L'auteur propose une description par chapitres des principaux penseurs qui ont écrit en arabe. J'ai tenté de lire avec attention, mais le texte, mal écrit - ce dont il faut plutôt accuser l'auteur que le traducteur (répétitions, jugements d'autorité, descriptions saccadées et hachées des thèses des auteurs, absence de ligne directrice qui permettent d'y relier les thèses de chaque auteur abordé, etc.) -, m'a fait abandonner la lecture.
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La différence entre l'expert en jurisprudence et l'expert en théologie est que le premier infère des corollaires des prémisses scripturaires alors que le théologien défend ces prémisses en ayant recours soit aux déclarations de l'Ecriture, soit à ces principes généraux qui sont fondés dans l'expérience sensible de la tradition ou de la raison.