Le Scandale Modigliani

Je retrouve avec plaisir la plume de Ken Follett dans ce court roman qui nous fait voyager de Londres à la Toscane en passant par Paris à l'occasion de la traque d'une oeuvre d'art perdue de Modigliani.
Par sa poésie et sa façon de manier le suspense, Ken Follett parvient à intéresser même le moins érudit en matière d'art et à lui donner l'envie de découvrir cet univers.
Ce roman m'a donné l'envie de poursuivre à lire des romans de cet auteur.

Une aventure à la recherche d'un Modigliani perdu...cette quête est décevante et l'auteur a bien fait de se tourner vers les récits historiques...
J'ai trouvé cette lecture ennuyeuse mais j'ai tout de même mis 3 étoiles car j'ai aimé découvrir les dessous du monde de l'art.
Bref je n'en garderai pas un souvenir impérissable.

C'est ma première lecture de Ken Follet.... et je me suis prodigieusement ennuyée. J'étais arrivée à la moitié de l'écoute que de nouveaux personnages apparaissaient encore, et je m'y perdait prodigieusement, je ne savais pas qui était qui car ils se sont pas décrits, leur présentation se limite quasiment à un nom.
Il n'y avait aucun repères chronologiques, est ce que se récit se déroule sur 1 semaine, 1 mois ou 1 an : je n'en ai aucune idée. Pire, j'ai même l'impression que chronologiquement les chapitres se croisent afin de relater chaque brique du puzzle indépendamment des autres.
Je voulais, un jour me lancer, dans les grandes fresques historiques de cet auteur... Et là tout à coup, je me dit que je vais y réfléchir.

Appréciation très moyenne pour ce roman qui est, semble t'il, le premier ou un des premiers de Ken Follett.
Comme je l'ai déjà signalé, autant l'auteur est génial dans les fresques historiques autant son sens du suspens est moyen.
Ceci dit, on ne peut pas être bon partout et je ne suis pas capable de faire mieux.

Le scandale Modigliani raconte une sorte de malversation autour d'un tableau du célèbre peintre. Cela, on s'en serait douté. Au niveau du suspens, il n'y a pas grand chose. Ken Follett, pour enjoliver le tout, rajoute une banale histoire d'amour avec des dialogues "fleur bleue" très limite et qui n'amène rien. Néanmoins, le style d'écriture est déjà celui qu'on apprécie chez l'auteur.

En conclusion, ce roman est un joli passe temps pour qui ne veut pas avoir à se concentrer sur une lecture.

Clairement, je suis déçu, peut-être pas du roman en lui même si il avait été écrit par un autre auteur, mais par Ken Follett, grand narrateur devant l'éternel, qui nous pond ici une petite aventure sympa mais tellement mal écrite ...
j'en retiens que le monde de l'art et/ou l'accession d'un artiste au sommet ... ce n'est pas toujours ce qu'on pourrait penser et qu'il peut y avoir une grande dose de subjectivité programmée voire de manipulation.

Avis aux âmes sensibles, je risque d'être un petit peu sévère..

La première chose que je me suis dite en refermant ce bouquin fut : « ouais.. bof.. ». Nonobstant cette pensée profonde, je peux vous dire que j'ai été quelque peu déçue par la plume de Ken Follett dont j'avais néanmoins entendu parler à moult et moult reprises.

L'histoire m'avait pourtant paru alléchante : une course-poursuite à la recherche d'un tableau perdu qui passe par l'Angleterre, la France et l'Italie et où tous les coups sont permis ! Sympa, non ?

Malheureusement, pour un roman qui se veut du style policier, j'ai trouvé ça franchement moyen.

Les personnages sont beaucoup trop nombreux à mon goût, et certains ne présentent aucun intérêt pour le déroulement de l'histoire, alors que d'autres devraient faire l'objet de plus amples développements. Certains passages trainent en longueur : par conséquent, on ne comprend pas toujours où l'auteur veut nous emmener. Enfin, l'intrigue se dénoue beaucoup trop facilement à la fin du livre (« quoi tout ça pour ça ?!? »).

Le thème abordé par Ken Follett dans son roman porte sur le milieu et le marché de l'art et cet aspect reste tout de même assez intéressant. Mais on ne peut vraiment pas dire que j'ai été séduite par le reste.
I
l s'agit ici du premier roman de Ken Follett mais également de ma première lecture de Ken Follett. C'est vraiment dommage de rester sur une première mauvaise impression, pour une première lecture. Néanmoins, l'auteur décrit lui-même ce roman comme un « loupé » (« c'est pas moi qui l'ai dit ! »).

Aussi, je ne pense pas que Monsieur Follett et moi-même allons en rester là et je vais sans doute persister et lire la fameuse saga qui a fait de lui l'auteur célèbre qu'il est devenu. Et à en croire mes camarades bloggeurs, avec cette fresque, il se serait bien rattrapé..

Lien : http://mademoisellechristell..

J'ai été attirée par le nom de Modigliani dans le titre, par la réputation de l'auteur (dont j'ai apprécié "les piliers de la terre"), par le fait que ce livre de poche était vendu dans la boutique d'un musée parisien, ce qui me faisait espérer une histoire brodée autour de l'oeuvre du peintre, à l'instar de "la jeune fille à la perle".
J'ai trouvé un roman autour du milieu des marchands d'art des années 1970, avec quelques ressorts et un dénouement amusants, sans plus. Il n'était vraiment pas utile d'introduire plus de quarante personnages en 350 pages. J'ai dû établir une liste au fil de ma lecture pour ne pas m'y perdre !
Un ouvrage de jeunesse (écrit en 1976) dont on peut se passer, même s'il est vendu dans un musée.

Quand un roman anglais commence par un boulanger parisien sentant l'odeur de ses baguettes et reluquant les seins d'une jeune cliente sous prétexte de trouver le prix de ses vêtements, ça commence mal. Une accumulation de clichés sur Paris, sur les jeunes femmes, sur les femmes en général d'ailleurs - très effacées, réduites sinon au rôle de mère ou de putain. Des personnages très caricaturaux - le génie contrarié, l'actrice droguée, le galeriste dur en affaires, le prêtre sympathique... - qui sont d'ailleurs trop nombreux pour qu'aucun d'entre eux ne soit approfondi et développé d'un point de vue psychologique. Des dialogues eux aussi caricaturaux "j'ai foi en toi, bébé"... Et une intrigue qui cherche à donner des fausses pistes mais sans qu'on sache vraiment quel est son véritable but, avec une vague caution anti-capitaliste ?
Je reposerai ce livre dans la boîte à livres où je l'ai trouvé, je ne le garderai pas pour le relire en tout cas.

Moi qui apprécie Ken Follett, pour le coup j'ai été déçue. Il s'est un peu égaré avec ce scandale.
Il nous dépeint le monde de l'art, certes, c'est bien. On a droit aussi à une galerie de portraits mais ça s'arrête là.
Le scandale tant promis n'est pas flagrant. Je me suis ennuyée dans cette lecture que j'aurais voulu beaucoup plus trépidante.
A oublier...

Le feu follett...oui facile mais cela s'impose au vu de la production de l'auteur.
Au cas présent le lecteur n'a pas à s'immerger dans une oeuvre monumentale comme les Piliers de la Terre ou plus récemment la Chute des géants.
On ne trouve pas non plus le contexte dramatique de ses romans d'aventure pendant la seconde guerre mondiale.
Ce roman a pour toile de fond (facile.. bis) le monde des galeries londoniennes les plus renommées.
La perspective de mettre la main sur un Modigliani non répertorié suscite toutes les les convoitise avec des embrouilles en parallèle.
Il s'agit ici d'une sorte de farce à la Molière où les "porteurs d'eau" des responsables snobs des galeries lassés de se faire rosser décident de se jouer de l'establishment. Rira bien qui rira le dernier
Un petit roman qui se lit avec plaisir en cette période estivale entre deux nourritures plus consistantes