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Après la trilogie des joyaux je retrouve avec plaisir Emouchet, Elhana, Flute et compagnie.
Toujours une densité de dialogues importante, le plus souvent prétexte à des chamailleries et autres traits d'humour qui procurent une lecture souriante, c'est plutôt agréable.
Côté histoire ça tient la route avec un bon équilibre entre progression dans la connaissance des périls (c'est un peu le titre hein, je ne spolie pas :), des combats bien sûr (Emouchet et ses amis sont des chevaliers pandion après tout) et puis les joutes verbales pleines d'humour entre tous ces personnages pas trop à cheval sur l'étiquette, ils ont tous leurs spécificité et on les retrouves tels qu'on les a quittés dans la précédente trilogie, pas d'efforts pour se remettre dans le bain et c'est bien pratique.
De la fantasy pur jus avec Edding au meilleur de sa forme, la trame ressemble tout de même assez à la précédente histoire, on ne change pas une recette qui gagne alors pourquoi ne pas remettre le couvert ?
Cela fait un peu penser (de loin) à du pratchett en moins loufoque, il y a de la magie et des femmes au caractère bien trempé et si l'on est pas tout à fait dans la "comédie", on est très loin de la dark fantasy, c'est léger et c'est bien aussi.
En fait je me demande juste si ça va fonctionner sur les trois tomes, à suivre :)
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Salut les Babelionautes
Je continu ma découverte de l'oeuvre de Leigh Eddings et David Eddings avec cette trilogie que j'ai lu avant La trilogie des joyaux qui la précède.
Bien que je n'ai pas commencé par le début, j'ai bien aimé cette trilogie qui s'adresse a un public d'adolescents, car les ficelles utilisées sont coutumières de ce type de fantasy.
Très bien traduite par Dominique Haas, que je remercie pour son travail, elle vous emporte dans un monde ou les Dieux s'affrontent par le biais des Humains ou des créatures qui les prient.
Nous allons suivre Emouchet, un Guerrier d'un Ordre Religieux, dans sa lutte contre les forces des Dieux du mal qu'il va devoir affronter.
C'est quand même une trilogie facile à lire, et si j'y ai passé beaucoup de temps cela est du au fait que je suis en Corse en Moto pour quinze jours de vacances.
Je ne pense pas lire la trilogie des joyaux si elle est du même style car je dois lire Sialimar de Emad Jarar que j'ai reçus en Masse Critique privilégié.

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N'ayant pu me procurer la trilogie des joyaux avant cette série si je dois dire avoir été un peu perdue. Il est question d'évènement dont je n'ai pas eu connaissance, et surtout le personnage d'Aphrael/Danae/Flute, m'a perturbée un bon moment.
Mais le handicap n'est pas si lourd, et j'ai réussi malgré ce détail à passer un excellent moment.

Certains personnages évoquent irrésistiblement ceux de la Belgariade (Polgara/Sephrenia, C'Nedra/Ehlanna, et même un Garion un peu plus âgé dans Emouchet, quoiqu'on ai pas le droit à l'éternel "pourquoi moi..")

On retrouve aussi et cela est l'essentiel, cette vivacité dans les dialogues, cet humour qui en fait (des livres des Eddings) des pépites pour les amateurs de med-fan.

Avec évidement une excellente intrigue, un univers très vivant et passionnant, une bonne atmosphère, et j'en passe :)
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Bon ,ça fait un moment que j'ai lu la trilogie des joyaux ,pour autant ,ça ne m'a pas empêché de suivre ce premier tome ,qui est la suite directe. Il y a un petit résumé des événements précédents qui aide beaucoup je dois le dire !
J'ai retrouvé avec grand plaisir Emouchet et sa bande de Pandions et autres acolytes sympathiques ! Ils repartent vers de nouvelles aventures en quête d'explications face à l'apparition d'étranges phénomènes un peu partout en éosie et en darésie. Tout porte à croire que les dieux sont de la partie ....
Le style de l'auteur est toujours aussi prenant ,et l'humour et l'aventure ont la part belle pour en faire une fois de plus un tome addictif et jouissif .
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EDIT : le 03/08/2012

Et c'est repartit pour un tour ! de plus, vu que je n'avais rien à faire (hem, façon de parler) et rien à lire (s'étrangle en regardant la hauteur de sa PAL), j'ai emmené la Trilogie des Périls avec moi en vacances.

Comment ça, tu ne l'avais pas déjà lue ? Oui, je l'avoue, je l'avais déjç lue il y a fort, fort longtemps et j'avais envie de me faire plaisir.

Vu que au moment de rédiger ma critique, ma mémoire passoire n'était pas érrivée à me sortir quelque chose de cohérent, j'ai décidé de remédier au problème, non pas en prenant des médocs mais en relisant la seconde partie de la Saga.

Donc, pour cette seconde rilogie, nous retrouvons toute la bande au complet (quasi) pour la suite de leurs aventures, passionnantes et tout aussi trépidante que la première saga.

Emouchet et tous les autres sont fidèles à eux-mêmes et j'ai apprécié chevaucher à leurs côtés pour me dirigier vers Mathérion, la ville aux dômes de feu.

Je sais que certains pourraient la trouver longue, la route qu'ils doivent faire pour arriver à Mathérion. Pourtant, leur voyage n'est pas de tout repos.

Malgré le fait qu'ils avancent assez vite - la princesse Danaé, fille d'Emouchet et de la reine Ehlana, incarnation terrestre de la déesse Aphraël, joue avec le temps - le voyage prend une bonne partie du livre.

Non, on ne baille pas du tout. Les personnages sont assez haut en couleurs et comme je vous le disais, leur voyage n'est pas de tout repos.

Ce tome comporte aussi assez bien de politique, mais nous sommes dans la fantasy et même si elle ressemble à s'y méprendre à celle sur terre, il y a aussi la dimension des différents Dieux qu'il faut prendre en compte. Et croyez-moi, ils sont légion.

Les critiques les plus sévères pourraient dire que l'on retrouve, dans cette trilogie des Périls (comme dans la précédente, celle des Joyaux), les mêmes sorcières dominatrices que dans la Saga Belgariade/Mallorée : (Polgara / Séphrénia), même si la seconde n'appelait plus tout le monde « mon chou », mais « mon petit », la même princesse fantasque destinée à épouser le héros (Ce'Nedra / Ehlana), les mêmes dieux désireux d'en découdre et les mêmes faux-frères félons à abattre.

Oui, Eddings a trouvé un filon et il l'a exploité jusqu'à épuiser toutes les veines. Pourtant, j'ai éprouvé du plaisir à retrouver mes compagnons de la trilogie des Joyaux.

Quant à l'humour, il était toujours là. Il a beau être le même, il me fait toujours rire...

Par contre, Eddings a changé profondément le caractère d'un personnage de la Trilogie des Joyaux, nous donnant comme excuse "qu'il cachait bien son jeu jusque-là". En avait-il l'intention dès le départ ou est-ce dans le but de relancer la machine ? Je n'en sais rien, mais cela change toute la vision de la première trilogie.

Bonus : nouveaux personnages dont on gage qu'ils nous donneront quelques belles heures de lecture.

Ils m'ont fait passer encore une fois, de très bons moments de lecture, je vous rassure !
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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David Eddings est une valeur sûre du paysage de la fantasy. On retrouve dans cette nouvelle trilogie (des périls) les héros de la précédente (la trilogie des joyaux) avec toujours autant de plaisir.
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Je retrouve Émouchet, ses braves chevaliers Pandion, la reine Ehlana et La déesse enfant Aphrael dans de nouvelles aventures.
Des créatures revenues des ténèbres font leur apparition dans plusieurs royaumes et un messager venu de Darésie (les terres de l'est) va venir demander de l'aide à notre célèbre héros.
Ils vont donc tous se rendre la bas accompagné d'une petite armée et découvrir une culture et des terres qu'ils ne connaissent pas. S'ensuivra du rire et des combats. Tout ce qu'on attend d'un roman du couple Eddings.
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On ne change pas une équipe qui gagne :telle pourrait être la devise d'Eddings . Donc il nous refait le même coup qu'avec la Belgariade . Quand c'est fini , ni ni , ça recommence . Et revoilà Emouchet en campagne avec sa troupe ( modifiée mais peu) à la découverte de nouveaux territoires et d'un nouveau grand méchant qui fait rien qu'à embêter tout le monde en ressuscitant des héros morts (excusez du peu) . Nouveaux paysages , nouveaux enchantements , et toujours des dialogues plaisants( mais à mon avis il en abuse un peu) .J'aime beaucoup le couple Aphraël/Danaé et les tortueuses voies qu'emprunte la génétique des dieux
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J'ai découvert la fantasy très jeune, mais essentiellement grâce à des films. Avec les années, j'ai eu envie de combler mon imagination débordante avec des romans du genre. Malheureusement, il faut avouer que comme partout, on y trouve du très bon comme du très mauvais. Pour m'éviter ce genre de désagrément, j'ai donc misé sur des valeurs sûres telles que Robin Hobb, David Gemmel, Guy Gavriel Kay, etc.

Les éditions France Loisirs n'ayant pas une mauvaise collection en la matière, je me suis laissée tenter par La Trilogie des Périls, dont je connaissais le nom de l'auteur. Mais en bonne ignare en la matière, je ne savais pas que ce roman faisait suite à une première trilogie nommée La Trilogie des Périls. C'est ainsi que ce pauvre livre a séjourné plusieurs années tout au fond de ma pile à lire sans jamais voir le jour ! Heureusement, le challenge ABC de Nanet est passé par là, et j'ai ajouté à ses règles de m'efforcer de lire les plus vieux livres de ma PAL. le destin de ce roman se traçait enfin !

Honnêtement, j'ai commencé ma lecture sans a priori, mais j'ai été rapidement déroutée par l'avalanche d'informations que je recevais. Dès le prologue, David Eddings m'avait un peu perdue. Malgré tout, j'ai continué ma lecture avec autant de bravoure qu'un chevalier pandion. de toute façon, les meilleures sagas de fantasy ne sont-elles pas toutes déroutantes dès le départ ? Il m'aura tout de même fallu près d'une centaine de pages pour commencer à y voir plus clair. C'est aussi à ce moment-là que j'ai nettement compris que j'avais une suite entre les mains, et non un premier tome de saga comme le suggérait le beau 1 sur le dos de mon livre. Après un détour sur internet, la mémoire m'est revenue et je me suis souvenue pourquoi j'avais lâchement abandonné ce livre dans le gouffre paléen.

Il était pourtant hors de question d'abandonner pour si peu. En effet, je maîtrisais à peu près le folklore et l'histoire de cet univers, car les personnages principaux y font souvent référence. Cela cause d'ailleurs pas mal de répétitions et certains passages me sont apparus bien longuets. D'autant que David Eddings par du principe qu'on connaît la majorité des personnages puisqu'on a déjà passé près de 2000 pages avec eux dans la trilogie précédente ! Certains paraissent donc un peu effacés, voire inutiles à l'intrigue, et je me suis souvent demandé ce qu'ils faisaient là exactement.

On pourrait considérer cela comme du détail, mais ça a vraiment nui à ma lecture. Entre les passages trop longs et répétitifs, et cette multitude de personnages pas toujours utile à la mise en place de ce premier tome, la lecture devient fastidieuse et ennuyeuse. D'autant que le héros pose souvent à sa fille-déesse des questions dont la réponse est évidente, ce qu'elle ne lui cache pas en le traitant gentiment d'idiot, mais même ce procédé-là est trop utilisé pour conserver son côté humoristique.

L'humour, d'ailleurs, aurait pu être une qualité de titre. Pourtant, si j'ai souri les premières pages, il possède ce côté répétitif qui finit par user la corde sensible du lecteur. D'autant qu'il n'est pas toujours utilisé à bon escient et donne donc parfois l'impression que les personnages sont de vrais paradoxes.

Mais tout cela mis à part, l'écriture de David Eddings est charmante dans le sens où l'ensemble est assez simple avec des héros finalement très humains. Malgré le fait que je n'ai pas accroché à cette saga, voire à cet univers, je reste toute prête à tenter l'aventure de la Belgariade ou de la Mallorée dont j'ai beaucoup entendu parler. Cette fois en prenant garde de bien commencer par le tout premier tome de l'univers.
Lien : https://belykhalilcriticizes..
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Je dois dire que le souvenir est aussi bon que la découverte. A part le fait que je ne me souviens plus vraiment des évènements de la trilogie des joyaux, du coup, j'ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain. Ce qui n'empêche pas du tout la lecture d'être très agréable !
J'ai retrouvé avec plaisir les différents personnages dont je gardais un très bon souvenir. Je ne me souvenais plus trop de l'histoire, seulement de quelques scènes, du coup, je dois dire que j'ai profité de l'histoire quasiment comme si c'était la première fois.
Les différents personnages sont vraiment très sympathiques et c'est vraiment avec beaucoup de plaisir que je les ai retrouvé. J'aime beaucoup leur caractère très différent les uns des autres qui donne une richesse et un atout supplémentaire à l'histoire : chaque personnage à son moment de gloire dans ce premier tome ce qui est vraiment très enrichissant pour l'histoire. Bizarrement, il n'y en a pas un que j'apprécie moins que les autres : ils ont chacun leur place dans cette histoire ce que j'apprécie énormément.
L'écriture de David Eddings est vraiment très agréable, par contre, je dois dire que j'ai trouvé certains passages de l'histoire vraiment trop longs et trop détaillés. Dans l'ensemble, cette richesse de l'histoire est très agréable mais à certains moment elle a vraiment pesé sur ma lecture.

Cependant ma lecture fur vraiment très agréable et c'est avec beaucoup de plaisir que je vous conseille la lecture des Dômes de feu.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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