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sur 133 notes
« Portrait au couteau » est un livre qui a été écrit en 2022 par Malika FERDJOUKH. Son premier livre roman « Embrouille à minuit » a été écrit en 1989. Ses romans « Sombre citrouille » et « Quatre soeurs » sont ses plus gros succès. Elle a reçu différents prix, notamment le prix «Sorcière »  en 2000 pour son livre « Sombre citrouille »,  qui figure d'ailleurs dans le « honour list » 2002 dans la catégorie «Ouvrages jeunesse internationaux ». Sa série de livres «Quatre soeurs » a même été adaptée en bande dessinée.
Dans l'histoire de « Portrait au couteau », il y a un enchevêtrement de temporalité car il y a Odilon VORET qui est un célèbre peintre dessinant Marie LEGAY, une jeune danseuse. Cette jeune fille va être malmenée par le peintre, ce moment se passe en hiver 1910, principalement dans le studio du peintre. Mais la suite de l'histoire va se passer au 21e siècle avec Antonin et Élisabeth, qui sont deux étudiants en art. Pendant leur cours, ils doivent dessiner une jeune fille nue qui se nomme Flavie et on va découvrir qu'il y a un rapport avec cette fameuse Marie LEGAY…
Dans ce roman, on trouve des enquêtes, du suspense et un petit peu d'effroi. 
Cette histoire m'a plu car elle parle d'une situation actuelle c'est-à-dire : la femme qui n'est pas respectée, qui est malmenée par un homme. Malheureusement cela existe encore de nos jours.
Mais je trouve que ce livre a aussi des mauvais côtés car il y a des moments où on se demande quel est le lien entre le passage et le reste de l'histoire et c'est aussi parfois difficile à comprendre mais à part cela, cette histoire est vraiment bien.
Ce livre me paraît mouvementé, étrange, captivant, on ressent parfois un petit peu d'effroi, l'intrigue procure des émotions …
Le fait qu'elle fasse aussi passer un message (dénonciation du féminicide) me semble aussi très important.
Je recommande cette oeuvre à tous ceux qui aiment les enquêtes, le suspense, la surprise et veulent avoir un petit peu peur.
Zélie
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Tous les jeudis, Marie, jeune danseuse, va poser pour le peintre Odilon Voret. Cet homme, qu'elle surnomme « l'Ogre », la terrifie, mais elle a besoin des 7 francs qu'il lui donne chaque semaine. Ce jeudi là pourtant, Marie a comme un mauvais pressentiment…
100 ans plus tard, à notre époque, Antonin, étudiant en art, découvre avec stupeur une toile signée Odilon Voret, qui représente une jeune fille assassinée de cinq coups de couteau. le problème ? La veille, la modèle qui a posé pour eux en cours avait des cicatrices exactement de la même forme et au même endroit que la jeune fille du tableau. Hasard ou coïncidence, ce sera le début d'une enquête qui emmènera nos personnages plus loin qu'ils ne le pensaient
Malika Ferdjoukh est une valeur sûre quant on veut passer un bon moment de lecture ! Donc je partais plutôt avec un bon état d'esprit en ouvrant ce roman. Mes attentes n'ont pas été déçues. L'intrigue est bien menée, et le suspens est conservé car on arrive à avoir des doutes sur plusieurs personnages alors que le début aurait pu désigner de suite un coupable. Là, l'autrice arrive à nous faire naviguer plusieurs fois entre différents meurtriers potentiels si bien qu'on finit par se demander si on a bien lu le début ! Les éléments paranormaux disséminés dans l'intrigue renforcent l'ambiance noire et mystérieuse du roman sans basculer totalement dans une histoire de fantômes.
En résumé, une enquête avec juste ce qu'il faut de sang, de peur et de secrets, dès 13 ans !
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Trois étudiants subjugués par un tableau étrange et envoûtant, lancés dans une enquête palpitante à travers le temps, à la recherche d'un assassin qui n'a jamais été identifié.
Voici un polar bien ficelé, saupoudré de paranormal, et rondement mené !
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J'avais hâte de livre le nouveau roman de Malika Ferdjoukh, et la couverture attisait ce sentiment. Je n'ai finalement pas été emportée par ce roman de genre historico-policier-fantastique qui ne décolle jamais vraiment. J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs, je me suis plutôt ennuyée, et aie trouvé le dénouement prévisible. Dommage, car l'ambiance du Paris des années 1900 avec son cortège de peintres et de danseuses poseuses était bien établi. le basculement dans la dimension paranormale couplée d'une enquête sans grand relief ne m'a pas fait m'ancrer dans le roman.
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De Malika Ferdjoukh, je n'ai finalement lu qu'une infime partie de son oeuvre. Mais deux de ses romans ont été des coups de coeurs : "Quatre soeurs" et bien plus récemment, son roman policier "Griffes". J'avais bon espoir que "Le portrait au couteau", récent lui aussi, me plaise. Contre toute attente, j'ai été très déçue par ce titre. Si l'intrigue de départ me semblait originale, j'ai été déçue par son traitement qui reste en surface. L'auteure se perd dans des dialogues à rallonge censés apporter de l'humour mais qui ne font que délayer l'intrigue. Les personnages ne m'ont pas convié plus que ça. Mais j'ai surtout été déçue par l'intrigue où il n'y a finalement pas de suspense. Pour ma part, j'ai trouvé l'intrigue policière ratée puisque j'ai deviné dès le début qui était le coupable et pourquoi.
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Malika Ferdjoukh a un talent incontestable pour raconter des histoires qui sont à la fois dans le quotidien et souvent avec une petite touche de fantastique au moment où on ne s'y attend pas.
La lecture est agréable, les phrases sont belles , avec un vocabulaire riche, sans être compliqué. C'est un plaisir pour les lecteurs, tant au niveau de la forme que du contenu.
Je n'aime pas particulièrement la littérature fantastique, et j'ai souvent tendance à trouver que les conclusions sont souvent tirées par les cheveux dans ce genre de littérature , si l'auteur ne maîtrise pas le genre.
Là , comme ça ne prenait qu'une partie du récit, c'était tout à fait maîtrisé.
En revanche, les relations entre les personnages m'ont vraiment surprise et même un peu déroutée.
Mais c'est exactement ce que je disais de l'auteur au début de ma critique, elle a le chic pour nous amener là où on ne s'y attend pas.
Une très grande autrice jeunesse.
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Meurtre centenaire.

Belle époque. Marie Legay, jeune danseuse à l'Opéra de Paris, pose tous les jeudis soir pour le peintre Odilon Voret. Ce dernier met Marie mal à l'aise.
De nos jours. Antonin et Elizabeth, étudiants en arts, sont intrigués par la jeune fille qui pose. D'étranges marques, comme des coups de couteau, sont visibles sur sa poitrine.

Sympathique roman jeunesse. le synopsis de ce roman a attiré mon attention. J'aime les policiers et le fantastique, donc il avait tout pour me plaire. Nous sommes face à un mystère qui transcende le temps. Qui a tué Marie Legay ? Pourquoi ces traces sur la poitrine de Flavie (la modèle) ?

Le roman se découpe en deux phases. La première suit Marie Legay jusqu'à son dramatique décès, la seconde suit nos trois héros pour découvrir qui l'a tuée. J'ai bien aimé les différents personnages. L'autrice nous les rend attachants avec leurs qualités et leurs défauts. Roman jeunesse oblige, l'autrice s'attache à beaucoup montrer leurs relations. L'enquête pourrait déboucher sur quelque chose de positif pour nos différents héros.

En ce qui concerne l'enquête, je l'ai trouvée relativement simple. J'ai deviné rapidement qui était le coupable. Malgré tout la suivre était très agréable. J'ai beaucoup aimé la partie fantastique de l'intrigue, ainsi que les touches d'humour que distille l'autrice.

En bref, un très sympathique roman jeunesse qui m'a fait passer un bon moment.
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Voilà plus d'une vingtaine d'années que je lis de façon quasi exhaustive les romans de Malika Ferdjoukh, et une fois de plus je ne suis pas déçue.

1910, Marie est danseuse à l'opéra et pose pour Odilon, un artiste peintre un peu terrifiant. Un soir on la retrouve assassinée de coups de couteaux en plein coeur ♥️ 🩸

100 ans plus tard Antonin et Elisabeth, étudiants en art, croquent un modèle prénommé Flavie dont les cicatrices les interpellent et qu'ils ont l'impression d'avoir déjà rencontrée…

L'enquête est lancée. Qui est véritablement cette jeune fille ? Qui a tué Marie près d'un siècle auparavant ? Quel lien entre les personnages ?

Un roman d'adolescence mystérieux et sanglant, le polar flirte avec le fantastique. La plume de l'autrice est toujours aussi efficace, on s'attache vite à ces jeunes gens passionnés.

Un roman court qui peut être une très bonne introduction à la littérature policière et fantastique.
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Dans les années 1910, une jeune fille, Marie Legay, pose pour un peintre : Odilon Voret. Mais à la fin d'une séance, Marie se fait violemment assassinée. Des années plus tard, Antonin et Élisabeth dessinent Flavie, une inconnue qui pose pour eux. Ils la regardent stupéfaits : elle porte cinq cicatrices en formes d'oiseaux sur son ventre ! Quelques jours après, ils découvrent une toile avec une jeune fille morte qui porte les mêmes cicatrices que Flavie. Tout cela a-t-il un lien ? J'ai bien aimé ce roman, car il y avait du suspens, de l'action et du mystère. Petit bémol : Certains passages sont peu crédibles. Mais j'ai adoré le roman. (Charia, 5ème)


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Paris 1910. Marie Legay, une jeune danseuse de l'Opéra de Paris sert de modèle au peintre Odilon Voret. Un jour, son corps est retrouvé inerte. Elle a été tuée de plusieurs coups de couteau et tout accuse le peintre. Pourtant, ce n'est pas si simple...

Un siècle plus tard, deux élèves des Beaux-Arts sont troublés par Flavie, un des modèles qui pose durant leur cours de dessin. Cette dernière porte les stigmates de plusieurs coups de couteau et le trouble des jeunes gens s'amplifie encore lors d'une visite au Musée d'Orsay, où ils découvrent un tableau du peintre Odilon Voret montrant une jeune fille assassinée de 5 coups de couteau.

Y-a-t-il un lien entre Flavie et la danseuse assassinée ?

Dans ce roman policier pour adolescents, il est beaucoup question de peinture, de processus créatif, de recherche artistique. S'il est bien écrit - on peut faire totalement confiance à Malika Ferdjoukh- ce roman pêche hélas par son manque cruel de suspens, sa platitude.

En grande fan de Malika Ferdjoukh, j'attendais peut-être trop de ce roman policier qui change de l'univers habituel de l'auteure. Un roman sans surprise, une intrigue à peine cachée et au final une lecture décevante pour moi.

À peine lu et déjà oublié...Dommage !
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