Dès qu’on ouvre un marché quelque part, dans le plus petit des hameaux, si une troupe de comédiens arrive et que les acteurs montent sur la scène pour jouer le Pi-pa-ki, c’est à qui viendra les entendre. Et quand ils se mettent à réciter les scènes de la famine et de la séparation, la scène si pathétique et si attendrissante où Tsaï-yong implore la miséricorde du fils du Ciel dans le palais impérial ; puis celles où Tchao-ou-niang vend sa chevelure pour acheter un c... >Voir plus