La petite fille du phare

Résumé:
Ploumanac'h. Un soir de Septembre. le temps d'une soirée dans un bar, Morgane et Elouan confie leur bébé, Gaela, à son frère adolescent. Au retour, un berceau vide.
Aucune trace d'effraction, pas de demande de rançon. L'enquête piétine. Très vite, la police pense que la petite fille ne sera jamais retrouvée. Pour les parents, l'enfer commence. On fouille leur passé et celui-ci présente des zones d'ombres. Bientôt Morgane est suspectée d'avoir fait disparaître sa fille...

Mon avis:
Un coup de coeur pour ce roman.
L'intrigue est bien ficelé, on a une multitude de piste, de suspect, de rebondissement. La fin est surprenante mais y réfléchissant c'est cohérent. Je me suis fais berner.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Morgane qui est forte, courageuse malgré les épreuves.
La plume de l'auteur est addictive, les chapitres sont très court et à chaque fin de chapitre on a des révélations.
Les romans de @christophe.ferre.auteur sont une valeur sûre pour moi. J'ai encore un roman dans ma pal hâte de le lire.
Je recommande vivement si vous aimez les secrets, les non-dits.

L'avez-vous lu ?
Connaissez-vous l'auteur ?

Très bon polar que j'ai dévoré en moins d'une semaine ! J'ai eu la chance de rencontrer l'auteur Christophe Ferré lors du salon du livre de Courtry. Au passage, c'est un homme fort sympathique !

Il m'a confié qu'il s'inspirait de faits-divers médiatisés pour écrire ses romans. En l'occurrence, pour "La petite fille du phare" il s'est librement inspiré de l'affaire du petit Grégory, qui m'a toujours curieusement passionné !!!

En effet, on y retrouve cette ambiance pesante, en soupçonnant tous les proches de la famille, mais surtout la mère, qui cache malgré elle beaucoup de chose...

Car l'histoire se déroule à Ploumanac'h en Bretagne, sur la célèbre Côte de granit rose. La famille Kergoat vit dans une villa proche de la plage de Pors-Rolland, et semble mener des jours heureux... Or, un soir, Morgane la mère, doit rejoindre son mari Elouan dans un bar voisin. Elle laisse la garde de sa fille Gaela âgée de seulement 10 jours, à son fils Arthur adolescent. Au retour de leur soirée, les parents retrouvent le berceau de leur bébé vide !!!
Leur fils Arthur n'a rien vu, rien entendu...

A partir de là, commence l'intrigue aux multiples rebondissements, pour rechercher ce nouveau-né qui s'est entièrement volatilisé dans la nature. Jusqu'à la fin le suspense est à son comble, au point de suspecter tout le monde, et de tomber de haut en découvrant le coupable. On s'attache beaucoup au personnage de la mère, dont le juge Ornano s'acharne sur elle tellement il la trouve mystérieuse du fait de son alibi bancal... cela m'a beaucoup fait penser au sort de Christine Villemin qu'elle a vécu au moment du meurtre de Grégory, lorsqu'elle subissait l'acharnement du juge Lambert.

Je ne veux pas en dévoiler plus, pour celles et ceux qui voudraient lire ce roman policier au rythme haletant !
Alors bonne lecture à tous !

L'enlèvement d'une petite fille de 10 jours dans des conditions plus que suspect va nous immergé dans un thriller / policier intense avec un suspense intenable jusqu'à la fin. 

Je suis fan de la plume de Christophe Ferré ( que j'ai eu la chance de le rencontrer et parler avec lui ) . Il a un style d'écriture ou quand tu commences à lire, tu ne peux plus t'arrêter tellement c'est prenant, palpitant, surprenant et addictif. 

Dans ce roman, la petite fille du phare. 

On est vite plongé dans une intrigue et une histoire extrêmement énigmatique qui nous emporte vers un suspense insoutenable. La mère est la première suspecte tout du long, elle va tout faire pour retrouver sa fille et prouver qu'elle n'a rien fait.  ( même quand sa fille sera retrouver) c'est un cauchemar pour cette mère qui cache bien des secrets ( mais cela fait t'elle la coupable ? ). 

L'auteur encore une fois à su m'immerger dans une histoire écrite d'une main de maître. Je me suis beaucoup attaché à cette maman qui vie des moments horrible et qui ne sais plus à qui se fier. Jusqu'à le dénouement final, je n'ai rien vu venir . J'étais à 100 lieux de la vérité qui est glaçante. 

Pour moi , encore un roman de l'auteur qui m'a fait éprouvé de l'empathie pour cette maman  ( même si je n'approuve pas qu'ont laisse des enfants seuls à la maison) du suspense, des rebondissements, de l'angoisse, de la colère a certaines actions de certains personnages, de la stupeur, de la tristesse et cette fin qui est OMG dont je n'ai pas du tout vue venir... 😱
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Un livre très surprenant et rempli de suspens ! Comment dire... j'ai bu les pages une par une ! J'ai adoré ce livre et je trouve qu'il mérite d'être amplement connu !

La disparition de la petite laisse supposer que tout le monde peut être coupable, et la mère est accusé en premier. Pourtant tout le monde se rejette la faute et chacun semble avoir une part de responsabilité dans cette disparition, mais quand on apprend la fin c'est un retournement de situation énorme ! J'aurai aimé juste rencontrer l'amant un peu plus, car à première vue il me semblait être très énigmatique, surtout que leur rencontre semblait tout aussi énigmatique.

La mention du titre ''la petite fille du phare'' on la comprends environ vers les 300èmes pages... Mais ça en vaut le coup ! Fan de thriller/polar à suspens, je ne peux que vous le recommander !

J'ai choisi ce livre car il était mis en avant à la mediatheque. le résumé me paraissait intriguant. Un bébé qui disparaît en Bretagne, ça me paraissait une histoire intéressante.
J'ai très vite dechantée, je n'ai pas du tout aimé la façon dont c'est écrit, on a l'impression que chaque personnage est coupable, que tout le monde a des secrets mais la façon dont c'est écrit, ça donne plus envie de tourner les pages pour savoir la fin plutôt que de lire l'histoire en elle même. Je me suis forcé dans ma lecture espérant qu'à un moment il y aurait le déclic..et bin je ne l'ai pas eu malheureusement

Quelle déception ! Les mots me manquent pour parler de ce livre d'un vide abyssal, ou plutôt rempli d'un excès d'erreurs qui se succèdent jusqu'à l'écoeurement.
J'ai - chose rare - acheté ce livre après avoir lu une seule critique très positive. D'habitude, je prends le temps d'envisager un achat, j'y réfléchis, je renonce, parfois, ou je finis par céder. Mais c'est rarement sur un seul retour, tout positif qu'il soit.
Me voici donc confortablement installée, prête à vivre une aventure au suspense haletant, si j'en crois l'avis posté sur un réseau social. Et là, la chute. Immédiate. L'écriture, d'abord... Mon Dieu. le vocabulaire est pauvre et lourd à la fois. L'auteur prend plaisir à ressasser les mêmes mots, les mêmes expressions, probablement parce que ça sonne bien à son oreille. Quand vous relisez ”coups de boutoir” à chaque paragraphe pendant dix pages, c'est écoeurant. Il y a très certainement beaucoup d'autres manières de parler de la mer bretonne déchaînée. Et par opposition, il évite de répéter le prénom de l'héroïne, lui préférant le terme ”la mère de Gaëla” par exemple, ce qui, en l'absence de ladite Gaëla, paraît surprenant. Et la découpe des chapitres est très aléatoire, interrompant une scène après deux pages pour la reprendre la page suivante à l'endroit même où elle s'est interrompue. Épuisant...
Ensuite, le récit lui-même. Les personnages sont tous, absolument tous, antipathiques. Ils sont bêtes, méchants, stupides... ils n'ont aucune personnalité et sont dénués de sentiments. Et ils parlent comme personne ne parle, usant de termes ronflants que même les plus cultivés d'entre nous n'utiliseraient pas dans une conversation parlée.
Quant à l'intrigue, à part nager dans le sordide, elle ne nous offre rien de concret.
Fuyez, amis lecteurs, ne gâchez pas de précieuses minutes de lecture avec ce roman.

Christophe Ferré est un auteur français ayant gagné le Grad Prix de la nouvelle de l'Académie française. "La petite fille du phare" est son dixième roman.
On y suit une famille bretonne, à Ploumanac'h, Côte de granit rose. Morgane, la mère. Elouan, le père. Arthur, l'aîné. Gaela, la nouvelle née. Mais un soir, alors que les parents ont laissé la petite sous la surveillance de son frère de 13 ans, cette dernière disparaît. Une enquête policière éprouvante commence, d'autant que la mère fait partie des suspects...
Ce livre est mon premier de Christophe Ferré et je dois dire qu'il ne m'a pas vraiment plu. Tout d'abord, sa plume. On commence par de l'info-dumping. Les premières pages servent surtout à nous donner toutes les informations d'un coup (paysages, personnages, relations...) ce qui est assez plombant ; mieux vaut les dispatcher pour les rendre plus digestes. On retrouve facilement des répétitions et l'auteur a l'air d'aimer lister les choses. Ça peut créer un bon effet mais quand c'est constant, ça n'a plus d'utilité. Et petit plus avec le terme misogyne "hystérique" toujours présent. À croire que les auteurices sont amoureux.ses de ce terme. Je ne trouve pas qu'on plonge suffisamment dans les sentiments des personnages et qu'il y a même des moments qui manque de sens (ex : la mère notifie le mal être de son fils, s'énerve brutalement pour se calmer aussi rapidement puis le gifle soudainement puis s'excuse. Tout ça en une seule conversation d'une page.) Ce qui m'amène aux personnages et à l'histoire en elle-même.
On suit principalement Morgane, la mère. Elle semble idéalisée par le narrateur, qui paraît chercher à nous pousser à l'apprécier. Sauf que c'est un personnage très antipathique : elle rejette la faute sur tout le monde sauf elle, elle reproche aux autres ce qu'elle fait elle-même, elle semble très bête, elle a constamment le discours du "je ne suis pas comme les autres", elle est égocentrique, elle est manipulatrice (surtout avec son fils), elle est paranoïaque, elle est infidèle, elle est maltraitante. Il est intéressant de suivre un personnage antipathique mais à condition qu'il soit nuancé et que la narration reste neutre. Ici, je ne lui trouve aucune qualité, je n'arrive pas à être empathique envers elle alors qu'il est facile de m'avoir sur ce point là et elle est constamment victimisé même quand elle fait elle aussi du mal. En plus, elle semble constamment influencée par ses hormones. Quand elle a une interaction avec Nando qui est une sorte de pervers narcissique, avec la description des pensées de Morgane, on a plus l'impression qu'elle a peur de retomber dans ses griffes non pas à cause de sa capacité à manipuler, mais juste à cause de son physique. Il aurait été plus correcte d'appuyer le côté manipulateur. C'est très bien de vouloir montrer ce genre de chose, mais c'est trop maladroit. (D'autant que l'auteur rajoute que Nando a peur de la justice sauf que ce n'est pas du tout représentatif. Si les hommes se permettent d'être autant violent, surtout envers les femmes, c'est bien parce qu'ils savent que la justice ne leur fera rien). Les violences montrées sont donc soir maladroites, soit minimisées (oui, gifler son enfant, c'est battre son enfant, c'est être violente et maltraitante) puisqu'on a aussi droit à une scène entre Elouan et Morgane, où Elouan veut d'elle, Morgane non, mais elle ne l'exprime pas, ils finissent donc par coucher ensemble sans son consentement et Morgane finit par aimer ça. Ceci est une totale banalisation du viol conjugal.
Je suis allée jusqu'au bout dans l'espoir que la fin soit bien meilleure que les rebondissements de ce livre mais elle n'est pas particulièrement incroyable. C'est assez basique et sortie de nulle part, même si l'auteur a essayé de nous convaincre en répétant tout au long du livre que l'enquête est "hors norme", ça n'a pas pris sur moi. le livre aurait déjà pu être meilleur s'il n'avait pas tiré en longueur. Environ 300 pages suffisent normalement pour un bon policier, plus de 400 pages écrites aussi petit est bien trop long pour quelque chose de ce niveau.
Si vous aimez les histoires familiales étranges et intrigantes, je vous conseille plutôt "Ils sont chez nous" de Lisa Jewell.

Avant de commencer, je tenais personnellement à mettre en avant l'excellent choix de la couverture du roman, qui dégage déjà beaucoup d'émotion et que je trouve particulièrement belle !

Rarement, je n'ai lu un roman avec un tel suspense et une telle tension sur la longueur d'un récit !

Qui a-t-il de pire pour une maman que l'enlèvement ou la perte d'un enfant ?
Morgane et Elouan sont complètement perdus lorsqu'ils se rendent compte en rentrant chez eux de la disparition de Gaela qui n'a que quelques jours. Comment des parents, ont-ils pu laisser un bébé avec la garde seule de son grand frère, jeune adolescent ? J'ai trouvé se passage, un peu “léger”, mais c'est aussi ce qui peut expliquer la suite du récit…

Ce n'est pas possible, cela ne peut pas leur arriver, d'autant plus qu'ils ont déjà perdu une petite fille quelques années plus tôt.
Pourquoi le voisin accuse-t-il Morgane ?
Pourquoi la police elle-même est persuadée de sa culpabilité ?
Elle ne comprends plus rien, mais refuse de baisser les bras, en enquêtant elle-même de son côté !

Le récit de Christophe Ferré est très émouvant, on passe très vite de la colère à l'incompréhension totale. Les chapitres très courts s'enchaînent à toute vitesse et l'auteur non seulement nous promène à travers la magnifique lande bretonne, sur la côte de granit rose, un lieu magnifique, comme si nous y étions avec moult détails, mais il s'amuse surtout à nous perdre suite à la succession de “preuves”, de rebondissements jusqu'à la fin du récit, dans une confusion totale pour notre héroïne, et pour mon plus grand plaisir tellement je n'ai rien vu venir… J'y ai cru un moment, j'ai très vite abandonné, je me suis de nouveau persuadé qu'il ne pouvait s'agir que de “ça”, pour très vite me reperdre au travers des nouveaux événements qui se succédaient sans fin…

Christophe, non content de jouer avec les nerfs de Morgane et de son mari, joue avec les nôtres et fini par m'embrouiller complètement sans jamais me perdre totalement, malgré la vitesse de l'enchaînement des fausses pistes !

Qui ment, qui dit la vérité ?
Il va falloir être patient pour le découvrir, en attendant profitez des descriptions sublimes proposées par l'auteur, Ploumanac'h, son phare, les rochers en bord de mer avec des roses très particuliers, le bleu du ciel, les vagues qui explosent sur le récif dès que le vent se lève…

Un très bon thriller psychologique qui fait froid dans le dos…
Lien : http://leressentidejeanpaul...

Gaëla, dix jours, laissée sous la surveillance de son grand frère, disparaît mystérieusement Sa mère est effondrée, mais très vite, elle devient suspecte. C'est vrai qu'elle ne fait rien pour aider les enquêteurs. Quels secrets veut elle cacher ? Que s'est il passé ?
Malgré quelques invraissemblances, de longues énumérations et des dialogues pas toujours authentiques, on se laisse prendre par cette histoire très rythmée avec de nombreux rebondissements et on enfile les pages sans s'en rendre compte.

Je reste très mitigée , j'ai eu beaucoup de difficultés à entrer dans l'histoire et les 300 premières pages m'ont semblees interminable, …j'ai continuer la lecture par respect pour la personne qui me l'a donné .Je n'ai pas trouvé l'écriture très jolie , certains dialogues sont peu intéressants même s'ils donnent du souffle à ce pavé (plus de 500 pages)et j'ai trouvé que la personnalité des différents protagonistes étaient trop superficielles et surtout j'ai trouvé le personnage de Morgane peu crédible et peu réaliste . Mais pour les amoureux de la Bretagne,vous y trouverez de belles cartes postales .