Coraline

Résumé : Coraline vient d'emménager dans une étrange maison et, comme ses parents n'ont pas le temps de s'occuper d'elle, elle décide d'explorer ce nouveau lieu. Ouvrant une porte condamnée, elle pénètre dans un appartement pratiquement identique au sien, où vivent ses « autres parents », copie conforme de ses vrais parents, mais qui ont des boutons cousus à la place des yeux. Aimables, séducteurs, ils veulent convaincre Coraline de rester pour toujours avec eux. La petite fille réussit à s'enfuir et à rentrer chez elle, mais découvre que ses vrais parents ont disparu. Elle retourne alors les sauver des griffes de ses « autres parents », aidée par un chat noir...

📚 Mon avis : un roman d'horreur sympathique pour les jeunes adolescents où les grands enfants 🤭. J'ai apprécié ma lecture mais j'ai beaucoup moins aimé que le film que j'avais vue il y a très longtemps au cinéma. Je pense qu'il faut lire le livre avant de voir le film pour éviter toute déception.

Bon sinon je suis complètement fan de cette couverture 😍

Cette histoire commence par une citation de G.K.Chesterton
"Si les contes de fées sont plus vrais que vrais, ce n'est pas parce qu'ils disent que les dragons existent, mais parce qu'ils disent que les dragons peuvent être vaincus."

Ce livre nous parle du courage à vaincre ses propres peurs et aussi de la confiance en soi.

Coraline est une petite fille un peu curieuse qui va faire la découverte d'une porte fermée dans un premier temps d'un mur de brique mais au-delà de ce mur il y a tout un monde identique au sien et pourtant tellement différent.

Un très bon moment lecture.
Il est écrit par Neil Gaiman et une très belle couverture illustré par Benjamin Lacombe.

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Gros coup de coeur.
Comme à mon habitude, j'ai vu le film d'animation avant de lire le livre, et honnêtement, les deux sont splendides.
Coraline est courageuse et intrépide, c'est une "exploratrice". Elle traverse cette aventure comme une grande (avec l'aide d'un félin sarcastique), comme le ferait une Alice au pays de l'autre-mère. C'est un conte à la fois sombre et doux, comme une nuit de fin d'été.

I liked it much better than the first time I read the book !!
Coraline is deliciously creepy and I found the book version slightly scarier than the movie.Coraline is a very good character I quickly got attached too. And I loved the story.
It really is a nice little read and it's probably one of the books of Neil Gaiman I'd recommend to people who don't know him ^^

• Enfin ! J'ai enfin pu mettre la main sur un ouvrage de Neil GAIMAN, cet auteur qui a le vent en poupe et dont les romans et nouvelles se font adaptés, avec succès, dans les milieux de la télévision et du cinéma. Et quoi de mieux, pour commencer une lecture de l'auteur, que celle de « Coraline » ?

• Dans la droite lignée du « Alice aux pays des merveilles » de Lewis CARROLL, l'histoire nous plonge dans la découverte d'un autre monde par une petite fille s'ennuyant de son quotidien monotone. C'est un récit toutefois plus structurés que le roman de Lewis CARROLL,ou il s'y trouve une logique, une continuité.

• La jeune Coraline est une petite fille fascinante et fascinée. Une rêveuse enfermée dans une vie qui semble faite pour l'empêcher de s'amuser. Des parents qui ne s'occupe pas autant d'elle qu'elle le voudrait... Et soudain, une sorte de monde parallèle s'ouvre à elle, où tout ce qu'elle désire lui est offert. Mais est-ce vraiment un monde si parfait ?

• L'histoire nous apprend à aimer ce que l'on a dans sa vie, même si cela implique que tout n'arrive pas toujours comme on le voudrait. C'est un très bon texte pour les enfants comme pour les adultes, posant de petites réflexions personnelles.

• J'ai beaucoup aimer ce côté sombre qu'apporte l'auteur dans ce conte moderne, car oui, ceci est un véritable conte moderne, parfaitement ancré dans son temps. Enfant, qui n'a jamais aspirer à un autre monde que le notre où l'on pourrait y faire tout ce que l'on veut, quand on le veut ? le scénario est d'une simplicité enfantine et parle à une grande majorité de personne.

• Parlons également de l'édition que j'ai en ma possession. Mon livre est une version édité par Albin Michel, dans sa collection Wiz. Chaque première page d'un chapitre sera illustré par la même illustration du chat noir, personnage important de l'histoire. On trouvera également une autre jolie illustration à la fin de l'histoire.

• La couverture y est magnifiquement illustrée par Aurélie NEYRET. On y retrouve de nombreux éléments de l'histoire, comme la maison, les boutons, les rats ainsi que la quasi-intégralité des personnages. le seul bémol pour cette illustration, si l'on est tatillon, les vêtements que porte la jeune Coraline Jones sur celle-ci n'est pas conforme aux couleurs annoncé dans le récit. Mais ce choix se justifie selon moi pour garder un côté plus harmonieux avec le reste de la couverture, choix que je respecte.

• Enfin, ayant vu le film il y a quelques années, je peut vous annoncer que l'adaptation est très bonne. Réalisé par Henry Selick, le maître de l'animation image par image, le film est visuellement bluffant et très fidèle à l'histoire, les ajouts y apportant exactement ce qu'il faut. Je le conseil, même au personne n'ayant pas apprécié le livre !

• Pour résumé, une histoire que j'ai beaucoup apprécié, que j'ai malheureusement dû lire de façon fractionnée entre deux mois de travail. Heureusement cela ne m'a pas empêcher d'apprécier celle-ci, que je relirais certainement plus tard avec plus de temps et de concentration.

Après avoir lu son adaptation en comics (illustré par P. Craig Russel et colorisé par Lovern Kindzierski) et visionné son adaptation en film d'animation (réalisé par Henry Selick – 2009), j'ai enfin réussi à mettre la main sur le roman Coraline (oui, je ne fais pas les choses dans l'ordre), écrit par Neil Gaiman.

Gaiman a écrit Coraline pour ses filles. Il voulait leur raconter une histoire leur faisant comprendre qu'on peut avoir peur mais être courageuse en même temps, que l'on peut prendre les bonnes décisions même lorsqu'on est perdue ou effrayée ; que parfois les personnes qui nous donnent beaucoup d'attention n'ont pas forcément nos intérêts à coeur, alors que les personnes qui nous donnent peut être un peu moins d'attention nous aiment quand même ; que c'est une bonne choses de sauver sa famille des ténèbres, et qu'elles doivent pardonner à leur père s'il est occupé à écrire des trucs et qu'il ne peut pas toujours interrompre son travail pour jouer avec elles…

J'avoue tout de suite : si Neil Gaiman est un auteur britannique très populaire au sein de la communauté fantasy (enfin, avant son partenariat avec Amazon Studios…), j'ai, personnellement, du mal à apprécier ses oeuvres malgré toute la bonne volonté que j'y mets. Outre Coraline, j'ai lu du même auteur American Gods (j'ai detesté – je déteste les road movies de manière générale), Good Omens —De bons présages en français — (je n'ai pas encore fini le roman mais j'ai aimé la série qui en est adaptée, notamment le duo David Tennant/Michael Sheen !), et la série de comics Sandman (une des premières séries de comics que j'ai lue – je n'ai pas non plus accroché).

Et Coraline alors ? Et bien ce fut une lecture agréable ! Peut-être parce que le roman est très court (153 pages avec une grosse typo, contre 603 pages pour l'interminable American Gods…) et que l'on a pas le temps de se lasser, ni l'auteur de se perdre en cours de route.

On ne s'ennuie pas ! Les personnages sont loufoques, les situations souvent absurdes, on entre dans un univers fantastique qui plonge progressivement dans l'épouvante, mutant du rêve au cauchemar, du fantastique à l'horreur. Même si Coraline est court, je trouve que son univers est bien développé : à la fois inventif et surprenant, allant du drôle à l'horrifique d'un moment à l'autre. Certains passages demeurent vraiment effrayants, comme la traversée du couloir ou encore le passage dans la cave, avec le faux-père de Coraline qui se déforme et fond comme une vulgaire poupée de cire, devenant aveugle et difforme.

La fin est bien pensée : Coraline refuse de se laisser duper par l'univers alternatif où elle a atterri, ne souhaite pas rester vivre dans ce monde où lui serait offert absolument tout ce qu'elle désire, et choisit d'affronter ses peurs pour aider les gens qu'elle aime.
Lien : https://lerepairedemaxine.wo..

J'ai eu la chance de lire cette histoire avec des illustrations et de visionner le film auparavant.
Tout fonctionne dans "Coraline". C'est court et pratique : les personnages sont bien instaurés, les lieux sont parfaitement décrits et jusqu'à la fin, le lecteur est plongé dans ce conte noir merveilleux et effrayant.

Difficile de critiquer un auteur tel que Neil Gaiman, mais je me suis un peu ennuyée à la lecture de Coraline. J'en attendais trop ? Peut-être... Toujours est-il que, même si la lecture de ce roman est fluide et facile, le tout manque un peu trop d'épaisseur pour la lectrice adulte que je suis. Si la maison de la seconde mère est faite en toc, la vraie maison de Coraline m'a un peu donné le même sentiment. Aucun personnages n'est vraiment approfondi, ni d'un coté, ni de l'autre de la porte. Quand à l'histoire, difficile de ne pas penser à Alice aux pays des Merveilles. du coup, difficile de se laisser porter par l'intrigue, qui manque là encore de profondeur.
Un bon point pour mon édition, dont la couverture, les entêtes de chapitres et un dessin à la fin ont été croqués par Benjamin Lacombe.

Moi qui adore le film Coraline, j'étais motivée depuis longtemps à lire le livre. Alors quand je suis tombée dessus à la bibliothèque.. je l'ai tout simplement emprunté.

Retrouver cette histoire : une petite fille prise au piège dans sa propre maison, par le double maléfique de ses parents, fut une expérience sympathique. Je ne me souvenais pas du film comme ayant un tel déroulement, mais je ne l'ai pas vu depuis longtemps donc mes souvenirs sont certainement faussés...

Une lecture qui se lit vite, pas très compliquée à lire. J'ai passé un moment agréable, bien que ce livre ne m'ait pas particulièrement marqué.

Si « l'étrange vie de Nobody Owens » était un hommage au « livre de la jungle », « Coraline » est quant à lui un hommage à « Alice au pays des merveilles ». Gaiman semble aimer visiter l'imaginaire enfantin. le résultat est plaisant mais ne m'a pas totalement enthousiasmée.

Il y a incontestablement une atmosphère, une ambiance particulière dans « Coraline ». Je trouve ça audacieux et intéressant d'adopter, dans un récit destiné à la jeunesse, une tonalité sombre qui joue sur le bizarre et l'angoisse, qui peut même provoquer parfois un certain malaise. « Coraline » est un conte horrifique, il peut faire flipper le jeune lecteur.

Si « Coraline » est un conte horrifique, un voyage au pays du cauchemar, il se lit bien comme un conte. Comme lorsque je lis un conte, j'ai ressenti comme une distance avec le récit. Pas d'identification, pas de véritable immersion, pas vraiment d'empathie pour le personnage, je reste toujours un peu spectatrice des contes. Si cette distance ne me gêne pas lorsque je lis un conte c'est en grande partie parce qu'un conte est bref. « Coraline » m'a paru un peu longuet malgré ses 150 pages et aurait mérité d'être plus court, à l'image d'un conte classique. du coup, cette distance et ce manque d'immersion ont fini par me lasser un peu.

De ce que j'ai pu en lire, Gaiman est un auteur que j'apprécie mais ce « Coraline » ne se hissera pas parmi mes préférés de l'auteur. Au rayon jeunesse, j'ai préféré « Nobody Owens », plus prenant et plus abouti, « par bonheur le lait », inventif et plus drôle, et hors jeunesse « la mythologie viking », mais là c'est le thème qui me séduit plus.
Cette lecture ne m'a pas fâchée avec Gaiman, j'ai d'autres romans de lui dans ma PAL et je compte bien les lire un jour. « Coraline » est un roman sympathique et de bonne facture même si mon enthousiasme est mesuré.