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3,26

sur 1493 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Que dire de plus que rabanne quand on a le même ressenti et que le bouquin vous tombe des mains de la même manière ?
Rien. Si ce n'est que "Charlotte" attendra dans ma bibliothèque que le souvenir s'estompe...
Pourtant, "Le mystère Henri Pick" ne m'avait pas déplu. Il faut dire que je l'ai lu après avoir vu le film et ma lecture était sans doute habitée par le souvenir de l'excellent Lucchini...
Abandon ! C'est rare chez moi... Mais comme rabanne (encore !), ça m'arrive plus souvent maintenant que par le passé...
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J'ai été réellement déçue par ce roman.
C'est vrai qu'après la lecture de "la délicatesse" et des "souvenirs" , livres que j'ai beaucoup aimés pour le style ciselé de l'écrivain, j'ai trouvé ce roman très médiocre.
On sent certes de temps à autre, ici ou là ,au travers de quelques formules pittoresques percer l'écrivain génial qu'il est devenu mais j'ai eu l'impression de perdre mon temps !
J'attends donc le prochain Foenkinos.
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Quand la collection devient tellement envahissante qu'elle pourrit la vie de celui ou celle qui collectionne... La maladie mentale n'est pas loin, le suicide non plus..! La situation personnelle d'Hector serait risible si elle n'était pas si pathétique... Heureusement pour lui, la chance va enfin lui sourire ! Trouvera-t-il son équilibre dans l'amitié et l'amour ?

Le thème de la "collectionite" m'intéressait, surtout les collections insolites et à ce niveau-là, ce court roman tient ses promesses. En revanche, le sujet détient la quasi exclusivité des cinquante premières pages et tourne un peu en rond... L'autre thème important du livre, l'érotisme, est traité de façon assez saugrenue. Sans intensité, sans l'attractivité de la sensualité, l'érotisme est présenté comme de l'envie, du fétichisme peut-être, parfois, et sexué de façon assez abrupte voire sans saveur... Serait-ce volontaire de la part de l'auteur ? C'est envisageable...

Malheureusement, je n'ai pas vraiment réussi à m'attacher au personnage central, que j'ai trouvé un peu insipide malgré ses penchants farfelus, et donc, j'ai eu du mal à apprécier cette lecture... L'écriture est travaillée et accessible, parfois poétique voire lyrique sur certaines envolées. le rythme semble maîtrisé, mais il ne m'a vraiment pas plu (trop de latence ? de mollesse volontaire ?).
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Un « collectomane » (ou un fondu de collections...) décide de s'investir sur une femme unique, qui a le pouvoir de le transporter dans les plus grands émois lorsqu'elle lave les vitres.

Une jolie écriture fine et sensible, quelques jolies idées dont notamment l'originalité du recul de l'auteur vis à vis de son héros dans la narration, mais un roman qui gît profondément au creux du sillon nombriliste et vaguement dépressif de la littérature française contemporaine.
Lien : http://fourvin.blog.lemonde...
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Depuis le temps que j'entendais parler de Foenkinos, je me suis dit que je ne pouvais décemment plus l'ignorer. Eh bien si, j'aurais pu.
Si les premières pages m'ont semblé sympas avec leurs phrases pleines de jeux de mots, je me suis (très) vite lassée de ce style ampoulé rempli de répliques pseudo-philosophiques qui au bout du compte ne veulent pas dire grand chose, comme "Face à l'innocence, on est face à la vie qu'on ne vit pas". Ou encore la soi-disant poétique comparaison de la collectionnite d'Hector à une baleine (oui oui) : "Tu vois Hector, la baleine au loin, c'est ta maladie... et ensemble, en unissant nos esprits, nous faisons tout pour attirer cette baleine vers le rivage..." - mon dieu !..

Alors bien sûr, cela sent le second degré à plein nez. Mais tout de même, quelle vacuité dans les propos et dans l'intrigue ! Hector est un authentique anti-héros, un homme médiocre et timoré, un minable dépressif, et on s'enfonce rapidement dans une vie insipide et ennuyeuse... dont le summum est tout de même les séances hautement érotiques (pour le personnage) de lavage de vitres par sa femme ! - mon dieu...

Bref, si je puis m'exprimer à sa manière, Foenkinos est un auteur qui s'écoute écrire, autrement dit qui se délecte de ses propres mots, se gargarisant d'une suffisance ne donnant absolument pas envie de découvrir d'autres titres de sa bibliographie...
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Hector, atteint de collectionnite aiguë se croit guéri de son vice secret quand il rencontre la belle Brigitte, mais il n'avait pas prévu qu'elle laverait si bien les vitres, et bientôt il se remet à collectionner... les moments de vies de sa femme...
Dans ce roman loufoque et décalé, c'est avec un style simple mais très efficace que David Foenkinos nous accompagne dans le monde joliment surréaliste de ses farfelus personnages.
On peut dire que cet auteur a le sens de la formule et le roman regorge de petites phrases drôles et touchantes. Face à cette écriture tout en humour et en finesse, je pensais m'être embarquée dans un roman génial mais j'ai été bien déçue : en effet si la forme est très travaillée, il me semble que ce roman n'a pas de fond! L'histoire est creuse et même le coté absurde n'est pas assez abouti pour excuser la faiblesse du scenario. Personnellement, je me suis ennuyée dès la trentième page… Dommage ! Tant de jolies phrases pour au final ne rien dire, c'est un peu con…
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Comme tout ce que j'ai pu lire de David Foenkinos, c'est doux et c'est léger, c'est drôle et c'est plaisant ; un tantinet ubuesque, parfois rocambolesque, absurde et insensé...

oui mais voilà :

Comme tout (ou presque) ce que j'ai pu lire de David Foenkinos, c'est tout aussi inutile et ringard, ça tombe à plat sur la fin, et ça ne laisse, au final, qu'un vague sentiment de perplexité songeuse.
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Le narrateur est atteint de collectionnite aiguë tous azimuts, il collectionne tout et n'importe quoi jusqu'au moment où il décide de se faire soigner et se trouve enfin sevré. Jusqu'au jour où il découvre que voir sa femme en train de laver les vitres lui procure un grand émoi. Il installe alors une caméra cachée pour la filmer à son insu et ensuite se repaître des images. Il n'a pas supposé qu ‘elle pourrait avoir découvert son stratagème ce qui va la pousser à organiser des moments érotiques pour lui plaire. L'amour comme un jeu. C'est drôle, jamais vulgaire et agréable à lire. Sans plus.
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Alors ça c'est un livre bizarre et sans saveur à la fois ... sur un personnage principal bizarre et mou, qui a une famille et des amis bizarres ... Bref, je l'ai lu en entier, attendant que quelque chose se déclenche mais non ! C'est juste une description de la vie des gens ordinaires, avec leurs bizarreries plus ou moins pathologiques, les petits mensonges, les grands espoirs, les faux semblants et les vrais vérités.
J'avais beaucoup aimé "La délicatesse" et espérais retrouver le même ton chez David Foenkinos, mais je suis juste déçue.
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J'avais adoré La délicatesse, mais là j'ai été franchement déçue. L'histoire est plate, comme son personnage, ça ne décolle pas, malgré un beau style d'écriture.
Je n'ai pas accroché avec ce roman et ne le recommande pas à ceux qui ont adoré La délicatesse.
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