujourd'hui où il n'est pas question d'actualiser la "rente" d'untel ou d'unetelle à chaque page. Danglars méritait une vengeance plus revêche...
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