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L'homme qui a violé Giulia a été acquitté.
Elle a parlé à la justice pour se prendre un coup de massue en retour.
Double-peine.
Alors, cette fois, elle témoigne avec ce livre pour que cette libération de la parole depuis #balancetonporc et #metoo ne serve pas à rien. Parce que "vivre dans un monde où les violeurs auraient peur de violer et les cogneurs de cogner" devrait nous apparaître essentiel. Urgemment.

Phrases hachées. Tranchées.
Une mise à nue sensible.
Un terreau de colère qui n'empêche en aucun cas d'entendre les évidences argumentées de Giulia. Simplement mais rationnellement.

Dans cette société où on accorde encore de l'importance aux créations artistiques de personnes humainement ignominieuses, alors que je suis déjà dérangée quand une gamine de 11 ans m'explique qu'à sa rentrée en 6e elle ne s'habillera plus en short parce que "tu comprends, les garçons ça peut pas se retenir", évidemment que, pour moi, ce genre de témoignage est utile.
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Ce que j'ai ressenti:

En temps normal, je ne lis pas ce genre de témoignage. C'est le problème avec l'hypersensibilité, c'est que tu ressens tout, puissance mille. Je ne peux pas être à 20-30-40%, savoir prendre la distance nécessaire…Non. Tout est à 💯%. Même une lecture n'est pas anodine pour les hypersensibles. Alors, quand Giulia, sur le synopsis, me prévient et me laisse le temps de trouver le bon moment pour lire son récit, je trouve cela attentionné de sa part, alors qu'elle a vécu ce traumatisme. Je lui trouve, forcément, avant même de connaître son histoire, déjà une délicatesse qui me touche. Pourtant, je peux vous dire que son récit est bouleversant mais, il est aussi nécessaire et qu'il pourra en aider plus d'une!

Je suis une sur deux, c'est une lecture qui laisse des traces. C'est de la matière brute qui vient exploser tes convictions, ton humeur, ta vision. Donc, je peux vous dire que le cutter, le Loup-Garou, les coups, la sortie de corps, le Poker Face, je l'ai vu. Je veux dire, je l'ai vraiment vu ET ressenti. Qu'importe ce qu'ils peuvent dire, la voix de Giulia est suffisamment claire et audible, pour que le Mot Affreux soit entendu. Rien n'est brouillé, il n'y a aucun doute possible, c'est arrivé. Malgré les insinuations, les doutes, les rejets, les questions dérangeantes, les exclamations, les incompréhensions, les avertissements, le mot Immonde, en quatre lettres est une réalité. Mais ce que j'ai vu aussi, c'est une femme forte. Ça, je peux le dire aussi, je l'ai ressenti dans chaque page. Une femme admirable, courageuse, puissante. Une femme belle et inspirante. J'ai vu aussi la police qui fait bien son boulot. Et puis, je vois le verdict de la Justice. Écoeurant. Un loup-garou peut sortir des bois en toute impunité. J'en aurai vomi, j'en aurai pleuré, j'en aurai perdu toute confiance en Elle…Mais la force de ce témoignage, c'est cette envie d'entraide, le dépassement de ce traumatisme, cette sororité bienveillante que l'auteure espère pour toutes. Parce que une sur deux, c'est énorme. Parce que si jamais, ce livre peut aider au moins une personne, alors il fallait l'écrire. Giulia Foïs, merci, de tout coeur, de l'avoir fait. Merci pour elles, pour nous, pour demain, pour plus de justice, pour que la parole se libère…

On ne peut pas parler de coup de coeur, quand on a eu si mal au coeur, si mal pour Giulia, si mal pour toutes. Je veux bien par contre, aller crier dans la forêt. Et puis, vous parler de beautés, de lendemains radieux, de femmes sublimes, de deux pour une, de une pour toutes…Je vais faire comme Giulia, vous laisser libre de lire ce livre…

Je vous embrasse, fort.
Lien : https://fairystelphique.word..
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J'ai commencé la lecture un soir, tard. "J'ai eu de la chance. J'ai eu le bon viol". Ok. Les mots sont là, pesés, incisifs, précis, forts. Dès lors je ne pouvais plus lâcher ce témoignage.

J'ai de la chance, je suis une sur deux, mais de celles qui n'ont pas été la cible de violence masculine (si on fait abstraction du harcèlement de rue quand j'étais plus jeune, et j'ai presque envie de dire, fataliste, comme toutes les femmes). Mais je suis femme et mère. Alors la peur de basculer de l'autre 50% je la connais comme nous toutes.

Les mots de Giulia Foïs sont son cri dans la forêt, et ce cri, échos ou prémices de tant d'autres, nous transperce et nous porte. Il soulève la colère, la rage, l'indignation, la révolte mais il met aussi du baume sur les plaies (enfin j'imagine qu'il peut en mettre pour celles qui contrairement à moi sont aussi une sur deux). La plume est mordante, parfois provocante.

Pas de pathos, jamais, dans ce témoignage, dans le récit de ce long parcours vers ...vers quoi ? La résilience ? La liberté ? La possibilité de vivre, avec "ça ", de survivre puis de vivre, de rester droite, de regarder devant.

Chaque mot, chaque phrase m'a parlé, touchée, bouleversée. Sans fard mais avec dignité, Giulia Foïs livre tout : l'avant, le viol, l'après, la jeune femme confiante dans la vie, la justice et l'avenir, la violence, l'accueil (ou pas) de sa parole, la peur, la rage, la haine, la douleur, les rêves abattus, la désillusion face à la (l'in)justice, le combat de chaque jour, de chaque nuit, Chaque paragraphe, chaque page, chaque chapitre a soulevé mon admiration et mon envie de dire "Merci Giulia, pour ce livre, ce cri, qui, je l'imagine, est la dernière pierre d'un parcours trop long et la première d'une route lumineuse. Merci pour toutes celles que ces mots vont aider à traverser "ça " et qui à leur tour pourront pousser leur cri. Merci pour les autres qui trouveront dans vos mots ceux qui leur permettront d'aider."

Ce combat n'est pas que celui d'une seule femme mais mais bien celui de toutes et tous, pour une certaine vision de la société et des rapports entre les deux composantes de l'humanité que sont les femmes et les hommes. Un combat non pas contre les hommes mais pour que les femmes n'aient plus peur ni de prendre seule leur voiture le soir, ni de parler pour dire le "crime parfait" qu'elles ont subi.

182 pages à mettre entre toutes les mains.
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J'ai beaucoup de respect pour ce témoignage et le viol est un sujet qui me touche. Néanmoins, j'avoue ne pas avoir été sensible au récit de Giulia Foïs. Cela tient je crois à la façon dont elle raconte son histoire, les mots employés, l'analyse qu'elle en tire, les sentiments qui s'en dégagent. Difficile de remettre en question cet exercice qui a dû être tout à la fois cathartique et douloureux à faire. Mais je suis honnête dans mon ressenti.

Elle rappelle cela dit des choses importantes : le viol est le seul crime dont c'est la victime qui se sent coupable. le seul dont c'est la victime qui en éprouve de la honte. le seul que l'on remette en question (n'a-t-on pas provoqué les choses ? Pourquoi être allée là-bas ? Pourquoi n'avoir pas fui ? Ne pas s'être débattue ? Ne pas en avoir parlé ?....). Elle rappelle que céder n'est pas consentir. Que le cerveau se met en mode survie et qu'il peut avoir pour effet de rester figée. Elle nous parle de la mémoire traumatique aussi, de la mémoire du corps et de l'importance de dire et d'être entendue.
Et puis les tristes chiffres : 12% des femmes sont ou seront violées un jour (ceci sans inclure les mineures d'âge !), 1 femme sur 2 est un jour agressée sexuellement. Seuls 2% des violeurs sont condamnés... Autrement dit, pour 98% des viols qui ont fait l'objet d'une plainte (ce qui est loin d'être la majorité) l'agresseur s'en sortira sans condamnation. Ou la culture de l'impunité.

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Dans ce témoignage indispensable et d'une grande force la journaliste Giulia Foïs- dont les chroniques sur France Inter sont toujours de grande qualité- raconte le viol, ce « crime sans cadavre » subi à l''âge de 23 ans, alors qu'elle travaillait l'été au festival d'Avignon, ainsi que les conséquences que cette tragédie occasionne sur elle des années après, surtout quand la justice n'a pas reconnu la culpabilité de son bourreau.

Elle raconte aussi par le menu détail le combat qu'elle a mené , des années durant, pour tenter de retrouver une dignité et une confiance en soi fortement ébranlée par le viol et cette négation de victime par la justice et montre que le pire vient souvent après le viol.
La plume de Giulia Foïs, vive, drôle, amère, inventive sert ce récit d'une résilence qui ne dit pas son nom et qui livre une vérité que beaucoup cherchent souvent à minimiser à savoir que 12% des femmes ont été violées au moins une fois dans leur vie, et seulement 1% de ces viols débouchent sur une condamnation.

Mais loin d'être un témoignage sombre et pessimiste, Je suis une sur deux de Guila Foïs montre que, même si le chemin est parfois très long, on peut revivre après un viol.

Le livre se termine avec cette note d'espoir forcément indispensable. Une lecture aussi éprouvante qu'indispensable !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Écouter sa voix à la radio, c'est déjà un voyage. Alors, mettre ma voix, celle du dedans, dans ses mots c'est comme me relier à un continent pour moi inconnu, celui du traumatisme pour viol. « Je suis une sur deux » est le récit de Giulia Foïs, journaliste, sur l'agression dont elle a été victime au début de sa vie de femme.
Giulia Foïs décrit le soir où elle a subit l'agression, l'amour de sa famille, la croyance d'un père en la justice, les interrogatoires, les sous-entendus, la glace sans tain et « la décharge électrique » de l'identification, le trou béant invisible mais bien présent, le retournement au procès, la relaxe de l'agresseur et la rage qui aurait pu la perdre.
Son « rat à moustache » n'a jamais eu ses pleurs. « Poker face dans ta face », ce leitmotiv pour affirmer sa volonté de vivre avec la présence de son entourage aimant, solide en soutien. Tenue juste au bord du gouffre, Giulia Foïs décrit les étapes de sa reconstruction, sans attendrissement, juste avec sa rage et son regard franc.
Giulia Foïs raconte comment de victime elle s'est transformée en combattante de la cause féministe. Ces nouvelles militantes réinventent ce que nous, leurs aînées, avions entrouvert sans poursuivre le chemin. Au moment où celui qui a déclenché « Me too » prend vingt-trois ans de prison en faisant semblant de ne pas comprendre, il s'agit d'arrêter aussi l'hécatombe des une sur cinq harcelées au travail, d'arrêter le décompte des femmes mortes sous le coup des violences masculines. Arrêter. Arrêter enfin !
Convoquant autant Virginie Despentes que Clémentine Autain, Giulia Foïs reprend tous les combats. Pour ceux qui ont la chance d'avoir rencontré Emmanuelle Piet, médecin de PMI et gynécologue en Seine-Saint-Denis, Présidente du Collectif Féministe contre le viol, c'est un réel plaisir de la retrouver dans ce récit. Giulia Foïs raconte son lynchage virtuel après sa participation au #balancetonporc sur son harcèlement sexuel au travail.
Giulia Foïs partage son vécu pour faire exemple et pour permettre à chacune une reconstruction possible. Elle alerte sur les points à faire évoluer : les services de police pour le recueil des témoignages, la justice sur sa façon de prendre en compte ces agressions et la société qui encore trop souvent accuse la victime. le titre « Je suis une sur deux » fait le constat amer qu'une femme sur deux témoigne jusqu'au procès sans être reconnue victime. Son récit se veut combattant et lumineux à la fois. Giulia Foïs entend raconter et le dit haut et fort pour enfin être entendue !
https://vagabondageautourdesoi.com/2020/03/19/je-suis-une-sur-deux-giulia-fois/
Lien : https://vagabondageautourdes..
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Un récit poignant, cinglant, criant de réalisme, écrit d'une plume ciselée et brutale, d'une plume qui interpelle, mais qui jamais n'appelle la tristesse ou le pathos. Une plume qui permet soit l'identification, soit la compréhension d'un traumatisme. Une plume qui se veut forte, fière et puissante comme son auteure, Giulia Foïs. J'ai aimé que l'auteure encourage les femmes à porter plainte, qu'elle dénonce les impunités et surtout qu'elle ne juge pas tous les hommes de la même manière. Elle a conscience que sur cette terre vivent aussi de très belles personnes.
Parce que j'aime ta manière de présenter ton livre Giulia, j'espère que tu apprécieras la mienne d'appréhender ma chronique.

Je vais me permettre de te tutoyer, tu ne m'en veux pas ? On ne se connaît pas, c'est vrai. Mais vu ce que tu viens de me raconter, je sais qu'on a quelques points communs. Je pourrais presque reprendre mot à mot ta quatrième de couverture et te l'adresser en retour, cependant je ne veux pas voler ton propre verbatim. Et pourtant en lisant ton récit, j'ai cru reconnaître la plupart de mes propres mots comme je pourrais utiliser les tiens. C'est normal : Nous avons les mêmes.

Nous avons connu les mêmes maux, la même humiliation, les mêmes réactions, les mêmes doutes, les “mêmes pourquoi moi ?”, les mêmes “pourquoi as-tu ouvert ta porte ?”, les mêmes cons, la même culpabilité, la même peur de la mort, la même sidération, la même dissociation, la même surprise d'être restée en vie, les mêmes terreurs, les mêmes yeux dans le dos, le même état d'hyper-vigilance qui ne nous lâche jamais, les mêmes battements de coeur au bruit d'un pas qui résonne, les mêmes proches aimants qui nous portent, les mêmes larmes acides cachées, la même fierté de ne pas montrer, de ne jamais flancher, la même envie d'être forte, toujours plus forte. J'ai porté le même masque. Etc, etc…
Oserais-je dire le même courage ? Ce n'est pas à moi d'en juger. Ce que je sais, c'est que l'une comme l'autre nous avons osé parler, nous avons osé nous afficher, nous avons osé écrire.
Je terminerai juste avec tes propres mots – que j'adapte et t'adresse :
…/… Alors, par exemple, tu peux dire : « Non, Céline, je ne te lirai pas, pas tout de suite, et peut-être même jamais. » Mais je vais juste poser ça là.
Lien : https://laparenthesedeceline..
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#metoo #balancetonporc #balancetonviol ou la parole libérée ? Mais qu'en est il de l'écoute ?
Dans ce récit, Gulia nous raconte son viol. le bon viol mais ni la bonne victime (celle qui se reconstruit et ne se montre pas anéantie) et pas le bon violeur (le père de famille français qui entraîne l equipe de foot des bambins le dimanche) et un acquittement.

A t elle été entendue ?
Qui peut comprendre la dissociation et la sidération provoquée par la peur de mourir face à un violeur ?
Qui peut comprendre et entendre ?

Richard, sa famille, son mec, les associations ...
Mais certains amis, entourages professionnels et avocats qui remettent en cause la culpabilité !
Ba oui pourquoi avoir obéi ? Pourquoi avoir garé sa voiture ici ?
Pourquoi avoir pris une douche après ?

Le viol est un crime. Elle le dit si bien : demanderait on à une victime de cambriolage pourquoi ne pas avoir empêché le vol ? Alors pourquoi le demander à une victime de viol ?

Des années pendant lesquelles l'histoire a fait des femmes des objets car le viol n'est pas une question de sexe ou de désir mais une question de pouvoir.
Des faits qui dérangent : oui les monstres existent et peuvent frapper vos mères, vos soeurs, vos filles, vos amies...
Une victime qui a honte de parler

Et puis un mouvement qui débarque et des associations qui s emparent des violences faites aux femmes.

Et puis certains hommes qui entendent et rejoignent le mouvement .

Une jolie conclusion : se battre pour les femmes et la reconnaissance des crimes a leur encontre, ce n est pas se battre contre les hommes. Non c est se battre contre les agresseurs et uniquement eux.

Alors ce récit difficile et très vrai, gulia se livre, rappelle aux victimes qu'elles ne sont pas seules, qu elles ne sont pas coupables.

Merci Gulia.
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C'est un témoignage fort, brut et brutal, mais terriblement efficace qui, contrairement à ce que j'ai pu lire dans une certaine critique, n'est pas un manifeste contre les hommes mais contre les violences masculines faites aux femmes. Car, heureusement, Il y a des hommes, de plus en plus, qui ont compris et « qui savent parfaitement faire la différence entre une femme qui dit « non » et une femme qui dit « oui »… et qui « ne reconnaissent pas leur sexualité quand on leur parle de « besoins » ou de « pulsions » irrépressibles et trouvent même légèrement humiliant qu'on ne leur accorde pas beaucoup plus de subtilité qu'un teckel en rut. »
Giulia Fois remet les pendules à l'heure et ça fait du bien. Les mots ont leur importance et elle les manient fort bien. Comme lorsqu'elle évoque son avocat qui l'a « assistée » et non pas « défendue », car elle n'était pas coupable, mais victime. de même qu'il est important, et elle le fait fort bien, de répéter que céder n'est pas consentir. Que la victime d'un viol n'y est pour rien, qu'elle n'est coupable de rien. « Oui j'ai cédé, non je n'ai pas consenti. J'ai cédé parce que je n'ai pas voulu mourir. On a toutes cédé parce que c'était ça ou crever ». Il est grand temps « d'inverser le cours des choses et demander des comptes au violeur plutôt qu'à la victime. C'est renverser l'ordre établi, bouleverser une grille de lecture millénaire », n'en déplaise encore à certains… Alors certes, c'est parfois répétitif mais on le sait bien l'éducation c'est l'art de la répétition et il y a encore du chemin à faire sur le sujet.
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Victime d'un viol à 20 ans, Giulia Foïs se livre à coeur ouvert sur ce crime qui l'a injustement abîmée, puis sur l'après : la plainte, le procès, la délibération stupéfiante et la vie ensuite...
Pour qui a l'habitude d'écouter ses chroniques sur France Inter, il est facile de reconnaître sa façon caractéristique de parler, sa musicalité, c'est efficace, limpide, parfois brut, souvent émouvant.
Le thème est difficile, mais le récit se lit d'une traite, nous livrant un constat amer , mais également pas mal de clés pour comprendre et soutenir les victimes.
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