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3,63

sur 134 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'avais hâte de livre le nouveau roman de Malika Ferdjoukh, et la couverture attisait ce sentiment. Je n'ai finalement pas été emportée par ce roman de genre historico-policier-fantastique qui ne décolle jamais vraiment. J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs, je me suis plutôt ennuyée, et aie trouvé le dénouement prévisible. Dommage, car l'ambiance du Paris des années 1900 avec son cortège de peintres et de danseuses poseuses était bien établi. le basculement dans la dimension paranormale couplée d'une enquête sans grand relief ne m'a pas fait m'ancrer dans le roman.
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Un petit peu déçue de ma lecture :/ Je déambulais dans les allées de la librairie à la recherche d'une lecture courte mais avec une bonne intrigue. C'est alors que je suis tombée sur ce livre promettant une enquête fantastique dangereuse et pleine de rebondissements, se déroulant à deux époques différentes. le résumé m'a tout de suite conquise !

Je vais commencer par les points négatifs, et malheureusement il y en a pas mal. Tout d'abord, c'est un ressenti personnel mais je n'ai pas accroché avec la plume de l'auteur. J'ai parfois eu du mal à comprendre le sens de certaines de ses phrases et j'étais perplexe face aux choix de certains mots.

Ensuite, au niveau de l'enquête, je n'ai pas retrouvé le danger promis par le résumé. Les protagonistes mènent l'enquête dans jamais être en danger, à part peut être une fois vers la fin, mais c'est très bref. de plus, j'ai presque immédiatement identifié le coupable. Mais cela ne m'aurais pas posé de problème si le mobile était surprenant. Mais l'auteur ne nous donne aucun mobile pour le crime... cela est très décevant car c'était le seul élément de l'enquête que je n'avais pas réussi à deviner.

Je trouve dommage que le mobile n'est pas était développé car cela aurait permis à ce livre d'obtenir une meilleure note de ma part. C'est vraiment une déception car ce livre aurait pu être génial ! L'idée est génial, l'ambiance du 19eme siècle est très bien décrite et les personnages sont sympathiques et plutôt bien construits. de plus, j'ai aimé que l'histoire prenne place à Paris, cela fait du bien de lire un livre qui se déroule en France ! Surtout que l'autrice est su nous plonger dans le Paris contemporain et celui du 19eme siècle avec succès :)

En résumé, cette histoire aurait pu être un coup de coeur, seulement l'enquête n'est pas aboutie et la plume ne m'a pas convaincue...
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De même que quand il fait chaud les boissons citronnées ont une saveur de libre légèreté certains livres apportent une fraicheur en été. C'est le cas de Portrait au couteauMalika Ferdjoukh nous donne gentiment une histoire où ce qui fait art (si on fait la liaison) ne fait pas tare. le contenu de l'histoire donne plus que ce que promet la qualité de la couverture, qui peut être outrance au talent pictural, et qui incline certains à penser que ce livre est destiné à un public adolescent. Choix contestable de déterminer un public précis à chaque livre, et de présenter une couverture pour cibler.
Une lecture au goût de bonbon acidulé s'associe à la distraction mais peut aussi induire qu'il y a plus à y trouver que des paroles emmiellées.

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Une lecture qui sort de mes habitudes. Un roman policier considérer comme jeunesse par la maison d'édition qui permet de faire connaître le genre a de jeunes lecteurs. L'histoire bien que classique reste facile à lire et à comprendre. Loin d'être un roman nous plongeant dans le macabre à outrance, nous sommes ici avec un meurtre, celui d'une jeune femme dans les années 1900, quelques scènes explicites sur le meurtre en lui-même donc à faire lire à un public jeunesse mature, mais rien de choquant dans son ensemble.

Ce roman nous plonge dans une enquête qui se déroule de nos jours, sur un meurtre vieux de plusieurs dizaines d'années. La double temporalité, même si très peu utilisé (et cela est bien dommage), est le point fort de ce roman. L'ambiance mystique rend la lecture intéressante malgré une intrigue cousue de fil blanc qui s'avère facile à comprendre et doter d'une chute qui de mon côté était loin de me surprendre (j'avais d'ailleurs compris dès le début qui était le tueur). C'est donc un final sans surprise , mais une intrigue que j'ai tout de même pris plaisir à suivre grâce à la plume de l'auteure.

Ce roman reste très classique dans le genre, sans prise de risque avec une intrigue simple, mais qui reste efficace. Les personnages sont intéressants, sans être marquant. L'attachement de mon côté ne s'est pas fait. J'ai suivi leurs péripéties sans m'y plonger corps et âmes. J'en ressors donc ni conquise, ni déçus. C'est un petit polar sympathique qui sera, je le pense vite oublié de mon côté.
Lien : https://elodie-liseuse-lifes..
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Je découvre Malika Ferdjoukh avec un joli roman policier destiné à la jeunesse et plus précisément à partir de 12 ans. Dans ce récit, l'auteure alterne les allers-retours entre passé et présent.
En 1910, Marie Legay, une jeune danseuse à l'opéra de Paris accepte à contrecoeur de poser pour le peintre Odilon Voret. Tous les jeudis, Marie rejoint l'artiste dans son studio glacé et chaque séance est un supplice pour la jeune femme, car, celui qu'elle a surnommé "l'ogre" n'est point sympathique, mais plutôt le contraire. Justement, on est jeudi et la jeune femme y va pas trop de bon coeur à son petit job, mais elle se rassure en se disant que les 7 francs qu'elle gagne seront les bienvenus, surtout qu'elle compte s'acheter une nouvelle paire des pointes. Malheureusement pour Marie, la séance ne se passe pas comme prévu et tout bascule dans l'horreur...
Au XXIème siècle, Antonin et Elizabeth, deux étudiants aux Beaux-Arts suivent tranquillement leur cours de dessin, mais ils sont rapidement intrigués par le modèle qui pose, Flavie. La jeune femme porte sur son corps, plus exactement sous son coeur, 5 cicatrices étranges...
Ça aurait pu en rester là, mais quelques jours plus tard, stupéfaction, Antonin découvre au musée d'Orsay un tableau nommé "Le coeur déchiré' et il se rend compte avec effroi que Flavie, ressemble étrangement à la fille du tableau...
Tous les deux seront embarqués un peu malgré eux dans une enquête folle où, pour résoudre le mystère, ils devront faire face aux fantômes du passé, fantômes qui n'hésitent pas à communiquer avec le présent, pour le plus grand étonnement de nos enquêteurs en herbe.
J'ai bien aimé ce récit qui mêle avec brio une vaste palette des genres. On a de l'historique, du fantastique, du policier, et même de l'amour. La plume est efficace, accessible et fluide et malgré une fin assez prévisible, j'ai beaucoup aimé chercher les indices dans l'enquête. La première partie m'a d'avantage plu, la deuxième, je l'ai trouvée un peu brouillonne et précipitée. J'ai trouvé aussi parfois que les dialogues n'étaient pas assez naturels et pas tout à fait adaptés pour un jeune public (référence à une certaine phrase page 133, que je ne trouve pas nécessaire).
J'ai dans ma pile à lire le 1er tome du Broadway Limited et je me laisserai avec plaisir tenter, une fois de plus, par l'écriture de Malika Ferdjoukh.

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PORTRAIT AU COUTEAU de MALIKA FERDJOUKH - Roman jeunesse - Éditions Bayard - lu en Février 2022

Mes remerciements chaleureux aux Editions Bayard pour l'envoi de ce roman ainsi qu'à Babelio Masse Critique privilégiée de m'avoir permis de lire ce livre.

Je lis de temps à autre un roman jeunesse, cela maintient mon esprit au courant de ce qui s'écrit dans cette tranche d'âge. Et puis, je le transmets à mes petites- filles ados.

Nous sommes en 1910, cette période que l'on appelle La belle époque, mais pas pour tout le monde, l'hiver touche à sa fin, Marie, dans la fraîcheur de ses 16 ans est danseuse étoile au célèbre Opéra Garnier où elle espère bien
gagner du galon. Ce jour-là, en quittant l'opéra, elle se rend d'un pas rapide chez le peintre Odilon Voret qu'elle surnomme "l'ogre" dans le quartier de Montmartre. Il n'est certes pas un grand peintre, mais il est riche et paie bien les heures de pose. Journée fatale pour la jolie Marie, Quelqu'un la tue de cinq coups de couteau lorsqu'elle s'apprête à rentrer chez elle.
Odilon Voret devient alors célèbre grâce à son tableau intitulé "Le coeur déchiré" qui représente Marie poignardée. Ce fût sa seule gloire.

Mais qui a tué MarieLegay ? L'enquête piétine et est classée.

21ème siècle, deux étudiants en art, Antonin et Elisabeth,
lors d'un cours de dessin, remarquent sur le corps de Flavie qui pose pour les étudiants, des cicatrices mystérieuses ressemblant à ... cinq coups de couteau.

Ces trois-là n'auront de cesse de découvrir le lien entre Marie et Flavie et le tableau, ils vont chercher qui était l'assassin de Marie. Ils feront d'étranges découvertes, parfois surnaturelles.

C'est un roman jeunesse plaisant à lire, léger, intriguant, un chouette moment de détente. Je vais m'empresser de le donner à lire à ma petite-fille qui a tout juste l'âge de Marie.

"Malika Ferdjoukh a toujours été assez nulle en chiffres, dates, additions et calculs (moi aussi !!!). Pendant les cours de maths, elle écrivait des histoires à la fin de ses cahiers, ceci explique certainement cela.
Résultat : elle est bien incapable de dire combien de romans, de scénarios et de BD, elle a publiés à ce jour. Elle se trompe systématiquement sur son numéro d'étage, son âge, sa date d'anniversaire, ou le nombre des mousquetaires...
D'ailleurs, même ses Quatre soeurs sont cinq !
Tout de même, elle sait avec (quasi) certitude qu'elle a dans sa maison 104 étagères de bouquins, 17 théières, 3 chats."

Elle m'est bien sympathique Malika Ferdjoukh !!!


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C'est parti pour une plongée dans le monde des arts et le Paris bohème avec ce thriller fantastique où fantômes et artistes vont nous faire remonter le temps.
Tout commence au début du 20ème siècle, quand la jeune Marie est retrouvée poignardée dans le couloir d'un immeuble, devant chez le peintre à qui elle servait de modèle. L'affaire ne sera jamais résolue et le meurtre restera impuni. 100 ans plus tard, le jeune Antonin, étudiant en art, va se retrouver mêlé par hasard à ce mystère en faisant la connaissance de la belle Flavie, danseuse et modèle, comme l'était Marie. A leurs côtés, nous allons parcourir les musées et les rues de Montmartre, guidés par un spectre qui ne parvient pas à trouver le repos.

Un roman vite lu, pas désagréable mais qui peine à convaincre complétement, le plus gros point noir pour moi venant des personnages, dont les discours et le comportement sonnent souvent un peu faux et daté… Comme un vieux qui essayerait de parler jeune.
La résolution de l'enquête m'a un peu perturbée également : je ne sais pas si c'est parce qu'elle arrive un peu vite ou si c'est parce que les héros découvrent la vérité grâce à un élément fantastique qui sort un peu de nulle part, mais quelque chose m'a fait me dire : « quoi c'est tout ? ».
Mais à côté de ça l'univers dans lequel on évolue, ce monde artistique très parisien, est plutôt agréable et immersif. Quant à l'intrigue, elle est assez bien ficelée, les protagonistes sont intelligents et leurs découvertes sont (la plupart du temps) le fruit de recherches astucieuses.

Pas un coup de coeur mais un roman sympathique avec une ambiance chaleureuse et entrainante.
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J'ai reçu ce roman dans le cadre d'une opération Masse Critique et je remercie encore une fois Babelio ainsi que Bayard pour l'envoi de ce roman. Je dois avouer que je ne connaissais pas du tout l'auteure mais j'avais très envie de la découvrir avec ce roman. le résumé était intriguant et j'avais plutôt hâte de le découvrir. On part, au premier abord, sur une policier jeunesse. Mais au fur et à mesure que l'on avance dans notre lecture on se rend compte qu'il y a en plus de ça une petite part de fantastique qui apporte un côté très sympa à l'histoire.

Dans ce roman, on va être sur deux temporalités. On a d'abord une petite partie du roman qui va se dérouler durant l'hiver 1910. Tous les jeudis, la jeune danseuse Marie quitte l'Opéra de Paris et va poser pour le peintre Odilon Voret. Ce peintre elle le surnomme l'ogre. C'est un homme, grand, sombre, terrifiant et qui peint au couteau. Mais ce jeudi là le destin de Marie bascule dans l'effroi. La deuxième temporalité se trouve dans le présent. On va suivre Antonin et Elisabeth, deux étudiants en art, observent avec stupeur la jeune fille qui sert de modèle à leur cours. Flavie, porte au niveau du coeur semblables à cinq coups de couteau. Quelques jours plus tard, Antonin découvre avec fascination un tableau signé Odilon Voret. le tableau s'intitule le coeur déchiré. Il représente une jeune fille assassinée de cinq coups de couteau.. Au même endroit que la cicatrice de Flavie..

Je découvre l'auteure avec ce roman. J'ai beaucoup aimé sa plume. Elle est très agréable à lire. On a le côté jeunesse sans pour autant que ce soit trop jeunesse. C'est un roman qui se lit relativement vite et on ne voit pas les pages défiler. C'est très addictif, on est vraiment embarqué dans cette histoire assez particulière. On veut savoir ce qu'il s'est vraiment passé. On se prête carrément au jeu! C'était vraiment une lecture très sympa et j'ai vraiment beaucoup aimé cette intrigue avec son côté policier mêlé avec une pointe de fantastique.

J'ai beaucoup aimé les différents personnages que l'on côtoie. J'ai adoré l'énergie que dégage Elisabeth, c'est une jeune femme pétillante et pleine de vie, j'ai vraiment beaucoup aimé son personnage. J'ai adoré la suivre. Au début , elle essaye d'attirer l'attention de Antonin. On voit bien qu'elle a le béguin pour lui et elle fait tout pour pouvoir passer du temps avec lui. Quant à lui, il est si préoccupé par ce qui lui arrive qu'au début il ne le remarque même pas. Il est plus concentré sur le personnage de Flavie. Tous les trois se lancent dans cette enquête pour savoir pourquoi Flavie a les mêmes cicatrices que sur ce tableau. Surtout qu'elle fait partie de la lignée Voret. Je regrette tout de même un gros manque de profondeur autant sur les personnages que sur l'intrigue en elle même. Alors je sais bien que c'est un roman jeunesse mais j'ai trouvé parfois que tout était trop simple. Tout se réalisait bien trop facilement à mon goût. Et puis malgré l'étrangeté de la situation par moment, j'ai trouvé que les réactions des personnages manquaient de réalisme. Ils leur arrivent des choses étranges mais on dirait qu'ils n'ont pas vraiment de réactions.

En résumé, ce roman jeunesse est très intéressant malgré quelques petites choses qui m'ont « dérangées ». Enfin dérangée c'est un bien grand mot. Ce sont juste des détails qui m'ont légèrement chiffonnée. L'histoire a vraiment ce petit côté passionnant et addictif. J'avais vraiment hâte de savoir le secret de ce tableau mystérieux. Bon, on ne va pas se mentir, c'est tout de même assez prévisible. Mais étant donné que c'est un roman jeunesse ça peut se comprendre. Ce n'est pas une lecture qui m'a marqué mais ça reste une lecture assez sympa à lire.
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
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Un roman fantastique en partie historique, sur fond de thriller avec une amourette (voire deux) en prime, non dénué d'humour.
Nous allons effectivement faire des sauts dans le temps en 1910 puis un siècle plus tard, dans un Paris des artistes, dans les ateliers de peintres et au musée d'Orsay.

J'ai beaucoup apprécié la première partie historique qui nous projette en 1910. L'auteure a su retranscrire l'atmosphère de l'époque par des descriptions simples mais efficaces et a adapté la langue. le personnage de Marie est touchant et j'avais hâte ensuite de savoir le pourquoi-du-comment de ce qui lui arrive.
La suite du roman m'a moins convaincue. J'en apprécie l'intrigue mais plusieurs incohérences m'ont gênées.
/
J'ai trouvé les personnages un peu lourds avec leurs joutes de jeux de mots et plaisanteries. le côté amourette comporte trop de mièvrerie à mon goût et tout est trop téléphoné.

Au final un roman original avec une intrigue qui se développe à deux époques différentes mais un mélange des genres qui n'a pas permis de travailler les détails et me laissent un petit goût d'inachevé, malgré une langue soignée.
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J'ai beaucoup aimé mes dernières lectures des romans jeunesse de Malika Ferdjoukh, c'est donc avec enthousiasme que j'ai répondu favorablement à une proposition d'un masse critique spécial de chez Babélio sur ce titre… J'ai un peu hésité au départ, je dois l'avouer, sur le graphisme de la couverture, que je trouvais peu attirant. Nous plongeons dans les premières pages dans le Paris de 1910. Marie Legay, jeune danseuse à l'Opéra, pose aussi de temps en temps pour le peintre Odilon Voret. Un homme sombre, qu'elle surnomme l'ogre. Ce soir là, c'est également la mort qui l'attend, sous la forme de plusieurs coups de couteau. de nombreuses années plus tard, de nos jours, alors qu'Elisabeth et Antonin, jeunes étudiants en art, tentent de faire le portrait du modèle qui pose pour eux, ce moment du passé ressurgit. En effet, la jeune modèle, Flavie, a étrangement les mêmes traces que la fille d'un tableau célèbre de Odilon Voret, le coeur déchiré, exposé au musée d'Orsay. Va s'en suivre une enquête où se mêlent le fantastique, l'histoire de l'art et les sentiments amoureux. Elisabeth et Antonin ne sont pas au bout de leurs surprises… Je suis toujours attirée par les enquêtes qui tournent autour du monde de l'art. Et ici, je dois dire que j'ai été agréablement servie. de plus, les personnages créés par Malika Ferdjoukh sont toujours attachants. Elle a ce don de dresser le portrait de personnes que l'on aurait envie de connaître. J'ai ressenti d'ailleurs la même frustration que dans mes dernières lectures de l'autrice de ne pas voir leur représentation dessinée en parallèle. le drame d'avoir fait sa connaissance via l'oeil artisitique de Cati Baur. Après, je dois dire que j'ai été gênée cette fois-ci par l'écriture bien spécifique de Malika Ferdjoukh, souvent espiègle et parfois brouillonne, réclamant une attention que je n'avais sans doute pas assez cette semaine. Je me suis surprise à revenir en arrière, à relire des pages entières, pas certaine d'avoir compris où j'étais et avec qui. Ceci dit, j'aime vraiment beaucoup les univers qu'elle crée, et qui donnent, même en relatant un meurtre, foi en l'humanité.


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