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La trilogie des périls tome 1 sur 3
EAN : 9782266174640
576 pages
Pocket (28/03/2008)
3.96/5   194 notes
Résumé :
Je le savais, j'étais rentré à Cimmura avec le sentiment du devoir accompli, heureux d'avoir sauvé la vie d'Ehlana et tout remis en place : le Bhelliom au fond de la plus profonde fosse de l'Océan, Dolmant à la tête de l'Eglise d'Elénie. Azash, Annais et même Otha, le roi-limace, étaient morts. Mes pires craintes se confirment : dans tous les Etats du continent, des héros de l'Antiquité soulèvent le peuple. De prétendus justiciers incitent les nobles à se révolter c... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Après la trilogie des joyaux je retrouve avec plaisir Emouchet, Elhana, Flute et compagnie.
Toujours une densité de dialogues importante, le plus souvent prétexte à des chamailleries et autres traits d'humour qui procurent une lecture souriante, c'est plutôt agréable.
Côté histoire ça tient la route avec un bon équilibre entre progression dans la connaissance des périls (c'est un peu le titre hein, je ne spolie pas :), des combats bien sûr (Emouchet et ses amis sont des chevaliers pandion après tout) et puis les joutes verbales pleines d'humour entre tous ces personnages pas trop à cheval sur l'étiquette, ils ont tous leurs spécificité et on les retrouves tels qu'on les a quittés dans la précédente trilogie, pas d'efforts pour se remettre dans le bain et c'est bien pratique.
De la fantasy pur jus avec Edding au meilleur de sa forme, la trame ressemble tout de même assez à la précédente histoire, on ne change pas une recette qui gagne alors pourquoi ne pas remettre le couvert ?
Cela fait un peu penser (de loin) à du pratchett en moins loufoque, il y a de la magie et des femmes au caractère bien trempé et si l'on est pas tout à fait dans la "comédie", on est très loin de la dark fantasy, c'est léger et c'est bien aussi.
En fait je me demande juste si ça va fonctionner sur les trois tomes, à suivre :)
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Salut les Babelionautes
Je continu ma découverte de l'oeuvre de Leigh Eddings et David Eddings avec cette trilogie que j'ai lu avant La trilogie des joyaux qui la précède.
Bien que je n'ai pas commencé par le début, j'ai bien aimé cette trilogie qui s'adresse a un public d'adolescents, car les ficelles utilisées sont coutumières de ce type de fantasy.
Très bien traduite par Dominique Haas, que je remercie pour son travail, elle vous emporte dans un monde ou les Dieux s'affrontent par le biais des Humains ou des créatures qui les prient.
Nous allons suivre Emouchet, un Guerrier d'un Ordre Religieux, dans sa lutte contre les forces des Dieux du mal qu'il va devoir affronter.
C'est quand même une trilogie facile à lire, et si j'y ai passé beaucoup de temps cela est du au fait que je suis en Corse en Moto pour quinze jours de vacances.
Je ne pense pas lire la trilogie des joyaux si elle est du même style car je dois lire Sialimar de Emad Jarar que j'ai reçus en Masse Critique privilégié.

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EDIT : le 03/08/2012

Et c'est repartit pour un tour ! de plus, vu que je n'avais rien à faire (hem, façon de parler) et rien à lire (s'étrangle en regardant la hauteur de sa PAL), j'ai emmené la Trilogie des Périls avec moi en vacances.

Comment ça, tu ne l'avais pas déjà lue ? Oui, je l'avoue, je l'avais déjç lue il y a fort, fort longtemps et j'avais envie de me faire plaisir.

Vu que au moment de rédiger ma critique, ma mémoire passoire n'était pas érrivée à me sortir quelque chose de cohérent, j'ai décidé de remédier au problème, non pas en prenant des médocs mais en relisant la seconde partie de la Saga.

Donc, pour cette seconde rilogie, nous retrouvons toute la bande au complet (quasi) pour la suite de leurs aventures, passionnantes et tout aussi trépidante que la première saga.

Emouchet et tous les autres sont fidèles à eux-mêmes et j'ai apprécié chevaucher à leurs côtés pour me dirigier vers Mathérion, la ville aux dômes de feu.

Je sais que certains pourraient la trouver longue, la route qu'ils doivent faire pour arriver à Mathérion. Pourtant, leur voyage n'est pas de tout repos.

Malgré le fait qu'ils avancent assez vite - la princesse Danaé, fille d'Emouchet et de la reine Ehlana, incarnation terrestre de la déesse Aphraël, joue avec le temps - le voyage prend une bonne partie du livre.

Non, on ne baille pas du tout. Les personnages sont assez haut en couleurs et comme je vous le disais, leur voyage n'est pas de tout repos.

Ce tome comporte aussi assez bien de politique, mais nous sommes dans la fantasy et même si elle ressemble à s'y méprendre à celle sur terre, il y a aussi la dimension des différents Dieux qu'il faut prendre en compte. Et croyez-moi, ils sont légion.

Les critiques les plus sévères pourraient dire que l'on retrouve, dans cette trilogie des Périls (comme dans la précédente, celle des Joyaux), les mêmes sorcières dominatrices que dans la Saga Belgariade/Mallorée : (Polgara / Séphrénia), même si la seconde n'appelait plus tout le monde « mon chou », mais « mon petit », la même princesse fantasque destinée à épouser le héros (Ce'Nedra / Ehlana), les mêmes dieux désireux d'en découdre et les mêmes faux-frères félons à abattre.

Oui, Eddings a trouvé un filon et il l'a exploité jusqu'à épuiser toutes les veines. Pourtant, j'ai éprouvé du plaisir à retrouver mes compagnons de la trilogie des Joyaux.

Quant à l'humour, il était toujours là. Il a beau être le même, il me fait toujours rire...

Par contre, Eddings a changé profondément le caractère d'un personnage de la Trilogie des Joyaux, nous donnant comme excuse "qu'il cachait bien son jeu jusque-là". En avait-il l'intention dès le départ ou est-ce dans le but de relancer la machine ? Je n'en sais rien, mais cela change toute la vision de la première trilogie.

Bonus : nouveaux personnages dont on gage qu'ils nous donneront quelques belles heures de lecture.

Ils m'ont fait passer encore une fois, de très bons moments de lecture, je vous rassure !
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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N'ayant pu me procurer la trilogie des joyaux avant cette série si je dois dire avoir été un peu perdue. Il est question d'évènement dont je n'ai pas eu connaissance, et surtout le personnage d'Aphrael/Danae/Flute, m'a perturbée un bon moment.
Mais le handicap n'est pas si lourd, et j'ai réussi malgré ce détail à passer un excellent moment.

Certains personnages évoquent irrésistiblement ceux de la Belgariade (Polgara/Sephrenia, C'Nedra/Ehlanna, et même un Garion un peu plus âgé dans Emouchet, quoiqu'on ai pas le droit à l'éternel "pourquoi moi..")

On retrouve aussi et cela est l'essentiel, cette vivacité dans les dialogues, cet humour qui en fait (des livres des Eddings) des pépites pour les amateurs de med-fan.

Avec évidement une excellente intrigue, un univers très vivant et passionnant, une bonne atmosphère, et j'en passe :)
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Bon ,ça fait un moment que j'ai lu la trilogie des joyaux ,pour autant ,ça ne m'a pas empêché de suivre ce premier tome ,qui est la suite directe. Il y a un petit résumé des événements précédents qui aide beaucoup je dois le dire !
J'ai retrouvé avec grand plaisir Emouchet et sa bande de Pandions et autres acolytes sympathiques ! Ils repartent vers de nouvelles aventures en quête d'explications face à l'apparition d'étranges phénomènes un peu partout en éosie et en darésie. Tout porte à croire que les dieux sont de la partie ....
Le style de l'auteur est toujours aussi prenant ,et l'humour et l'aventure ont la part belle pour en faire une fois de plus un tome addictif et jouissif .
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
[...]_Belle petite promenade, pas vrai, Votre Grâce ? demanda gaiement Emouchet.
Le petit prélat grassouillet pousa un gémissement à fendre l'âme.
_Je ne pourrai plus marcher pendant une semaine.
_Bah, ce n'était qu'une petite promenade de rien du tout, poursuivit Emouchet. Il faudra que nous pressions l'allure quand nous serons en Tamoulie. Je peux vous parler franchement Votre Grâce ? demanda-t-il d'un ton plus grave.
_Je ne pourrais pas vous faire taire même si j'en avais envie, alors..., fit aigrement Emban.
_Exact. Vous nous ralentissez, vous savez.
_Je vous en demande bien pardon.
_Votre Grâce n'est pas faite pour monter à cheval. Toutes ses qualités sont concentrées dans la tête; son postérieur est nul.
Emban étrécit les paupières tel le chacal choisissant l'endroit à mordre.
_Continuez, dit-il d'un ton engageant.
_Puisque nous sommes pressés, nous avons décidé de vous mettre des roues sous les fesses. Votre Grâce ne serait-elle pas mieux dans une voiture capitonnée ?
_Emouchet, je vous embrasserais !
_Je suis marié, Votre Grâce. Et ma femme ne comprendrait peut-être pas. Pour des raisons de sécurité, une voiture vaut mieux que deux, alors j'ai pris la liberté d'en louer une plus grande que celle dans laquelle Ehlana est venue de Chyrellos. Je me suis dit que vous pourriez monter, l'ambassadeur Oscagne et vous, dans la voiture de la reine et de sa suite. J'espère que ça ne vous ennuie pas de faire la route avec eux ?
_Je baiserais le sol sur lequel vous marchez, Emouchet !
_Ce ne sera pas nécessaire, Votre Grâce. Tout ce que je vous demande, c'est de signer l'autorisation de loer la voitur. Nous sommes en mission pour l'Eglise, après tout. Et vous ne nierez pas le bien-fondé de cette dépense.
_Où dois-je signer? demanda Emban avec avidité.
_Une voiture de cette taille coûte forcément assez cher, Votre Grâce, poursuivit Emouchet, pour amortir le coup.
_Je mettrais la Basilique au clou pour ne jamais revoir ce canasson.[...]
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La fille d’Émouchet, la princesse Danaé, était roulée en boule dans un grand fauteuil, au coin du feu.

Danaé avait six ans, maintenant. Elle avait la peau d’une blancheur d’albâtre, des cheveux et d’immenses yeux noirs comme la nuit, et une petite bouche pareille à un bouton de rose.

C’était une jeune personne aux manières graves et sérieuses, presque adultes, mais son meilleur ami était encore un animal en peluche qui avait dû en voir de rudes, à en juger par son aspect, et qui « répondait » au nom de Rollo.

La princesse Danaé l’avait hérité de sa mère. Ses petits pieds étaient tachées de vert, selon sa bonne habitude
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(sur les duels): La réputation de Sire Emouchet était telle que même les nobles les plus belliqueux du royaume d'Elénie finissaient généralement par estimer, toute réflexion faite, n'avoir pas été vraiment insultés.
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Mirtaï n’y va pas avec le dos de la cuillère,hein ?Je me demande toujours par quel bout la prendre.Je veux dire ,comment sommes-nous censés la traiter ? C’est quand même une femme.
-Tu as remarqué ,hein ?
-Ah,ah,Ce que je veux dire c’est qu’on ne peut pas la traiter comme une vraie femme .Elle est aussi baraquée qh’Ulath ,et on dirait qu’elle s’attend que nous la traitions comme un camarade de chambrée.
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la politique, c'est du banditisme.
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