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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Reçu dans le cadre d'une Masse Critique, je remercie Babelio et les éditions  Rageot.
Après " Quand vient la vague ", Manon Fargetton et Jean-Christophe Tixier nous offrent en ce début d'année 2020 aux éditions Rageot la suite tant attendue de ce roman contemporain et addictif.
Romane quitte Lacanau pour intégrer la fac de sociologie à la Sorbonne à Paris. Ces derniers mois ont été tumultueux. Mais Romane est persuadée que sa relation avec Clément, de deux ans son cadet, résistera à la distance. Un lien indéfectible les unit depuis que Nina - la soeur aînée de Clément et meilleure amie de Romane - a fugué en compagnie de Jules. En effet, en apprenant l'existence d'une demi-soeur, Nina n'a su encaisser la révélation de ce lourd secret de famille et a fait le choix de fuir. Dans sa fuite, elle a rejoint Jules, mis à la porte par ses parents lorsqu'ils ont eu vent de son homosexualité.
p. 18 : " Il est gay, cela a suffi à faire de lui un paria. Ses parents n'ont vu dans son coming out que dégoût et vice. "
Ensemble, ils ont affronté la rue, la galère et le rejet.
p. 170 : " Mais c'est ainsi qu'il a tenu bon, qu'il a affronté le rejet et surmonté la rue. En étant tout à la fois son propre père, sa mère, et lui. En étant toute cette famille qu'il n'avait plus. En étant ces bouts de lui qu'il écrivait ou dessinait sur les murs et les trottoirs. Comme s'il était sans passé, sans histoire, sans racines du jour au lendemain, quand ses parents l'ont viré. "
Depuis, Nina a retrouvé sa famille. Jules, non.
Lorsque Romane franchit les portes de l'amphi, son regard se fixe immédiatement sur un visage qu'elle n'imaginait retrouver ici, à Paris. Jules.
p. 12 : " Ce mec transpire l'émotion à fleur de peau. Écorché vif. Touchant. "
Les mots sont inutiles ; seule la complicité qui les reliait importe désormais.
p. 15 : " Je ne prononce pas le nom de Nina. Je sens qu'il ne faut pas. J'ignore ce qui s'est passé entre eux, à la fois durant leur fuite l'an dernier, et ensuite, cet été, lorsqu'elle a débarqué à Bordeaux. "
Mais dans le cadre d'un devoir commun en sociologie, Jules va se retrouver confronter à ses vieux démons, délaissant Romane face à l'angoisse et la maladie.

Dans la suite du roman " Quand vient la vague " Manon Fargetton et Jean-Christophe Tixier prolongent l'exploration du passage de l'adolescence à l'âge adulte, avec toutes les désillusions qui l'accompagnent.
Si j'ai perçu la construction narrative plus confuse que dans le précédent roman, altérant sensiblement l'intrigue,  les sujets abordés ont néanmoins aiguisés ma curiosité et figés mon attention. La maladie de Romane, l'homosexualité de Jules, la précarité, l'usage des drogues, la rupture familiale, la quête d'identité et de sens sont omniprésents tout au long de ce roman.
Bien que destiné à un public adolescent ou jeune adulte, il est porteur de messages à l'attention des parents parfois - souvent - dépassés par les chemins empruntés par leurs progénitures.
Finalement, rares sont les enfants qui répondent exactement aux attentes ( illusoires ) de leurs parents. En deviennent-ils moins aimables pour autant ? Ce qui ressort de cette lecture, en plus de l'intrigue romanesque, est la nécessité de l'accompagnement et du conseil plutôt que la confrontation et la répression qui permet à l'adolescent d'être un adulte en devenir, équilibré et épanoui.
Lien : https://missbook85.wordpress..
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Merci à Babelio et aux éditions RAGEOT pour l'envoi de ce roman lors de la masse critique de janvier.
Il s'agit d'un roman destiné à la jeunesse. Je prends souvent plaisir à lire de la littérature de ce genre-là ; j'ai pourtant eu beaucoup de mal à rentrer dans le livre et à le terminer.
Je suis intimement persuadé que ce roman peut très bien convenir pour un public entre 13 et 17 ans. A l'inverse, pour un public adulte plus exigeant, le roman manque d'intérêt et surtout d'approfondissement. On reste un peu sur notre faim et le plaisir de la lecture n'est pas vraiment au rendez-vous.

L'écriture est fluide, le livre se lit relativement facilement. L'histoire est simple à comprendre.
Les principaux thèmes abordés correspondent effectivement à un public d'ados : les relations amoureuses et tout ce qui gravite autour (la rupture amoureuse, les premières relations, le désir, la recherche de l'identité sexuelle, l'homosexualité, la confiance en l'autre…), les relations humaines (l'amitié et ses déboires, l'entraide, la misère sociale, les relations parents et enfants…), la découverte de la vie, la dure réalité des choses.

La trame de fond : des adolescents : Jules, Romane, Clément et Nina, pour les principaux, en quête d'identité, à la fois sociétale et amoureuse. Des adolescents qui se cherchent, qui se confrontent aux problèmes des études, du logement, de l'argent, de l'indépendance face à leurs parents, de la rue, de la violence, de la drogue et de la prostitution.
Les thèmes abordés sont intéressants, mais, et je rejoins les autres critiques de ce roman ; on a l'impression qu'ils sont un peu parachutés ci et là, sans liens définis, sans relations les uns aux autres, comme des épisodes indépendants de la vie des différents protagonistes. Et c'est pour cette raison que l'on a du mal à rentrer dans le livre, à s'intéresser à l'histoire et à la rencontre de Jules et Romane.
On a comme l'impression d'avoir manqué une partie de l'histoire. Faudrait-il lire l'autre roman « Quand vient la vague » ? pour mieux saisir les enjeux, certainement.

On passe d'un thème à un autre sans que ceux-ci soient approfondis. La maladie de Romane, à un moment du roman, arrive un peu comme un cheveu sur la soupe et n'apporte rien de particulier à l'histoire. Au contraire, l'homosexualité de Jules qui ouvre le roman, mériterait vraiment d'être creusée et détaillée, tout comme les relations ambiguës qu'il entretient avec ses parents. Cette recherche d'identité sexuelle et les interrogations que l'on peut avoir à cet âge-là gagneraient à être approfondies.
En revanche, je n'ai pas accroché à toute la thématique de fond concernant les sans-abris, la misère de la rue… Si je compare à une autre de mes lectures récentes, celle de Delphine de Vigan sur le même problème, je trouve que le traitement de la question dans ce livre est beaucoup trop simpliste.

Pour ce qui touche aux protagonistes, j'ai préféré finalement les personnages secondaires, comme Clément et Lila, plus attachants, plus vrais, et qui auraient mérité un développement personnel plus important. Quant à Nina qui apparait comme le lien commun entre tous, il est difficile de se faire une opinion car nous ne savons rien ou presque d'elle.

En conclusion et pour reprendre mes propos introductifs, « En plein vol » est à conseiller à un public adolescent en pleine quête personnelle et qui trouvera sans aucun doute dans ce roman quelques pistes de réflexion intéressantes.
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J'avais adoré Quand vient la vague des deux auteurs et ça faisait un moment que je voulais découvrir ce roman et je me le suis enfin achetée.

Cette fois-ci on découvrir les histoires de Jules et de Nina. On les a aperçus dans Quand vient la vague.

J'ai eu du mal avec Jules au début, il a trop d'idées noires, il veut aider mais il s'y prend de la mauvaise manière mais au fil des pages, on voit qu'il veut s'en sortir et commence à reconstruire sa vie. Et il va prendre les bonnes décisions.

J'ai de suite accroché avec Nina, elle m'a bien plu comme personnage et ce qu'il lui arrive est affreux. Elle va broyer du noir pendant un petit moment mais Clément et ses amis vont lui être d'une grande aide.

C'est un roman qui se lit rapidement et qui est prenant. L'alternance de point de vue apporte un grand plus, j'ai toujours aimé les romans où il y a une alternance de point de vue avec différents personnages.



En conclusion, une histoire intéressante, prenante et qui se lit rapidement. Une fois commencé c'est dur de lâcher le livre tellement il se lit bien. C'est fluide et on veut savoir ce qu'il advient des personnages.
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On retrouve ici les personnages croisés lors de la lecture de "Quand vient la vague". Il s'agit d'un roman « compagnon », pas vraiment d'une suite car il n'est pas forcément nécessaire d'avoir lu le premier pour lire celui-ci, même si beaucoup d'allusions y sont faites. Il s'adresse pour moi aux plus grands, car les jeunes que l'on suit font des études supérieures, sont indépendants et ont déjà des préoccupations de jeunes adultes.

Romane a quitté Bordeaux après le lycée pour intégrer une faculté de sociologie à Paris. Elle y découvre la vie étudiante et l'autonomie. Mais elle va aussi y tomber sur Jules, qui suit le même cursus qu'elle et qu'elle se souvient avoir croisé quand elle cherchait sa meilleure amie fugueuse avec le frère de celle-ci (Quand vient la vague). Ils se lient d'amitié immédiatement, même si Nina - l'amie de Morgane avec laquelle Jules a partagé quelques mois de survie à la rue- reste un sujet tabou entre eux.

Je dois bien avouer que j'ai été un peu déçue, j'avais été agréablement surprise par leur précédent roman, qui je trouvais sonnait très juste. Dans celui-ci on sent la volonté de faire passer des messages, ce que je trouve louable, mais parfois on sent trop le côté didactique et plein de bonnes intentions. Mais peut-être est-ce juste mon ressenti en tant qu'adulte et les ados ne le percevront pas ainsi. C'est tout de même utile que le roman mentionne de bonnes adresses (le Refuge, le planning familial) ou parle de sujets encore trop peu abordées (l'endométriose, le consentement), mais peut-être les auteurs ont-ils voulu trop en aborder en un seul livre (la drogue, les sans abris, les rapports filles-garçons, etc.) au risque de parasiter le récit. Une autre chose qui m'a gênée c'est que n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, notamment à Jules. L'adolescence c'est de grands idéaux, ainsi qu'une soif d'absolu et de liberté, mais son côté jusqu'au-boutiste et sa façon de juger les gens m'a parfois heurtée, même s'il reconnaît lui-même qu'il se fait souvent une opinion des autres trop hâtivement. Son caractère est malgré tout cohérent et son parcours de vie peut expliquer ses décisions, peut-être était-il juste trop loin de moi pour que se développe mon empathie. Je m'attendais aussi à une amitié plus lumineuse entre Jules et Romane, moins heurtée. Les deux personnages semblent dire qu'entre eux c'est une évidence, qu'ils sont complices tout de suite et pourtant souvent on n'en a pas l'impression, ils se voient à peine, ont du mal à se comprendre et se font souvent la gueule. Bref des détails, mais une accumulation qui m'a empêchée de me laisser embarquer dans cette histoire malgré beaucoup de points positifs. L'alchimie n'a juste pas fonctionné avec moi. En revanche j'ai trouvé la fin réussie, elle ouvre sur beaucoup de beaux possibles ou alors sur une suite.
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N'ayant plus nécessairement bien en tête les noms des personnages et l'histoire, j'ai eu besoin de revenir vers Après la vague pour mieux comprendre En plein vol.

Je le disais, je n'ai pas passé un mauvais moment. J'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur les deux jeunes gens que l'on suit dans cette aventure : Jules et Romane.

Jules est la rencontre décisive, le compagnon de route de Nina, héroïne du roman précédent. C'est aussi un personnage énigmatique, blessé, passionnant que j'ai été ravie de retrouver car il m'avait beaucoup touchée.

Romane, elle, nous l'avions quittée aux prémices de son histoire d'amour avec Clément, le frère de Nina. C'était la meilleure amie de celle-ci, pourtant laissée de côté tout au long d' Après la vague.

Vous me suivez ?

Bref. Deux personnages à fort potentiel. Et une nouvelle vie pour eux deux sur les bancs la fac de socio.

Même si je n'ai pas trop saisi comment et pourquoi ils se retrouvaient ensemble au tout départ, je n'ai pas été trop gênée par cet aspect. Après tout, ils avaient Nina, ce point commun dont ils ne parlaient pas (vexés l'un et l'autre par son comportement). Suivre de façon alternée l'un et l'autre m'a menée très facilement jusqu'à la dernière page, sans vraiment peiner, mais un peu à distance.

J'ai pourtant aimé retrouver l'écriture fluide et combinée de Manon Fargetton et Jean-Crhristophe Tixier .

Et si j'ai trouvé qu'ils abordaient des thèmes forts, intéressants et originaux, j'ai par contre eu le sentiment qu'il aurait fallu en traiter moins pour que le récit ne perde pas en crédibilité.

Homosexualité, condition des SDF, drogue,... les sujets se mêlent mais ne trouvent pas forcément leur place les uns auprès des autres. Pourtant, pris séparément, ils sont plutôt bien traités.

J'ai été touchée par l'histoire personnelle de Jules, par son engagement à vouloir aider Van, la jeune biélorusse de la gare.

Et puis, il y a toute cette réflexion autour des sans-abris, de la façon dont on les prend ou non en charge. Tout cela est passionnant, engagé et nécessaire. Mais... dans la manière dont tout cela est amené ici, c'est juste trop. Et de fait, j'ai eu au final le sentiment que le message prenait le pas sur l'action, noyant le récit dans des clichés et des discours militants.

Et je me suis détachée, petit à petit, des uns et des autres, perdue dans tous ces sujets abordés, ne sachant plus où j'en étais.

C'est dommage, tellement dommage !

Vraiment dommage parce que, malgré ce que j'en dis, j'ai lu ce roman jusqu'au bout, touchée par certains moments. Il y a de beaux passages et des pistes de réflexions particulièrement intéressantes.

Un texte à côté duquel je suis passée mais qui, je le sais, a permis à beaucoup d'autres de s'envoler.
Lien : https://www.hashtagceline.co..
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Au vu de l'engouement autour de ce livre, je me suis tâté à le commencer. le début me semblait bien parti, l'histoire de Jules, jeune étudiant, autrefois SDF (car mis à la porte par ses parents parce qu'il est gay) qui a trouvé un boulot et un appartement en colocatation, et de son amie Romane, étudiante également en sociologie après que sa meilleure amie ait fugué et se retrouve à la rue.
Le contexte me plaisait bien mais je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Enfin, les deux personnages principaux sont pour moi beaucoup trop opposés l'un à l'autre et surtout beaucoup trop extrêmes. Noir ou blanc, il ne semble pas y avoir de nuances dans leur caractère est c'est ce qui m'a poussé à abandonner ma lecture vers le milieu...

Dommage car beaucoup de thèmes évoqués m'intéressaient : l'homophobie, la vie dans la rue, les études, l'amitié,...
Mais bon, tous les livres ne peuvent pas me plaire. Néanmoins je pense que c'est un bon roman ado qui pourrait plaire à d'autres.
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Livre proposé dans le cadre d'une "masse critique" privilégiée, peut-être parce que j'avais lu "Quand vient la vague" à qui ce roman est (trop) lié à : on y retrouve pas mal de personnages, des références à ce qui s'est passé dans le dernier livre qui m'avait moyennement plu mais qui possédait une intrigue, un souffle que le nouveau roman écrit à quatre mains n'a pase pas, à mon avis.
J'ai trouvé que le récit était très (et uniquement) ado, dans son écriture, dans la manière dont sont abordés les thèmes. J'ai trouvé aussi qu'il y avait une dissonance entre l'âge de ces étudiants et la manière dont on en parle, le tout est très lisse, très didactique, trop construit autour des personnages pour parler de problèmes de société, de santé qui pourraient intéresser de jeunes lecteurs.
Je ne fais pas partie du public-cible, ce qui explique la dureté de cette critique mais je pense qu'un lectorat beaucoup plus jeune n'est pas hermétique à des textes qui ne sont pas forcément en miroir.
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Je remercie Babelio ainsi que Rageot Editeur pour cette découverte. Clairement, je ne me serais pas tournée de mon propre chef vers ce livre. Ouverte à tous les genres littéraires ou presque ( je ne lis pas de fantastique), je suis sortie de ma zone de confort, ce que je fais de plus en plus fréquemment.

Isolé de sa famille qui ne l'accepte pas pour ce qu'il est, Jules est épris de liberté, d'égalité et de fraternité. Romane aussi. A sa façon. Ces deux jeunes adultes, s'ils ont un objectif commun, évoluent en parallèle. Alors que l'un est livré à lui-même, l'autre est entouré de personnes qui débordent d'amour pour elle. Deux mondes différents. Bien distincts. Deux mondes qui ne devraient en faire qu'un.

Beaucoup de sensibilité émane de ces deux personnages, qui, malgré leurs différences ne sont pas si éloignés qu'il n'y parait de prime abord.

Le passage de l'adolescence à la vie adulte n'est pas un long fleuve tranquille. Les embûches sont nombreuses. La frontière entre le blanc et le noir ténue. Mais en s'unissant, rien n'est impossible.

Un beau message d'espoir livré dans ce roman à quatre mains que bien des jeunes gens ( mais aussi des moins jeunes!) devraient lire.
Lien : https://labibliothequedeceli..
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Romane et Jules sont étudiants en sociologie. Chacun y va de son idéal mais leurs points de vue divergent. Ces deux jeunes se cherchent dans cette réalité de vie qu'ils se prennent en plein visage. Pour eux il est temps de passer à l'action.
« Chacun vit pour soi sans se préoccuper des autres. On a notre cercle intime, les très proches, et le cercle élargi de ceux qu'on voit davantage sur les réseaux sociaux qu'en vrai. le reste du monde peut aller se faire foutre. Ou mieux : disparaître. Ne pas exister. Que la présence sur nos trajets quotidiens de ceux qui survivent à côté de notre société policée ne vienne surtout pas bousculer notre confort. On ne les regarde pas. Je ne les regarde pas. Je détourne les yeux, gênée. Ou du moins, c'est ce que je faisais avant. »

À la lecture des 50 premières pages l'intrigue me plaisait assez. le thème des sans domicile fixe était cohérent avec le parcours scolaire de nos protagonistes et fort intéressant. Comment se positionner face à ce problème de société ? Je me suis dit que cette lecture allait être émouvante et questionnante. Hélas, le fil narratif s'échappe, s'éloigne en abordant beaucoup trop d'autres thèmes : l'homosexualité, l'endométriose, la drogue, la famille… Je suis larguée, trouvant les sujets peu approfondis. Je n'ai pas compris pourquoi les auteurs avaient fait ça. Peut-être l'envie de tout traiter pour mieux sensibiliser les jeunes lecteurs. J'ai fini par survoler le texte, déçue et la fin ne m'a que peu surprise. Je ne doute pas qu'il trouvera son lectorat :)

http://www.mesecritsdunjour.com/archives/2020/02/16/38028150.html
Lien : http://www.mesecritsdunjour...
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