Jean-Louis Fournier, petit garçon naïf et farceur raconte ses démêlés avec Jésus, la Sainte Vierge et les curés. Il craint le châtiment de Dieu, mais pressent la manipulation exercée par les adultes sur l'esprit des enfants.
Agréable et très rapide à lire.
Quelques anachronismes ont dérangé ma lecture, mais c'est parce que je suis assez vieille pour les détecter.
«Moi qui croyais que le paradis c'était rempli de monde comme le supermarché un samedi après-midi.».
Il n'y avait pas encore de supermarchés à l'époque des phonographes et des marchés aux chevaux et la semaine anglaise n'existait pas. le samedi, les enfants étaient à l'école.