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2,84

sur 1087 notes
Livre écrit par le jeune Follett en 1976.
L'écriture est déjà bien léchée et fluide et ce roman se lira vite et bien.

L 'auteur nous fait découvrir le milieu "so british" des oeuvres d'art et nous offre une course au chef d' oeuvre perdu, un Modigliani en l'occurrence que beaucoup de monde veut retrouver.

C'est la que ça coince.
Beaucoup de personnages sans charisme auxquels on ne s 'attache pas une seconde, une intrigue poussive à laquelle on n*adhère pas non plus.

Pour faire simple c' est mou.

Bien écrit mais très mou.

Ça manque de peps à tous les étages et il est appréciable que ce roman soit très rapide à lire.

Pas un chef d'oeuvre de Follett bien évidemment, juste un petit livre gentillet qui vous fera passer un bon moment.

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Un peu déçue par mon premier Ken Follett. Doublement déçue d'ailleurs, car je sais de sources sûres qu'il y a de très bons livres de cet auteur, et parce que la thématique du roman me tentait beaucoup.

On suit l'histoire de personnages gravitant dans le monde de l'art londonien. Chacun a ses soucis et ses ambitions, et tous se retrouvent autour d'une chasse au trésor : celle d'un Modigliani perdu (ou plutôt jamais trouvé). Imaginez une seconde qu'il soit au fond de votre grenier...

C'est prometteur, ça semble palpitant, mais le résultat est surtout un peu simple et gentillet... Pas totalement mauvais non plus, mais suffisamment peu exaltant pour être décevant. Mauvaise pioche, mais je rejouerai au prochain tour !

Retrouvez la critique sur Bavardages.blog :)

Lien : https://bavardages.blog/2021..
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Ouh là là ! Ne surtout jamais lire ce livre après "Les piliers de la terre" car vous ne remettriez jamais le nez dans Ken Follett et ça serait très dommage... Non sérieusement même l'auteur a un moment considéré ce livre comme "raté" : en effet je ne lui ai trouvé aucun intérêt, aucune profondeur dans les personnages et j'ai même lu la fin en diagonale tellement leur sort et la chute m'indifféraient ! Comme quoi, qui peut le mieux...
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Dans son introduction, Ken Follett lui-même avoue qu'il n'a pas réussi à écrire un "roman d'un genre nouveau" et qui "reflète l'état de subtile dépendance dans lequel se retrouve la liberté individuelle lorsqu'elle est en butte à des mécanismes plus puissants qu'elle", et déplore que la critique n'y ait vu qu'une enquête enjouée...
C'est assez vrai, je n'ai absolument pas retrouvé cet aspect profond dans le scandale Modigliani. En revanche, j'ai beaucoup apprécié ce roman, sans qu'il soit un chef d'oeuvre littéraire. L'intrigue, une sorte de chasse au trésor autour d'un Modigliani perdu dans laquelle on est amené à côtoyer plusieurs personnages très différents, est sympathique à suivre, et très bien construite : la surprise de la fin est totale ! Et surtout, ce livre dresse un portrait malheureusement très juste du milieu de l'art, où finalement peu de gens prennent le temps d'apprécier les oeuvres pour elles-mêmes mais cherchent seulement à faire plus de bénéfice, et sont prêts à tout pour cela !
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Comment souvent avec Follet, on se laisse emporter et les pages tournent vite. Son style alerte, les rebondissements nombreux (très voire trop nombreux), les pérégrinations européennes de ses personnages, les contrastes entre ces différents profils (escrocs, peintres bohèmes, vieux lords compassés, enquêteurs blasés), tout cela augmente encore le côté distrayant du livre. Cependant, le nombre trop important de protagonistes, les hasards tirés un peu trop vigoureusement par les cheveux, les facilités scénaristiques (à cause de ces hasards mais aussi par la réussite trop rapide et trop parfaite d'un projet d'escroquerie... dont je ne peux rien dévoiler), tout cela enlève pas mal d'intérêt à ce roman.
Reste le moment de détente passé à le lire... et la conviction que Ken Follet sait faire bien mieux, tant au niveau des intrigues que des idées.
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A part la série Harry Potter, j'ai très peu lu de livre en anglais. Je confesse que celui-ci (lu dans la série "Harrap's Yes you can) m'a paru un brin facile car l'intrigue est un peu cousue de fil blanc... Mais plaisante malgré tout. Ken Follett, visiblement, s'y connait un peu en art et son roman est atypique mais néanmoins facile à lire et j'ai éprouvé du plaisir à le dévorer. Je confesse que j'aurai moins aimé le lire en français
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Dee Sleign, vingt-cinq ans, passe ses vacances d'été à Paris. Elle apprécie la légèreté de l'air et l'ambiance parisienne. Après une licence en Histoire de l'Art, elle voudrait poursuivre ses études et écrire une thèse sur l'art, la peinture et la drogue. Son ami Mike, avec qui elle vit une histoire d'amour depuis un an, lui propose de lui faire rencontrer un vieux peintre de quatre-vingt-dix ans qui aurait des anecdotes sur le sujet. Un peintre célèbre consommait du haschisch, il s'appelait Modigliani.

"Est-ce qu'il lui arrivait de peindre sous influence ?
Le vieillard eut un rire léger.
– Dedo ? Et comment ! Quand il planait, il peignait à toute vitesse, barbouillait la toile de couleurs criardes en braillant que ce tableau allait être son chef-d'oeuvre, son grand oeuvre ; que maintenant, tout Paris verrait ce que c'était, la vraie peinture ! Ses amis avaient beau lui ressasser que le résultat était affreux, il leur répondait d'aller se faire voir, qu'ils étaient trop ignares pour comprendre que c'était justement ça, la peinture du XXème siècle. Après, quand il était redescendu au niveau du commun des mortels, il reconnaissait qu'ils avaient raison et il balançait son oeuvre dans un coin (…)
– Et qu'est-il advenu de ces tableaux-là ? (…)"

Les tableaux se succédaient dans la frénésie de la défonce, pour finir empilés sur un bûcher ; des toiles aux couleurs éclatantes de vie, d'absurde, d'intuition, d'un style nouveau, de visions influencées par la drogue, une conscience évaporée, des taches et des courbes spontanées… toute cette impulsion non comprise, carbonisée dans un feu de folie. A la question de Dee, le vieux peintre répond qu'une seule peinture fut sauvée et donnée à un prêtre italien du village de Modigliani.

Aussitôt, Dee s'imagine partir à la recherche de ce tableau perdu. Que peut-il représenter ? Cela serait une découverte surprenante dans le monde de l'art !
Dans son excitation, elle adresse à son oncle, propriétaire d'une grande galerie d'art à Londres, et à d'autres amis, des cartes postales dans lesquelles elle annonce sa décision de mener une enquête et de retrouver cette toile. le voyage qu'elle entreprendra, la mènera de Paris à Livourne et à Rimini…

A Londres, certaines personnes ne resteront pas indifférentes à cette quête. Des engrenages s'enclenchent et perturberont le monde des galeristes, des collectionneurs, des artistes et encourageront des faussaires et des arnaqueurs à combiner des trames malhonnêtes.

"Qui sortira vainqueur de cette chasse au trésor ?"

Je voulais lire ce livre car j'avais lu une bonne critique chez Nahe et que l'idée d'un tableau disparu me séduisait.
L'auteur a intitulé ses chapitres comme s'il réalisait une peinture…
Préparation de la toile, il choisit le sujet,
Le paysage, il implante les lieux, les circonstances, les personnages,
Silhouettes au premier plan, il actionne le tout et donne le premier rôle aux protagonistes,
Le vernis, il conclut en bousculant le microcosme du monde de l'art en confrontant artistes et affairistes.
Ai-je apprécié ma lecture ? Non. Serais-je un peu trop péremptoire ? Oui, certainement. Pourquoi ?
En entamant ce roman, je pensais retrouver la plume que j'avais tant aimée dans "Les piliers de la Terre" et aucune comparaison n'est à faire. J'aurais minimisé cette petite déception si j'avais eu une émotion, un plaisir dans cette course passionnée. le sujet ne pouvant que me plaire, j'étais réceptive et en attente… mais j'ai eu un autre regret dans la personnalité des personnages et l'enchaînement de l'intrigue. Je n'ai pas ressenti de compassion pour l'artiste rejeté et l'actrice désenchantée, je n'ai pas trouvé sympathique Dee, trop arriviste et superficielle, j'ai trouvé fades les autres comparses et je me suis égarée dans les différents scénarios.
Certains lecteurs ont trouvé de l'humour dans les situations, moi pas, peut-être déjà hermétique à ce que je lisais, lasse de tant d'intervenants et des langueurs. Par contre, j'ai lu de la dérision. Il ne faut pas penser à élucider un mystère, mais lire ce livre comme une raillerie sur le monde qui gravite autour de l'art.
Dommage ! Je suis restée insensible au tableau de Ken Follett
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Ce roman est l'un des premiers écrits par Ken Follett.
Et cela se voit, malheureusement !
L'auteur s'est d'ailleurs senti obligé de justifier cette publication tardive en ajoutant une introduction dans laquelle il explique ses intentions initiales, et déplore le fait qu'il ne soit pas parvenu à les atteindre.
Il souhaitait effectivement montrer le rôle du destin dans les vies de chacun et comment on peut le tromper ou se laisser tromper, mais ses personnages lui ont apparemment échappé.
Il explique aussi qu'il a hésité à publier ce manuscrit, mais qu'avec les années (la publication en anglais date de 1976), il est devenu plus indulgent avec lui-même.
Lien : http://lirerelire.blogspot.f..
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La course au tableau est lancée dès le premier chapitre. J'ai emboîté le pas à Dee dans cette quête et je n'ai pas lâché.
Un bon livre pour l'été.
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J'aime beaucoup Ken Follett en particulier la lecture de ses sagas « Kingsbridge » et « le siècle ».

J'ai donc décidé de lire un de ses tout premiers romans datant de 1979.

C'est plus l'histoire du milieu des vendeurs d'art de Londres à cette époque que celle d'un tableau de Modigliani.

Ai-je été déçu par ma lecture?
Je ne dirai pas cela.
Certes je ne suis pas « emballé » par ce livre.
Mais peut on attendre d'un « débutant » la même chose que d'un auteur confirmé?
Certes non, et c'est la même chose dans tous les « métiers ».

Au total donc, lecture plaisante et agréable.
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