« Je ne vois plus que boue, cendre, dérive de la source. Où est le chant, où est l’enfance, où est le rivage ?
Je ne vois plus le reflet de l’eau au fond des miroirs ; je n’entends plus la corne de fraîcheur au tremblé des rêveries.
Tout se tait, s’éloigne et s’efface.
Seul, le rougeoiement du ciel, au matin, est rouge d’une attente qui embrase l’horizon. »
La pluie. L’aube. La mélancolie – l’espoir. C’est cette te...
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