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EAN : 9789991941394
Les éditions du Flamboyant (01/01/2003)
1/5   1 notes
Résumé :
Le Seigneur n’a t-il pas dit lui-même : « Si vous faites du bien au plus petit de ces créatures, c’est à moi que vous le faites ». Ananou écoutant cette parole de Dieu adopta deux orphelins qu’elle ramena du village ; un neveu et une nièce dont personne ne voulait, des enfants d’autrui, fils de personne... L’amour qu’une mère donne à son enfant, chair de sa chair, sang de son sang, elle devrait l’offrir également à ces enfants que la Providence lui confie. Les enfan... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Challenge Autour du Monde Direction le Bénin, Cotonou sa capitale économique. Ananou, une villageoise, depuis longtemps émancipée financièrement de son mari, s'y est installée avec sa fille Cica (élève de terminale) et sa protégée Kèmi, une jeune orpheline qu'elle a recueilli pour l'aider sur les marchés où elle tient son commerce de pagnes.

Autant le dire tout de suite, s'il n'y avait pas eu ce challenge, je pense que j'aurais vite abandonné cette lecture (ah, que ne ferions-nous pas pour les ours ?). Je ne vois pas très bien où veut en venir l'auteure ? L'écriture est correcte (mais sans plus) mais le récit bien trop linéaire. L'histoire de Cicou et de son fiancé (partagé entre deux femmes), qui représente une part importante de l'histoire, est abandonnée par la suite au profit d'un épilogue anecdotique et bâclé.

Le seul petit intérêt de ce livre réside dans la vision qu'il nous donne de la condition de la femme béninoise, les clivages entre les garants des traditions et les jeunes aspirants à plus de modernité. Mais rien qui ne vaille de lire ce livre à tout prix.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Ils ne savaient pas que ces femmes à elles seules détenaient le cordon de la bourse, non seulement dans leur ménage, mais également au niveau de l'économie du pays tout entier ; il suffit pour s'en convaincre de faire un tour dans les banques. Les comptes les plus fournis appartenaient à ces "nanas-benz" pour la plupart illettrées, mais qui avaient appris à faire fructifier l'argent en vendant parfois des cacahuètes.
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A la moindre négligence la vieille sort son refrain habituel : " la beauté d'une femme se voit à la propreté de sa cuisine ".
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