Le voyage extraordinaire, tome 1

1927, la Première Guerre Mondiale se poursuit. Émilien et Noémie sont deux cousins en pensionnat. Férus de sciences, ils se réfugient dans leur univers foisonnant d'inventions. Quand les parents de Noémie les rapatrient tous deux au domaine familial, c'est le début d'un voyage extraordinaire…

Une pincée d'uchronie, un soupçon de steampunk et une inspiration vernienne pour une bande dessinée de science-fiction convaincante. Dommage que les histoires de robots et de machinerie ne soient pas vraiment ma tasse de thé.

Petit blocage aussi sur cette mention de « Première Guerre Mondiale » en cours, comme si la narration anticipait déjà sur une seconde voire une troisième…

Les dessins de Sylvio Camboni sont chargés de détails et collent bien à cet univers. Ceci dit, pas toujours fan des grands yeux des personnages.

J'espérais trouver un substitut au « Château des étoiles », histoire de passer le temps entre deux gazettes mais mes attentes sont loins d'êtres comblées.

Comment résister à un si beau livre-objet? Les planches, les dessins et les couleurs sont sublimes et les références à Jules Verne plus que évidentes. Néanmoins l'histoire ne m'a pas spécialement captivée, ça parle beaucoup et il ne se passe pas grand chose. Je n'apprécie pas les deux personnages principaux que je trouve assez insupportables et condescendants... Peut être me laisserais-je tentée par la suite afin de voir si l'histoire décolle mais ce ne sera pas une priorité pour ma part.

La première chose que j'ai remarqué sur cette bande dessinée, c'était sa couverture. Elle me faisait penser aux couvertures des Jules Verne quand il publiait chez Hetzel. Vous savez, ces superbes couvertures rouges et or. Et bien, là, c'était dans le même style, mais un peu plus moderne avec une belle illustration au milieu. du coup, je me suis dit « oh, c'est peut-être une adaptation d'une des oeuvres de Jules Verne ! »

Je n'avais pas juste mais pas totalement faux non plus. En effet, cette histoire n'est pas une histoire écrite par Jules Verne. Cependant, il me semble que c'est le même univers, sans compter qu'on nous parle de ce talentueux écrivain (enfin disons plutôt que son nom est mentionné plusieurs fois). Nous retrouvons donc cet univers un peu décalé, cette plongée dans un passé très différent. Un passé où il existe des machines extraordinaires (c'est ce qu'on appelle le steampunk si je ne me trompe pas). C'est intéressant. le scénario est plutôt sympa, même s'il m'a semblé plutôt facile. En effet, on sait presque à quoi s'attendre dès que l'intrigue démarre. Mais c'est une histoire agréable cependant.

Une histoire très bien illustrée par le talent de Silvio Camboni. Je n'ai pas spécialement aimé sa façon de dessiner les visages de ses personnages, mais il faut reconnaitre que ses décors et surtout ses machines sont très bien réussis. J'ai particulièrement apprécié la façon dont il a rendu le laboratoire sous-marin. J'aurai aimé y être.

Une bande dessinée sympathique donc, agréable à lire, j'ai passé un bon moment de lecture. Mais je crois qu'il ne faut pas lui en demander plus.

Un début de série prometteur, les illustrations sont très belles et le scénario captivant. J'ai moins apprécié les tomes suivant. Néanmoins, on passe un moment agréable à lire ces livres.
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Je trouve que se livre et moyen car il ne donne pas trop de détaille.

Tout d'abord, j'ai été attiré par la couverture de cet album. Elle reprend le style des anciennes éditions des livres de Jules Verne, avec un dessin qui nous apprend que l'on va directement plonger dans une aventure steampunk. D'ailleurs, on sent bien que les auteurs ont voulu être proches de l'univers de Jules Verne : pleins d'inventions, de galeries sous-marines, des engins innovants, etc.

Dès la première page, on apprend également que nous sommes dans une uchronie. Eh oui, c'est la Première Guerre mondiale, des avions nazis volent au-dessus des côtes normandes (plus précisément, les falaises d'Etretat). Mais nous sommes en 1927 et nous ne savons depuis combien de temps la guerre a commencé. En plus des alliés et des nazis, il existe le Troisième axe, une "armée" composée de méchas ou robots, qui sème la zizanie d'un côté comme de l'autre.
Après cela, on rencontre les deux protagonistes, Noémie et Emilien, des cousins, inventeurs et mécanos particulièrement doués. Comme les parents de Noémie sont de retour en Angleterre (pour la première fois en 7 ans), les cousins sont de retour au château familial pour les vacances voire pour plus longtemps. Grâce à leur nouvelle préceptrice, Amélia, on apprend que le père d'Emilien a disparu alors qu'il testait un prototype avec son assistant Térence.

Sur fonds de conspiration, complot, guerre, mécanique, mystères, on a là une sympathique histoire. Plutôt dense pour les 48 pages de cet album ! Pas de temps mort, de l'humour, de l'action et beaucoup de dialogues. Et une fin qui se termine sur le visage d'un homme mystérieux (quoique qu'il y ait une ressemblance avec le visage de Terrence...).

Les dessins et le design des personnages sont agréables à l'oeil. le dessinateur Camboni a réalisé de biens belles cases dont celles sub-aquatiques. Certaines cases fourmillent de détails et c'est une chose que j'apprécie beaucoup.

Je vais lire la suite avec plaisir. En espérant que cela reste du même niveau.

P.S : l'histoire et quelques graphisme me font penser à quelque chose que j'ai déjà lu ou vu mais ma mémoire me joue des tours...

J'ai mis un temps fou pour finir une bande dessinée plutôt courte. Je ne saurais expliquer pourquoi je n'ai pas accroché à l'histoire...

Je n'ai pas spécialement aimé les illustrations, ni l'histoire en elle même, la lecture m'a plutôt ennuyé.

Dommage qu'elle ne remporte pas un franc succès pour ma part, mais c'est juste mon opinion.

Interpellée par le très joli graphisme de la bande-dessinée « Le voyage extraordinaire » de Denis-Pierre Filippi et Silvio Camboni, j'ai enfin pris le temps de me plonger dans le premier tome de cette série pour la jeunesse. Si je n'ai pas été déçue par cette lecture, je n'ai pas non plus été particulièrement emballée. C'est léger et divertissant, parfait pour un moment de détente.

Le récit s'ancre en 1927, dans un contexte historique tendu : la première guerre mondiale continue de faire rage et l'opposition entre la Grande-Bretagne et l'Allemagne est plus féroce que jamais. Une troisième force, obscure, mystérieuse et apparaissant sous la forme de robots prend part au conflit, attaquant sans distinction ennemis et alliés.
Dans une ambiance steampunk à la Jules Verne, cette bande-dessinée nous conte les aventures épiques de Noémie et Émilien, deux jeunes cousins complices et ingénieux qui aiment se livrer à des expériences dans leur fabuleuse cabane-laboratoire construite au coeur d'un arbre. Leurs parents sont de grands inventeurs et voyagent à travers le monde : peu souvent présents, ils ont confié très tôt leurs enfants à un pensionnat, dans lequel ils vivent depuis de longues années. Alors qu'ils s'apprêtent à passer de nouvelles vacances au sein du pensionnat, ils sont surpris par le retour imprévu des parents de Noémie. Invités à les rejoindre dans leur fascinant manoir, ce sont des vacances inattendues et mystérieuses qui se profilent. le père d'Émilien a disparu pendant qu'il effectuait les essais d'une nouvelle machine, imaginée et conçue pour le concours Jules Verne... et voilà nos deux héros intrépides lancés dans une enquête haletante !

Alliant habilement aventures, mystères, découvertes et révélations, ce récit nous entraîne au coeur d'une intrigue obscure, d'une conspiration peut-être d'ordre mondial... ?! le récit est dynamique et les événements s'enchaînent avec fluidité, emmenant nos deux héros au coeur d'une machination d'une ampleur insoupçonnable. Curieux et déterminés, les obstacles ne parviendront pas à les arrêter dans leurs investigations.

Le récit est porté par un magnifique graphisme qui a rattrapé amplement le manque d'intérêt que j'ai ressenti pour l'intrigue. Les traits sont fins, précis et fermes, la colorisation est douce, lumineuse et délicate : ces choix sont propices à l'instauration d'une ambiance merveilleuse. Chaque case fourmille d'abondants détails et sollicite l'imagination du lecteur. le lecteur peut se laisser happer par cet univers Steampunk teinté d'onirisme.
Une découverte décalée et plaisante, mais dans un genre avec lequel je n'ai pas d'affinités...
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de très beaux dessins, c'est ce qui m'a attirée. Beaucoup de termes techniques, dûs au monde des inventions. Référence à Jules Verne : histoire, inventions, mais aussi couverture rouge et dorure !
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Une ambiance particulière, avec un cadre uchronique voire un peu steampunk, une bonne dose d'aventure, de sciences, et références à Jules Verne en tout genre. Avec en plus de ça de très beaux dessins (surtout au niveau des machines et des décors, parce que je suis pas trop fan du design des personnages).

Mais malgré tout, j'ai eu beaucoup de mal à accrocher, un récit qui va trop vite, et dans tous les sens, tout en restant trop simpliste. On s'y perd, et ça devient assez vite ennuyeux.