Comme si elle écrivait des bribes de notes dans un journal personnel, une femme livre ses pensées sur l'écriture, se confie à un amant, évoque sa crainte de la mort, de la perte de l'écriture, de la perte de
l'amour de l'autre...
Un ouvrage très mince. Des paragraphes courts, des dialogues suspendus, de courtes réflexions. L'écriture.
Yann Andréa Steiner comme elle l'a appelé, a réellement partagé la fin de la vie de
Marguerite Duras et lui a envoyé, alors qu'il n'avait qu'une vingtaine d'années, des quantités de lettres concises.
Pour son ultime livre,
Marguerite Duras a confié l'écriture à la main de son amant, sous sa dictée. Les phrases ont alors une double résonance. (...)
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