Ce peuple qui a «inventé le monde», qui s'expatrie, semble-t-il, facilement, tout en manifestant, par la «saudade», une sorte de culture d'exil, faite de la nostalgie de la terre natale, ce peuple sait accueillir l'étranger, n'hésitant jamais, pour faciliter la communication, à utiliser les quelques mots qu'il a appris dans la langue de l'autre.