Ce roman, me prouve encore une fois que j'aime lire, que j'aime cette passion pour la lecture, j'aime le pouvoir qu'a un livre de me faire voyager, soit dans plein de pays, soit dans des lieux imaginaires, soit dans des univers inconnus pour moi. Et c'est le cas avec
La femme sans ombre, ce livre m'a transporter dans l'univers de la musique classique et avec les orchestres philharmoniques, c'est un monde que je ne connaissais pas et j'ai trouvé cela super intéressant, déjà un très bon point pour ce livre.
Ensuite, c'est un thriller un peu particulier, il n'y a pas d'action à cent mille à l'heure, le rythme est lent, mais cela installe doucement une pression et une tension qui va se libérer qu'aux toutes dernières pages. J'aime assez la construction de ce roman, on suit deux femmes et un chapitre après l'autre, on alterne avec les points de vues de chacune des deux. C'est le genre de livre qui le soir dans le lit t'empêche de te dire, « à la fin de se chapitre, je ferme et je dors ».
Je vous parlais de deux femmes un peu plus haut, et bien ce sont vraiment les deux personnages centraux de ce roman. Il y a un lien entre-elles, mais celui-ci ne sera jamais dévoilé, ce qui apporte une touche de mystère très appréciable. J'ai beaucoup aimé cette dualité entre la proie et la chasseuse. Ces deux femmes ont chacune un passé qui vient les hanter en permanence, elles sont torturées et cela est magnifiquement retranscrit par la plume de
Christine Féret-Fleury.
En bref, vous l'aurez compris, j'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture qui comme dit plus haut, m'a transporté dans un univers inconnu et m'a appris pas mal de chose sur entre autre Richard Strauss.
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