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J'ai bien aimé ce roman qui nous propose une description de la société anglaise du XVIII° et plus particulièrement de la perception des homosexuels dans cette société rigide. J'ai apprécié les clins d'oeil aux romans de la série Outlander ainsi que la façon dont Diana Gabaldon raconte, à travers jolies scènes, l'histoire d'amour entre les deux hommes tandis que l'enquête reste au second plan.
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Je commence cette chronique par un aveu, non... des aveux :
- Je n'ai jamais lu ni vu Outlander.
- Je n'ai pas lu le premier tome de la série Lord john.
- Je n'avais jamais lu Diana Gabaldon auparavant.
- Je ne suis pas une très grande amatrice de romance.
- Je ne suis pas très calée sur les guerres européennes du XVIIIe siècle.

On aurait pu penser que je n'étais pas équipée pour lire La confrérie de l'épée et en apprécier le sel. Seulement voilà, j'ai immédiatement adhéré à la plume de Diana Gabaldon : sa manière de traiter les personnages, de les faire interagir et dialoguer.
Lord John Grey entend lever le voile sur les circonstances de la mort de son père survenue 17 ans plus tôt. J'aime la façon dont l'intrigue est menée. J'ai aimé les nombreuses introspections de Lord John Grey.
J'ai adoré la complicité et la pudeur qui unit John et son frère, Hal : leurs échanges, leur confiance mutuelle, leurs non-dits de peur de perdre l'autre.

Le personnage de Percy m'a également interpelée. Peu habituée à la romance, j'ai été surprise par certaines scènes de sexe n'y voyant pas toujours un intérêt particulier pour l'intrigue. Cependant, j'ai compris que ces scènes permettaient de comprendre Lord John Grey dans son rapport à l'autre, dans sa construction personnelle et dans ses paradoxes.

Du côté des personnages féminins ( elles ne sont pas nombreuses...) ce sont la mère et la cousine de John que j'ai préféré. Un caractère bien trempé pour l'une comme pour l'autre et un amour inconditionnel pour ceux qu'elles aiment.

Je ne veux pas dévoiler des éléments de l'intrigue de peur de trop en dire.

Une chose est sûre : l'écriture de Gabaldon est fluide, addictive et j'ai hâte de lire la suite de la série Lord John puis de lire Outlander.

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Pour public averti !
Ce livre est le 2ème tome d'une série policière où le héros John Grey est confronté à des énigmes.
On découvre l'aristocratie anglaise, les cercles des clubs des gentleman, et les manoeuvres politiques du 18e siècle.
John est le cadet d'une famille entachée par un scandale. John qui était trop jeune à l'époque cherche à savoir ce qui a causé la mort de son père. Il se heurte à sa famille qui cherche à le protéger.
On pourrait croire que c'est très ennuyeux mais l'auteure nous entraîne dans la vie privée de John Grey. Celui-ci a des préférences sexuelles qui à son époque sont considérées comme " un crime contre Dieu et contre l'Etat "
J'aime beaucoup la plume de Diana Gabaldon qui divulgue beaucoup de tendresse et d'émotions.
Ses scènes de sexe sont assez fortes et en même temps j'ai trouvé qu'elles étaient exprimées avec une certaine pudeur. Je le répète c'est un livre pour adultes!( homophobes s'abstenir!)
Ce personnage, John, est bien connu des fans de l'auteure Diana Gabaldon car c'est un protagoniste de sa saga " le cercle de pierre " où il joue un second rôle.
On le retrouve avec plaisir.
Chaque tome peut se lire indépendamment des autres, mais il y a une chronologie dans ses interactions avec Jamie Fraser. Dans ces passages notre Highlander préféré Jamie est vu par John ce qui est très intéressant!

Un livre à découvrir si vous aimez les romans historiques et si vous ne connaissez pas cette auteure, je vous invite vivement à découvrir sa célèbre saga très romantique " le Cercle de pierre"
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Une seconde enquête de Lord John qui ne démérite pas ! J'ai beaucoup aimé la manière dont Grey partait à la recherche de son passé et de l'honneur de son père. Par ailleurs, j'ai adoré lire le récit de sa rencontre et de son aventure avec Percy (que j'avais déjà beaucoup aimé dans le chardon et le tartan). Les scènes érotiques sont extrêmement bien écrites et, même si je ne suis pas fan des relations hommes/hommes en littérature pour adulte (surtout en raison du nombre croissant de romance de ce style qui envahissent le marché), j'ai adoré celles ci. Les personnages que ce John ou Percy sont très bien travaillés et l'auteure ne commet pas l'erreur largement répandue de leur prêter des traits et des sentiments féminins. le contexte socio politique est toujours aussi bien détaillé et expliqué et j'ai adoré retrouver Jamie. Même si j'avoue que la mort de Geneva me fait toujours autant de peine. La relation entre John et Jamie est toujours aussi puissante. J'ai aussi apprécié les dilemmes moraux auxquels John a du faire face et je dois dire que j'ai été en accord avec ses choix tout au long du roman. Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler, j'ajouterai juste que j'ai également apprécié la description du champ de bataille et des combats, très réalistes !


Ce que j'aime : Lord Grey, très attachant et bien construit. Ses relations familiales. Son histoire avec Percy et Jamie. Les descriptions, très riches


Ce que j'aime moins : La mort du capitaine (celui qui est pendu), au final, j'aurais bien aimé revoir ce personnages


En bref : Une intrigue riche et des personnages attachants ! le contexte historique est maitrisé, les scènes sexuelles sont bien menées et l'enquête est passionnante. Une excellent lecture


Ma note


8,5/10
Lien : http://jessswann.blogspot.fr..
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La série des John Grey nous permet de retrouver nos héros préférés. Ce deuxième volume nous emmène plus loin dans le quotidien des soldats et les combats vécus du côté anglais. Je me suis un peu perdue dans l'intrigue et les nombreux personnages mais peu importe car ce n'est pas l'intrigue qui importe mais l'univers... quelques longeurs dans ce roman, les rencontres avec Jamie sont un peu anecdotiques et semblent avoir être écrire juste pour permettre au lectrice de retrouver leur bel écossais...Mais c'est intéressant de voir Jamie par le regard de John Grey.
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Si vous me suivez depuis un moment, vous savez déjà que Outlander et moi, c'est toute une histoire ! J'aime tout dans cette saga, l'intrigue, la grande Histoire, les paysages, les personnages. Parmi eux, quelques uns sortent du lot et Lord John Grey en fait partie.

J'aime beaucoup ce personnage. J'admire sa droiture, sa loyauté, son honnêteté et son sens de l'honneur. J'admire son courage, et pas seulement lorsqu'il est question de batailles : être homosexuel à cette époque n'est pas chose aisée. Mais même s'il fait en sorte de garder cela secret, il ne renie pas sa nature et je trouve ça admirable.

Étant donné mon affection pour ce personnage, rien d'étonnant, donc, à ce que je me lance dans le récit de ses aventures, lesquels forment une sorte de spin-off de la serie principale. La confrérie de l'épée n'est pas le premier que je lis sur John Grey et ne sera pas le dernier non plus.

J'ai adoré retrouver cet univers que j'aime tant, ce personnage que j'apprends de plus en plus à connaître. Mais je dois cependant avouer que j'ai moins accroché à cette aventure qu'aux autres que j'ai déjà lues. Je ne saurais trop dire pourquoi. Peut-être parce que je l'ai trouvée un peu longue ? le pitch de base nous annonçait que Grey allait enquêter sur la mort de son père mais en réalité, j'ai eu la sensation que cette intrigue était plutôt secondaire.

L'histoire est assez complexe. Elle nous fait rencontrer des personnages dont les noms ne nous sont pas inconnus mais que j'ai été incapable de resituer dans mes lectures précédentes.

Néanmoins, j'ai beaucoup apprécié de me replonger à nouveau dans cet univers et je retrouverai Grey dans une prochaine aventure avec grand plaisir.
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Autant le dire, je suis une indécente fanatique de l'univers créé par Diana Gabaldon. Or, à côté des énormes pavés qui constituent la saga Outlander (et que j'adore !), il y a ces petites pépites consacrées à Lord John Grey.
J'ai eu du mal à me faire à ce personnage lors de sa première apparition dans les romans d'Outlander : j'étais alors plus jeune et peut-être pas à même d'apprécier la subtilité (et l'homosexualité, pour être franche) du personnage. Et puis, petit à petit et à mesure qu'on en apprenait davantage sur lui et que son histoire se retrouvait de plus en plus liée à celle De Claire et Jamie, j'ai fini par m'y attacher. Pas très étonnant, donc, que je me lance avec plaisir dans les oeuvres dérivées que Diana Gabaldon lui consacre.
J'avais déjà lu avec bonheur les deux premières nouvelles et le premier roman que l'auteur lui avait dédiés. Cette chronique se rapporte au deuxième roman, qui nous plonge dans le passé houleux de la famille Grey.
La grande force des romans Lord John tient à leur relative brièveté. A côté de l'intrigue principale qui en fait des tonnes sur l'aspect historique et descriptif (et entendons-nous bien, j'adore ça !), le style de ces romans est beaucoup plus concentré, ramené à l'essentiel : du mystère, de l'histoire, des batailles épiques, une retranscription fidèle et immersive de l'époque, ainsi que pléthore de beaux garçons plus ou moins dénudés et une intrigue fort bien ficelée.
On y retrouve un Lord John toujours aussi charismatique, confronté au mystère de la mort de son père qu'on accusait d'être un traître à sa patrie et à son roi et qui se serait apparemment suicidé. Cette trouble histoire, qui ravive des souvenirs douloureux pour notre lord préféré, le pousse par ailleurs à croiser encore la route de Jamie Fraser, toujours palefrenier au domaine d'Helwater, ce qui n'est pas sans lui causer des palpitations, et qu'il se trouve obligé d'enquêter sur ses anciennes relations jacobites. le tout se trouve mêlé aux errements du début d'une histoire d'amour aussi intense qu'ambivalente, au beau milieu de la Guerre de Sept Ans.
Comme je le disais plus haut, le style est beaucoup plus concentré : les descriptions moins étendues laissent plus de place à l'action, à l'enchaînement des différents fils de l'intrigue et à l'humour, déjà présents dans les autres romans, mais ici plus prégnant, ce qui permet de former un contraste plus flagrant avec les tensions dramatiques et les enjeux souvent lourds de sens. Cela permet aussi de faire vivre plus librement une belle galerie de personnages, croqués avec beaucoup de justesse : lord John, évidemment, mais aussi Harold, son frère aîné, qu'on découvre très attaché à son cadet et prêt à tout pour le protéger sous ses airs rigoristes, sa mère aussi drôle que déterminée, sa belle-soeur Minnie, toute en humour subtil, les curieux frères O'Higgins, la pétulante cousine Olivia (qui nous livre une scène d'accouchement de premier ordre) et la figure encore innocente de Percy Wainwright, qui se heurte à la distance glaciale qu'impose Jamie Fraser à chacune de ses rencontres avec Lord John.
En bref, une intrigue intéressante, à laquelle il m'a peut-être manqué un brin de clarté dans la résolution, des personnages ultra attachants, des scènes drôlatiques qui succèdent à des instants de pure tendresse ou à des souvenirs presque tragiques, le tout dans une langue riche, colorée, qui arrive à faire revivre la grandeur tout autant que la mière d'une époque. de nouveau, c'est un très bon moment de lecture que nous offre Diana Gabaldon.
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Lu à la suite d'"une affaire privée" j'ai vraiment adoré le roman. Il relate la quête de John Grey pour connaître la vérité sur la mort de son père.
L'auteure nous emmène avec verve et talent des salons mondains aux champs de bataille. John est un héros terriblement attachant car plein d'humour et de tendresse envers les siens. Son sentiment amoureux pour Percy , son nouveau frère par alliance, y est évoqué avec beaucoup de délicatesse, (délicatesse par contre absente dans les scènes de sexe très hard)
Beaucoup de personnages apparaissent tout au long du récit et je conseillerais aux lecteurs qui, comme moi, n'ont plus la mémoire de leur 20 ans, d'établir une fiche de lecture reprenant les noms et les titres en regard de leur fonction. En effet, ils sont parfois nommés par leur patronymes, parfois par leur titre ou leur grade et en raison l'importance de leur nombre on peut se perdre!
En conclusion, c'est avec tristesse que j'ai quitté John et sa famille. J'attends avec impatience de les retrouver dans prochain tome.
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Le dernier journal intime écrit deux semaines avant la mort du père de John et de son frère Hal, refait surface alors que tout le monde le croyait définitivement détruit, ravivant dans les mémoires une affaire délicate qui avait entaché la réputation du duc...Ce qui n'est visiblement pas le cas puisque Hal en a trouvé un feuillet sur son bureau: "Que signifiait cette page du journal disparu? Qui l'avait envoyée? Et pourquoi leur mère avait-elle menti à Hal en lui disant que le duc avait brûlé son dernier journal?
Le ministère de la Guerre a détecté un possible complot qui, indirectement, pourrait avoir des répercussions sur la famille de John: l'ancien aide de camp du fiancé de sa mère, lord Stanley, est soupçonné d'avoir vendu des documents secrets à une puissance étrangère, sans que l'on puisse définir laquelle. John et son frère craignent qu'un tel scandale fasse resurgir de vieilles rumeurs concernant le krach boursier qui avait permis à leur père de s'enrichir alors que d'autres avaient tout perdu. Ajoutant à cela qu'il avait été perçu comme un sympathisant jacobite à cause de la famille de sa femme...
Qui pourrait avoir dérobé le journal de leur père? Et pourquoi, dix-sept années après sa mort, certaines pages réapparaissent? Serait-ce l'oeuvre d'un des trois prétendants de la comtesse après son veuvage: "Dans le mois qui a suivi mon retour à Londres, j'ai reçu trois demandes en mariage. Toutes émanaient d'hommes dont j'avais de bonnes raisons de soupçonner qu'ils étaient impliqués dans le scandale qui a provoqué le décès de mon mari. Je les ai rejetées toutes les trois, bien entendu." (Page 227).
Et si la mort du duc renfermait un secret encore plus lourd que l'enfant de douze ans que John était à l'époque gardait tout au fond de lui depuis toutes ces années? Lord Grey est bien décidé, quoiqu'il en coûte, à remonter le fil du temps afin d'éclaircir le mystère de la mort de son père. Saura-t-il préserver sa famille d'un nouveau scandale?

Second tome de la série consacrée à Lord John Grey, La Confrérie de l'épée est aussi réussi que le premier tome: des scènes d'anthologie racontées avec un mélange d'humour et de tension dramatique, révélant un sens aigu de la narration, une capacité à créer avec le lecteur une intimité qui l'immerge dans le récit au point de lui faire oublier son monde à lui: "Il ne savait pas nager. Ce qui ne changeait pas grand-chose, dans la mesure où il était bardé de plus de six kilos d'équipements. Il toucha le fond vaseux, fléchit les genoux et poussa, pour ne remonter que de quelques dizaines de centimètres. Il retomba, ses bottes s'enfonçant profondément dans le limon. Pris de panique, il se débattit dans l'eau boueuse, tentant frénétiquement de se débarrasser de sa veste avant de se rendre compte qu'il tenait toujours son sabre. Il le lâcha. Sa poitrine brûlait, se gonflant de l'envie vaine et irrésistible de respirer." (Page 407).
Le +: extrêmement bien documenté pour tout ce qui concerne la guerre au XVIIIe siècle, la vie au sein d'un régiment, la stratégie militaire, le maniement des canons. le fait de raconter le conflit jacobite sous forme de conversation rend le récit plus vivant.
Le ++: les nombreux traits d'humour qui sont la marque de fabrique de Diana Gabaldon: "Le problème, avec les hommes pleins d'esprit, c'est qu'ils se sentent obligés de l'exhiber à toute occasion, ce qui peut être très pénible, le matin, à la table du petit déjeune. Dieu merci, Richard n'en a aucun." (Page 86)..."Tu parles! Vu son humeur actuelle, je ne pourrais pas lui soutirer le nom de son tailleur avec un marteau et un burin..." (Page 159)..."Grey vida une autre coupe, entendit la grande horloge dans le coin de la pièce sonner minuit et songea à quel point il serait agréable de se transformer en citrouille aux pieds d'Adams, ou en tout autre végétal inerte et sourd au verbiage de ce raseur." (Pages 238). =>Lecture hautement recommandée...

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Chronique de Diana :

C'est toujours un bonheur que de retrouver la plume de Diana Gabaldon. Elle est unique en son genre et j'avoue que je ne boude jamais mon plaisir. En terminant je me suis dit qu'il faudrait plus de romans de ce genre, d'ailleurs j'aime autant cette saga qu'Outlander. Elles sont certes différentes dans la thématique mais toutes aussi richement documentées et travaillées.

John Grey est un personnage que j'ai apprécié avec le temps à l'instar de Jamie et Claire que j'ai adoptés à la seconde mais à présent je trouve qu'ils sont complètement différents ce qui rend peut être les sagas complémentaires. En tout cas une chose est sûre c'est à la fois du fantastique et du grand historique.

Diana Gabaldon réussit à merveille les descriptions, ce qui permet une immersion facile et rapide du lecteur. Elle s'évertue à dépeindre la vie londonienne au XVIII ième siècle avec détails, humour et finesse.

Cette fois nous partons pour la guerre de sept ans et un mystère impliquant la famille de John. Il y a aussi ces moments John/Jamie que j'apprécie tant, même si on reste dans une relation à sens unique ce qui est parfois déroutant. Mais ce roman traite avant tout d'un homme de haut rang, homosexuel dans une armée pas vraiment encore ouverte à cette pratique. Si l'on rajoute à ça donc le mystère autour de la pseudo mort du père de John Grey vous avez une vue d'ensemble sur la trame.

Tout le récit montre un homme qui vit avec le poids de son rang et de ses désirs cachés, le fait qu'il doit se cacher et condamner ceux qui ont été reconnu comme gay. Ce côté hyper hypocrite mais nécessaire pour continuer à vivre en ce siècle. J'adore quand un auteur confronte le pire dans une société qui préfère ignorer que d'accepter. C'est en ça que cette lecture est passionnante, la dualité du personnage, ses choix et leurs conséquences. John est loin d'être parfait et c'est ce qui le rend particulièrement attachant même lorsqu'on pourrait le trouver pleutre ou méchant.

Après j'avoue que les descriptions des scènes sexuelles ne sont pas forcément ce que je préfère mais elles apportent plus de reliefs encore au héros.

C'est une saga à lire si on aime Diana Gabaldon, elle écrit merveilleusement bien et arrive à transmettre des messages forts et humains. Pour moi elle sait comment happer son lectorat grâce aux descriptions et détails mais aussi grâce aux forces et faiblesses de ses personnages. Une saga à absolument découvrir si vous aimez déjà Outlander.
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