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4,13

sur 4228 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Les années passent et après les années 50 et 60, au tour des seventies de s'inviter dans la saga de "L'amie prodigieuse". Un troisième tome qui ouvre sur la maturité des deux héroïnes confrontées aux difficultés de la vie pour l'une et de l'ascension sociale pour l'autre. Naples, Florence. Lila et Elena sont séparées et chacune prend une voie propre pour le pire... et le pire.

Davantage de place laissée dans la narration au contexte politique et social de l'Italie, une narratrice plus égocentrée, un lien d'amitié/rivalité qui se distend, des longueurs qui s'invitent entre les chapitres. J'ai moins accroché à ce troisième tome même si je vais poursuivre ma lecture pour terminer la saga. A mon avis, moins de fraîcheur et d'originalité, plus d'enlisement dans le quotidien et d'apitoiement sur soi de la part d'Elena dont le complexe d'infériorité vis-à-vis de Lila me pèse de plus en plus. J'avais vraiment l'attente, par cette saga, de découvrir le portrait d'une belle amitié et je n'en finis pas de trouver à la place de la jalousie, de la frustration et de l'inimitié. Je porte mon dernier espoir dans le dernier volet.


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Cette 3ème partie de l'Amie prodigieuse est l'image de l'Italie fin des années 60-début 70. Lina et Lenu ont la trentaine et chacune leur propre vie.
Ici, l'auteur nous expose la vie des Italiens, plus précisément des ouvriers, des étudiants et des intellectuels. Chacun tente de s'en sortir, d'améliorer ses conditions de vie, et ce n'est pas sans heurt.
Naples n'est plus seule au centre de l'histoire. Il y a aussi Florence, Pise, Milan. Ici, les villes ont presque l'importance des personnages. L'ambiance y est toujours aussi bien décrite par Elena Ferrante.
De ce livre transparait une violence latente. La condition de la femme évolue peu à peu, celle des ouvriers également. Chacun aspire à une vie meilleure, à la modernité, à plus de liberté individuelle.
Révolution culturelle, ouvrière, début de l'informatique, tout change durant cette période. La mafia n'est jamais nommée comme telle, mais sa présence est ressentie.
Quant aux 2 protagonistes principales, Lina et Lenu, leur vie est maintenant bien séparée.
Quant à mon ressenti, concernant Lina, je ne m'y suis toujours pas attachée. Quand à Lenu, elle se cherche toujours, le regard des autres l'influence toujours autant...
Quant à la fin, ... alors oui, on a envie de connaître la suite (je vais donc assez rapidement me lancer dans la lecture du dernier tome), mais j'avoue avoir trouvé les dernières pages un peu jetées en pâture...
A suivre cependant ...!!
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Les deux amies et l'Italie contemporaine (ici, la fin des années 1960) continuent d'évoluer sous le regard impatient du lecteur !

Ce troisième tome fait la part belle à l'expérience de la maternité et les devoirs qu'il incombe, pas toujours compatible avec les désirs de femme pour la sphère privée, et les affrontements entre communistes et fascistes dans la vie publique. Et la plus grande tension du roman tourne autour de l'incapacité d'Elena à fuir Naples, bien que celle-ci s'en soit éloigné géographiquement, son passé napolitain - qui a forgé et conditionné sa façon de voir et appréhender le monde - la rattrape sans cesse.

On ne peut certes pas dire que ce tome est "mauvais", mais il m'a moins emballée que les deux précédents. Les thématiques abordées et les relations entre les personnages moins approfondies en font un tome de transition pas plus émoustillant que cela. Toutefois, comme pour les deux précédents (une fois les cent premières pages passées), on tombe vite dans le jeu "allez, juste un chapitre" auquel on ne pet se tenir ! C'est dire que l'engouement reste intact, du moins pour moi.
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Celle qui fuit et celle qui reste est le troisième livre de cette saga événement dont tout le monde a sans doute déjà entendu parler dans le monde littéraire : L'amie prodigieuse d'Elena Ferrante. Une saga familiale italienne, qui raconte la vie de deux amies d'un quartier pauvre de Naples dans les années 1950, que l'on voit grandir, évoluer et changer au fil des ans. Après Enfance, adolescence puis le nouveau nom, nous voici dans les années 1968, en pleins mouvements féministes et protestataires.

On y retrouve Lila et Elena, les deux jeunes femmes que l'on a connues petites, puis que l'on a vues grandir et mûrir. Elena a publié un livre qui rencontre un franc succès, elle écume les rencontres et les salons aux côtés d'Adele, sa belle-mère, mère de son fiancé et futur mari, Pietro, un homme cultivé, intelligent, promis à une brillante carrière universitaire. C'est lors d'une conférence que Elena se retrouve nez à nez avec Nino, son amoureux d'enfant, celui qu'elle n'a jamais oublié. Troublée par cette entrevue, Elena va reprendre contact avec lui, l'inviter dans son quotidien, qu'il va malencontreusement bouleverser.

De son côté, Lila vit une vie tranquille aux côtés de son fils Gennaro et de son nouveau compagnon, Enzo. Elle travaille dans une usine de salaisons, où les conditions sont déplorables et les hommes abusent de leur pouvoir. C'est dans ce contexte particulièrement tendu que Lila va s'intéresser aux mouvements de révoltes qui bouillonnent alors en Italie. Elena, toujours en contact avec sa meilleure amie, bien que moins fréquemment qu'avant, va l'aider à amplifier sa révolte et à faire entendre sa voix.

C'est toujours un plaisir de retrouver Elena et Lila, deux femmes attachantes, bien qu'extrêmement différentes. Elena est engluée dans une vie sans grand intérêt qui ne lui convient pas, elle est fade, effacée, elle ne maîtrise plus sa vie et se laisse bercer par son quotidien. Lila quant à elle reste fidèle à la petite fille qu'elle était : fragile et forte à la fois, obstinée, elle peut se montrer fourbe pour arriver à ses fins. Comme dans les deux premiers tomes, leur relation peut être qualifiée de toxique, tant on peine franchement à définir leurs liens. Tantôt elles semblent se haïr, se jalouser et se maudire, puis l'instant d'après elles s'entraident, se montrent généreuses et sympathiques l'une envers l'autre. Une relation complexe, parfaitement bien décrite par l'auteure.

Dans ce troisième volume quelque peu historico-social, Elena Ferrante nous plonge dans les affres révolutionnaires qui ont secoués l'Italie et plus globalement l'Europe entière, avec les contestations de mai 1968 en faveur de l'installation de relations égalitaires dans le monde du travail, des études, de la famille et plus immédiatement, contre le pouvoir en place à ce moment-là. On prend part à ces réflexions en se questionnant sur la condition et la place des femmes dans la société et dans le couple, alors qu'émerge progressivement un féminisme pour lutter contre le patriarcat.

J'ai toujours autant de plaisir à retrouver Lila et Elena. Néanmoins, mon intérêt pour le récit tend à s'amenuiser progressivement. Je suis quand même curieuse de découvrir le quatrième et dernier tome de cette saga forte, touchante, où amitié, amour, violence et affaires politiques et sociales s'entrecroisent à merveille.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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j'avais vraiment aimé le 1er tome de l'amie prodigieuse et son histoire d'amitié mais maintenant que je me trouve au 3ème tome de cette saga je trouve beaucoup de redites dans l'analyse psychologique des personnages qui évoluent finalement assez peu .L'ambiance de l'Italie au moment des années de plomb est bien rendue quoique traitée assez superficiellement. Bien sûr on a toujours envie de connaître la suite de l'histoire mais on voit là le problème des séries de continuer à tenir en haleine les lecteurs
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Troisième et avant-dernier tome de l'Amie prodigieuse, saga italienne sur l'amitié entre Lenu et Lila...
Devenues adultes, mères, "casées", les deux femmes continuent à se parler de loin en loin, mais c'est surtout leur amitié passée, leurs souvenirs du quartier de Naples, qui va influer sur leurs vies respectives, même à distance.

Bon, avis très mitigé sur ce tome... Premièrement, j'ai lu les deux premiers dès leur sortie, donc il y a relativement longtemps, alors je mélange un peu les personnages secondaires et les événements passés. Deuxièmement, j'avoue que j'avais hâte d'en finir, il y a désormais des longueurs, on n'en peut plus des prises de tête et revirements incessants de la narratrice, toujours engluée dans ses complexes d'infériorité. Une petite accélération de l'histoire vers la fin, mais tout ceci a tendance à devenir un peu trop sentimental et gnan-gnan pour moi.
Néanmoins, une fois en main, on a du mal à lâcher le roman, la narration est efficace et, surtout, on a envie de lire le quatrième.
Pari à demi réussi, donc !
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Plutôt que de chroniquer exclusivement ce troisième tome de la saga « l'amie prodigieuse » je vais m'attacher ici à communiquer mon ressenti sur l'ensemble des trois volumes parus.
« l'amie prodigieuse » conte les aventures et mésaventures de deux gamines, puis adolescentes et enfin adultes du début des années 1950 jusque vers la fin des années 1970, soit trois décennies de profondes mutations en Italie comme dans la plupart des pays d'Europe. Ce qui met immédiatement l'eau à la bouche à la lecture élogieuse des quatrièmes de couvertures de chacun des ouvrages, car on imagine d'emblée que l'on va plonger dans le bouillonnement des événements qui ont secoué la péninsule dans les années 60 et 70.
Las, il n'en est rien !

L'amitié de ces deux gamines, toutes deux évoluant dans les faubourgs les plus miséreux de Naples, c'est plus ou moins les rapports parfois chaleureux et confiants, mais le plus souvent tendus et empreints d'envie, de jalousie, de sournoiserie, voire de méchanceté de « Lena la cruche » et « Lila la garce ». Je sais, ce raccourci est un peu trop cavalier. Mais, au final et à l'issue de ces trois volumes, c'est bien ainsi, en résumé, que m'apparaissent ces deux filles, ces deux femmes. Aucune sympathie, ni pour l'une ni pour l'autre.
Lena, petite fille intelligente, remplie d'admiration pour Lila, qu'elle estime beaucoup plus brillante qu'elle-même se laissera, sa jeunesse durant, manipuler par cette dernière dont l'amitié parfois tendre, mais le plus souvent pernicieuse lui apparaît comme le phare de son existence. Lena veut réussir dans ses études, Lena veut plaire. Donc, Lena se plie à tout ce qu'elle imagine devoir faire pour parvenir à ce but. On ignore exactement ce qu'elle aime, elle, d'ailleurs aime-t-elle vraiment quelque chose ? Ce qu'on sait en revanche, c'est qu'elle est naïve et crédule, parfois jusqu'à l'imbécillité. Elle s'escrime à réussir des études, soit, mais dans quel but ? Qu'en fait-elle ? Eh bien, rien ! Elle se marie et se coule dans le moule de la conformité bourgeoise la plus étriquée … jusqu'à ce que ...

Quant à Lila, elle se dépeint elle-même comme une méchante fille. L'auteur la présente comme brillante, supérieurement intelligente, pleine de dons variés, capable de subjuguer tout ceux qui l'entourent. Tout ce qui passe dans ses mains se transforme en or. Mais que fait-elle de tous ces dons ? Ces parents refusant de la laisser étudier, elle va travailler dans la cordonnerie familiale, tout en dévorant en cachette les livres de la bibliothèque du quartier et ... apprend ainsi plus vite que Lena certaines parties de son programme d'études … puis tout à coup elle renonce aux livres, sans que l'on en comprenne la raison et adopte un comportement chaotique, qui va faire de son existence une succession de ratages, consentis, sinon provoqués !

Alors, on doit se poser la question, que font-elles donc, l'une comme l'autre, de leurs prétendues intelligences supérieures ?

L'histoire entière tourne autour des vies de Lena/Lila. Pourquoi pas et pourquoi ne seraient-elles pas le pivot des événements ? Certes. Hélas, et c'est là que le bât blesse, la plupart des protagonistes, et ils sont nombreux, n'ont aucune épaisseur psychologique. Mais alors rien ! Ce sont à une ou deux exceptions près, des fantoches interchangeables où seuls les prénoms diffèrent !
Ce qui est grave, car les garçons sont censés représenter des catégories particulières de la société italienne : le camorriste, le fasciste, le communiste, l'intellectuel, ou plutôt les pseudo intellectuels dont les deux représentants les plus éminents sont de parfaits cuistres … mais rien, on ne saura presque rien ou si peu des activités profondément nuisibles des groupes mafieux et des factions fascistes qui sévissaient dans la région napolitaine, pas plus que des exactions des Brigades Rouges qui ont pourtant empoisonné la vie italienne par l'activisme politique violent des années de plomb.
Tout cela est si peu abordé, ou si légèrement, que c'en est consternant !

Quant aux filles, camarades et amies de Lena/Lila, c'est bien simple elles sont carrément fantomatiques !

Bref, quelle grosse déception que cette lecture, manquant singulièrement de substance, dont j'attendais beaucoup, déception d'autant plus importante que la saga est rédigée de façon lourde et fastidieuse. Un non-style appliqué et laborieux !
La vie dans les quartiers populaires de Naples aurait pu, dû, donner lieu, outre les moments dramatiques, à des saynètes amusantes, cocasses, colorées, restituant l'atmosphère grouillante de mouvement, l'explosion de la vie des villes du Sud de l'Italie. Mais, que nenni.
Rien de tout cela, on apprend seulement que les femmes se font rosser par leurs époux, après que les jeunes filles aient été jalousement protégées par leurs frères ou leurs amis ! Que les hommes sont maîtres tout puissants et que les mammas n'ont qu'à se taire, obéir et élever leur marmaille ! (ce que de toutes façons, on savait déjà !).

La narration des vacances à Ischia de Lena et Lila, voyant la mer pour la première fois, aurait pu, dû, laisser transparaître leur joie, leur enthousiasme, leur émerveillement à la découverte d'un monde si nouveau pour elles. Mais, pas du tout.
Rien n'apparaît du bonheur légitime de découvrir la plage, d'entendre et d'écouter la mer, de la sentir ou de la respirer ! ...

Pour finir, un autre défaut et de taille. le récit, écrit par Lena reflète ses propres pensées et son vécu. Donc, lorsqu'elle évoque l'existence de Lila, elle ne fait que rapporter un récit de seconde main, ce qui alourdit singulièrement le propos et en outre, déséquilibre l'ensemble par un manque de continuité !

Quel dommage ! Car il y avait là tous les ingrédients d'une bonne histoire avec matière pour un ouvrage fourmillant de vie, simplement en donnant plus de souffle aux événements, aux personnages, aux lieux, en ne réduisant pas Lena et Lila à ces caricatures de deux personnalités fondamentalement opposées.
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Comme on dit dans ces cas là : il m'est tombé des mains.
Je n'en peux plus de l'effacement de Lena, de son complexe d'infériorité. Et pour compliquer le sentiment de mal-être, le texte me semble décousu. J'ai l'impression de ne pas lire une histoire mais d'être directement dans le flot de pensées de Lena, sans structure, sans filet. A moi lectrice de faire le tri et de rendre un texte bancal plus droit qu'il ne me l'est proposé.
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Après L'amie prodigieuse et le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d'histoire italienne et d'amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila. Désormais adultes, les deux jeunes femmes continuent le cheminement personnel qu'elles avaient amorcé dans le tome précédent. On y suit toujours leurs transformations physiques et psychologiques, leur quotidien difficile, semé de souffrances, de désillusions et de ruptures et cette étrange amitié, faite autant d'amour que de haine…

Dans ce troisième tome, l'auteure ajoute également un volet supplémentaire à sa saga du « rione » en couvrant l'histoire politique et sociale de l'Italie des « années de plomb ». C'est une période tumultueuse, de grands bouleversements, qui s'ouvre à la fin des années soixante et qui traverse toutes les années soixante-dix. Les événements de mai 1968 s'annoncent, les mouvements féministes et protestataires s'organisent, une période que Lila et Elena vivront différemment.

L'engagement de Lila dans l'émergence du syndicalisme et l'activisme politique ainsi que les considérations domestiques d'Elena ne m'ont pas toujours passionnée. Je crois que je préférais quand l'intrigue se limitait au seul quartier populaire de Naples, où vivaient alors Lila et Elena mais les deux petites filles ont grandi, évolué… et à l'intime est venu s'ajouter une dimension collective qui, il faut l'admettre, fonctionne à merveille.

Entre saga et essai, roman d'initiation et d'amitié, Elena Ferrante offre une réflexion sur la condition et la place de la femme, au sein du couple et dans la société. Abordant, entre autres, les questions ô combien controversées du sexe, du désir, de la maternité et de la contraception, elle dénonce et porte un coup au modèle patriarcal millénaire dans lequel les femmes se sont enfermées bon gré, mal gré. Et c'est sans doute ce qui rend cette histoire aussi passionnante en dépit d'atermoiements et tergiversations sans intérêt que j'ai parfois survolés !
Lien : http://histoiredusoir.canalb..
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Bon ! Ce tome m'a ravie ! J'avais hâte de retrouver Lila et Lenù, leur quotidien, leur évolution. L'âge adulte est là. Bel et bien là. Chacune continue sur sa lancée. Lila, fidèle à elle-même, acariâtre, grande gueule, hautaine, méchante. Lenù a écrit son livre. le petit succès quelle acquiert la rend toute chose. Elle n'en revient pas. Pourtant, tout le monde le savait au quartier. Qu'elle y arriverait.
Nos deux protagonistes continuent leur lancée sur le chemin de l'existence. Elles ne sont pas si proches que ça. La dépendance de Lenù envers Lila est toujours aussi insupportable. Pourquoi toujours vouloir lui plaire ? Se plier à ses exigences. Je trouve Lenù de plus en plus fade. Aucune personnalité. Avec des questions existentielles qui me font hausser les yeux au ciel. La méchanceté de Lila me désespère. Son comportement me mettrait presque hors de moi tellement je le trouve exacerbé. Je soupçonne chez elle quelque chose qu'on ne sait pas encore. J'attends. Patiemment.
Les personnages qui gravitent autour des deux filles va et viennent. Certains sans intérêt à mes yeux. Quelques longueurs quand Lenù parle politique et autre. C'est long, long, long.
J'en conviens, on pourrait penser que je n'ai pas aimé ce tome mais j'ai vraiment passé un bon moment même si les personnalités des filles ne me conviennent plus vraiment.
Lien : https://loeildem.wordpress.com
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Elena Ferrante est le pseudonyme de Erri De Luca, le véritable auteur des romans.

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