AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,23

sur 1471 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Dire que j'ai beaucoup aimé les derniers Gemmell que j'ai lu est un euphémisme.

Mais malheureusement parfois c'est plus compliqué.
L'histoire en elle même n'est pas déplaisante. Il y a moult batailles, bagarres, un peu de magie, de l'amour enfin tout ce que l'on trouve d'habitude dans les romans de Gemmell.
Mais je m'attendais ou plutôt j'espérais me retrouver avec de personnages forts et charismatiques mais humains que j'ai toujours trouvé chez l'auteur.

Alors je crois que ce sont ces personnages qui m'ont fait défaut lors de ma lecture. J'avoue ne pas avoir eu d'affinité particulière avec eux... je crois que je cherchais des héros aussi attachants et fort que Connavar et Parménion.

Du coup m'a lecture m'a semblée fade et un peu ennuyeuse.
Commenter  J’apprécie          704
Si je l'avais lu il y a trente ans, je l'aurais sans doute adoré.
Comprenons-nous, je ne veux pas dire par là que le récit ne peut intéresser que la jeunesse.
Non, au contraire, tous les ingrédients sont au rendez-vous pour nous ficeler un bon moment de fantasy.
Le problème c'est que j'ai déjà lu et relu la même histoire un grand nombre de fois, que ce soit en un, deux ou trois tomes et de la part d'auteurs plus ou moins talentueux.
Gemmell ne m'a pas déçu mais son livre arrive trop tard sur mon parcours.
Je ne boude pas mon plaisir mais il fut tout relatif.
Commenter  J’apprécie          100
Druss est une légende.
Surnommé le Capitaine à la Hache par ses alliés, Marche-Mort par ses ennemis, c'est un guerrier accompli et invaincu.
Enfin, c'était, car maintenant, Druss à 70 ans et vit seul dans sa montagne, sa femme ayant été emportée par la maladie des années auparavant.
Bien qu'était toujours considéré comme un guerrier, sa forme n'est plus ce qu'elle était et il attend patiemment que la mort vienne le chercher dans son lit.

Cependant, l'invasion des Nadirs le sauva de cette mort moins glorieuse , pour le jeter à la rescousse de son ami, le duc de Dros Delnoch.


Grâce à ses six murs, la forteresse de Dros Delnoch est supposée être imprenable, si, toutefois, suffisamment de soldats y sont postés.
Seulement, la paix à ramollit la cité. Les espaces vides entre les murs, propice à transformer tout ennemi en pelote d'épingle, se sont remplis d'habitation.
Le contingent de soldats est si diminué que sont appelés au combat les fermiers, boulangers et autres artisans.
Les défenseurs de Dros Delnoch devront contenir l'armée adverse jusqu'à l'arrivée de renforts de la légion.
En effet, la cité est placée en un point stratégique à travers les montagne, obligeant les Nadir à la renverser pour envahir l'empire Drénai,
De plus, face à l'inexpérience de ces quelques milliers de soldats de fortune, se dressent un demi-million de soldats Nadir.

Que peut un seul homme, aussi létal soit-il muni de sa fidèle hache Snaga, contre cette horde sauvage ?

Un seul héros peut-il redonner espoir, volonté et courage à des hommes ne voyant qu'une mort certaine face à eux ?


Du grand Gemmell : de l'action, un univers accueillant et des personnages attachants.
Certes, l'histoire est assez simple, deux armées s'affrontant : une assiégeant l'autre tel un Fort Allamo médiéval.
Cependant, grâce au talent de David Gemmell, il est impossible de reposer le livre (encore un bouquin à ne pas lire la nuit avant de dormir en se disant « Allez, un petit chapitre et dodo ! »).
De plus, les personnages assez bien travaillés pour ce genre d'histoire et l'on prend plaisir à les suivre..
Ce livre est très violent et les combats se succèdent à un rythme effrénés dans un luxe de détails assez sanglants.

Ce roman fait partie du cycle de Drenaï mais il peut se lire indépendamment des autres (Je vais par contre m'atteler à lire les autres romans de ce cycle en commençant par Druss la légende, relatant le passé de Druss)

Le style est assez simple, limite journalistique et pourtant on est emporté par l'ambiance et les idéaux guerriers comme la camaraderie, l'honneur, le courage.
Avec une histoire aussi simple, j'imagine que bien des auteurs sans la plume de Gemmell se serait plantés.


Malgré tout, ce livre n'est pas parfait et j'emmétrai deux remarques.
Un peu trop de miracle se succèdent vers la fin de l'histoire (une armure et une épée surpuissante qui tombe du ciel, d'anciens ennemis qui combattent dans le camps des défenseurs, une résurrection miraculeuse, …).
De plus, Ulric, chef des Nadirs, est dépeint comme un homme d'honneur, qui ne mène cette invasion que pour le bien de son peuple, alors qu'il est aussi raconté que son armée rase tout sur son passage, massacrant, violant et saccageant, afin de propager la peur dans le reste de l'empire.

Lire la suite:
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
Commenter  J’apprécie          80
Une vallée de pierres, coincée entre deux montagnes infranchissables et protégée par Dros Delnoch, la plus impressionnante forteresse jamais bâtie de mémoire d'homme. Les Nadirs, peuplades alliées des déserts du Nord, doivent prendre cette forteresse pour pouvoir déferler sur l'empire Drenaï en déclin. Ils sont plusieurs centaines de milliers, tous des hommes ne vivant que pour la guerre. En face, la forteresse drenaï est quasiment vide, l'armée ayant été saignée à blanc sous le règne d'Abalayn, chef bien plus doué pour le commerce que pour la stratégie militaire.
Voilà la situation. le combat s'annonce sanglant des deux cotés mais est assez désespéré pour les Drenaïs. Même la plus terrible des forteresses ne protège pas de tous les démons de la Terre. Comment tenir avec une poignée d'hommes, des fermiers qui s'improvisent soldats en plus, contre 500000 envahisseurs rageurs ?
Ce combat à venir, cette bataille qui s'annonce, est de celle qui voit naitre les légendes. « Les situations désespérées voit naitre leurs héros », semble nous dire David Gemmel. Et dans cette histoire, ils sont nombreux : il y a Druss, guerrier légendaire à la large hache et formidable meneur d'hommes, qui vient reprendre du service à 60 ans passés ; il y a Rek, mercenaire berserk pour qui la rencontre avec la farouche Virae va faire office de révélation ; il y a Serbitar, Vintar et les 28 autres moines-guerriers du « Conseil des Trente », étrange congrégations d'épéistes surpuissants ; il y a Joachim, Flécheur, Gan Orrin, tous des hommes qui n'étaient pas destinés au combat mais qui sauront se montrer dignes ; et, peut-être plus que tout, il y tous ces hommes et toutes ces femmes qui luttent sur les remparts, parfaits anonymes qui font tout le succès et l'honneur d'une bataille.
Druss, qui a arpenté la majorité des pays du monde, le sait bien : c'est la détermination des hommes qui fait la différence sur le champs de bataille, et on a vu des soldats expérimentés fuir de panique quand des fermiers armés seulement de fourches résistaient.
David Gemmel nous conte une histoire d'honneur et de batailles sanglantes où les vrais héros ne sont pas nécessairement les plus forts mais ceux qui marchent droit, toujours fidèles à leurs principes et ne mentant jamais. Si Légende il y a, c'est celle de ces hommes fiers prêt à mourir sur les remparts de Dros Delnoch pour défendre ce qu'ils estiment être juste.
Un grand roman, impressionnant, avec des dialogues particulièrement vifs et réussis. Dommage que les deux derniers chapitres ne soient pas à la hauteur du souffle puissant du reste du livre.
Commenter  J’apprécie          71
Salut, je viens de finir le livre [b]''Légende''[/b] [i]de David Gemmell[/i],
son premier daté de 1984, ancien journaliste et videur de bars de 2 mètres et 120 kilos, y a reçu le prix Tour Eiffel en France et n'a écrit que des best-sellers avec quelques une quinzaines de livre depuis, assez remarquable.

Se déroulant dans un imaginaire médiéval sombre, proche au notre si l'on tient compte des guerres entres hommes, de type conquête, ce livre nous fait vivre assez facilement, la dure réalité de ce qu'aurait pût être un siège et y défendre sa vie avec les ration du bord, du temps.
On nous présente un héro légendaire de son temps,
[b]Druss[/b] allias;[i]-le marche-mort et Druss la légende-.[/i]
Héro, il l'est sans toute fois trop cacher bien d'autres personnages attachants tout aussi héroïques.

Un bon livre en soit, pas de regrets, mon premier dans le genre [i][b]Fantasy[/b][/i], j'espère seulement que les [i][b]Fantasy[/b][/i] ne sont pas tous aussi sombres et sanglants.
Je me questionne concernant la poursuite dans le même genre..? car,
après 495 pages de tueries, de massacres, j'avais hâte de le finir et ça,
c'est rare pour ma part, si je poursuit ma lecture après une centaines de pages, faut laisser une chance à l'auteur parfois, bien c'est que je m'y plait.

Néanmoins son côté très sanglant, l'auteur nous tient très bien et réussit même à y inséré beaucoup un aspect philosophique sur l'analyse de peurs et de rêves, mort et de vie, souffrances et d'amours*(*sans trop..hihi), de croyances, d'idéaux et de conduites valeureuses surprenantes entre divers personnages.
Très honorable si l'on considère le caractère premier du livre,
un temps dure et sombre, mais jamais trop loin, la Lumière! ;)

[b][u]Un passage tiré du livre, page 461, -Légende, David Gemmell-;[/u][/b]

[i]''...-Tout ce qui vit doit mourir un jour, déclara Vintar.
Il n'y a que l'homme, semble-t-il, qui soit conscient toute sa vie de sa mort à venir. Et pourtant, il y a d'autres choses dans la vie que l'attente de la mort.
Pour que la vie ait un sens, il faut avoir un but. Un homme doit transmettre quelques chose, sinon il ne sert à rien.

Pour la plupart des hommes ce but tourne autour du mariage et des enfants qui formeront sa progéniture. Pour d'autres, c'est un idéal-un rêve, si vous voulez.
Chacun d'entre nous croit à la notion d'honneur:c'est le rôle d'un homme de faire ce qui est juste et bon, car la raison ne suffit pas.
Nous y avons tous failli à différentes reprises. Nous avons volé, menti, triché-même tué-à notre profit. Mais au bout du compte, nous revenons toujours à nos croyances. Nous ne permettrons pas aux Nadirs(peuple dans le livre) de rentrer sans combattre, parce que nous ne pouvons pas faire autrement.
Nous nous jugeons nous-même plus durement que les autres ne nous jugerons jamais.
Nous préférons mourir plutôt que de trahir nos idéaux.''[/i]

Voilà, bonne lecture! :)
Amicalement,
veda
Commenter  J’apprécie          60
J'ai déja lu le cycle Waylander de DG, j'ai donc entamé ''Légende'' qui est le premier livre écrit pour le cycle Drenai. Néanmoins chronologiquement je pense qu'il vaut mieux commencer par Waylander.
L'Empire Drenai est menacé une enième fois d'invasion par l'armée Nadir d'Ulric. le seul espoir de l'empire repose sur une forteresse construite par Egel, Dros Delnoch. Tenir cette forteresse laisserai assez de temps au général Drenai l'Entailleur pour rassembler son armée et intercepter l'armée d'Ulric. Dans la défense de cette forteresse les destins de Druss la Légende, Virae et Rek vont se croiser, mais l'avenir de la Dros reste incertain.
Bon alors j'aime bien DG, mais là il y a des récurrence scénaristiques que je pardonne plus.... L'empire est toujours menacé par une invasion, les héros sont assez redondants (Virae et Rek sont un peu simplets), le dénouement attendu et le recours au Trente tombe toujours comme un cheveu sur la soupe. Il faudrait que les scénarios soient un peu plus complexes je suis au quatrième tome de ce cycle et je n'ai pas vu beaucoup de changements. Je vais me pencher sur Druss la Légende, personnage qui m'a fortement plu dans ce livre.
Il y a de quoi passer un bon moment mais peu mieux faire.
Commenter  J’apprécie          50
J'ai abordé cette lecture car mon copain est un très grand fan de cet auteur et de ce genre en particulier. Quant à moi je n'avais jamais lu de Gemmel et mon approche de la fantasy reste rare (...).

En effet, toutes les questions de batailles, de stratégies, d'entrainements de soldats, de défense d'une forteresse ne sont pas des thèmes que le lis habituellement ou alors pas de manière aussi poussée. Cependant l‘écriture de David Gemmel reste fluide. Heureusement sinon je ne pense pas que j'aurais pu en venir à bout. J'ai beaucoup apprécié les dialogues qui donnaient une vraie personnalité aux différents personnages et plus particulièrement j'ai trouvé les discours de motivation des troupes très réussis (...).

Mais justement je parle des personnages… il y en a beaucoup trop et je me suis vraiment perdue. J'ai vraiment dû en placer quatre ou cinq clairement dans ma tête (Druss, Rek, Virae, Serbitar…), tout le reste était flou. (...)

Au niveau du scénario, il faut dire que Gemmel sait nous désespérer tout au long du livre. Une des raisons qui m'a fait continuer cette lecture est que je voulais savoir comment se finirait la guerre. Dès le début Gemmel nous fait comprendre que c'est une cause perdue, que la victoire est aussi impossible qu'improbable. Et jusqu'au bout je me suis demandé: un miracle va-t-il finir par arriver? (...)

En bref c'est un roman que j'ai lu par curiosité et avec quelques difficultés. Je le conseille aux amateurs du genre si vous ne l'avez pas encore lu.

La chronique complète sur mon blog!
Lien : https://degustationslitterai..
Commenter  J’apprécie          31
J'entends parler de Gemmell depuis des années, en tant que classique de la fantasy contemporaine. Récemment j'ai aussi pas mal entendu dire que ce n'était pas super original. Après cette lecture je pense que les deux sont fondés : l'homme a du style, il écrit de manière assez énergique, pose des personnages un minimum intéressants bien que parfois terriblement stéréotypés, dose bien son humour même si ce n'est pas un trait très important dans le livre, et a un côté épique tout à fait assumé. En parlant de Conan le Barbare j'ai trouvé Légende carrément mieux, ne supportant pas le style lyrique hyperbolique de Robert E. Howard. Gemmell use effectivement d'un style qui correspond assez bien à la fantasy classico-classique de guerriers légendaires et de batailles épiques.

Ce qui m'a manqué c'est qu'en fait il n'y a pas grand chose de plus dans le livre. LA bataille en est le centre de focalisation, et franchement ça ne m'a pas plus emballée que ça, surtout que le déroulement de la bataille n'a rien de très drôle, c'est juste… épique, sanglant, et héroïque. le souci c'est que la moitié des personnages sont aussi forts et héroïques, ce qui fait qu'à un moment j'en ai juste eu un peu ma claque de tout cet héroïsme classique, et j'ai finalement complètement perdu cette impression de « merveilleux » (dans le sens de la surprise, de l'évasion que ça peut nous apporter) que j'aime trouver dans un roman de fantasy.

Ah et puis à la fin il a pris une décision que je classe dans « donner du foin aux lecteurs ». C'est pas correct, c'est tout. On assume ses choix, mince alors ! Il n'y avait aucune raison que ce truc se passe, mais bon, comme on dit en jeu de rôle, TGCM. Je sais que certains lecteurs seront au contraire ravis de ce retournement de situation. Personnellement, j'ai toujours l'impression qu'on veut me ménager inutilement quand les auteurs ou réalisateurs prennent ce genre de décisions, surtout quand il n'y a pas lieu de le faire de manière convaincante, et ça me casse totalement l'illusion de réalisme, grrr.

Pour moi ce roman est fade, même si je l'ai moins subi que par exemple le premier tome de la Roue du Temps, de Jordan. Trop classique, trop prévisible, pas assez original ni en style ni en scénario ni au niveau des personnages, et sans non plus ce petit plus qui parfois vous fait adorer quelque chose de pourtant totalement stéréotypé. Néanmoins je ne peux pas dire que c'est un mauvais roman, car j'ai senti que l'auteur maîtrisait bien son style et son univers, et il le tient jusqu'au bout.
Lien : https://croiseedeschemins.wo..
Commenter  J’apprécie          33
D'avance mes plus plates excuses aux adeptes de David Gemmell, mais cette Légende dont j'entendais tant d'éloges ne m'a fait ni chaud ni froid.
Petit point historique pour commencer : ce roman est inspiré (pour ne pas dire repompé en mode Fantasy) sur le siège de Fort Alamo aux États-Unis. Un élément essentiel à garder à l'esprit lorsqu'on se lance dans la lecture, car là où je m'attendais à un récit riche en epicness et voyages en tous genres, je n'ai trouvé qu'un long, très long, récit de guerre riche en... en pas grand-chose
Ce n'est pas que je n'aime pas les histoires riches en action ; ce serait justement de très mauvaise foi de ma part de balancer ça alors que je me suis assez souvent plaint du manque d'action dans certaines de mes critiques. Mais peut-être ai-je depuis des années l'habitude de voir le genre de situation dépeinte dans Légende faire partie d'un construct scénaristique plus large. Et avec des personnages principaux un peu mieux gérés...
La palme du plus gros WTF revient sans conteste à la relation Rek/Virae : rencontre tumultueuse, dispute et haine un soir ; smoutch-smoutch le matin suivant et discours poétiques sur le grand Amour et le Désespoir le jour suivant ! C'est que les Drenaï vont vite en besogne, dites-moi !
Druss le Marche-Mort incarne à lui seul tout ce que je n'aime pas chez les héros d'heroïc Fantasy : blasé, cynique, célèbre, orgueilleux, et sans cesse en train de dénoncer les horreurs de la guerre pour s'en gargariser goulûment le chapitre suivant... Décidément, ce genre ne me correspond pas. Et pour preuve, même Aragorn et Thorin Oakenshield ont le don de m'énerver. Pourquoi Druss aurait-il été différent ?
Je dois bien avouer quand même que Légende est l'un des seuls romans où les personnages secondaires ont autant la part belle - ce qui a tendance à remonter un peu le niveau. Sauf peut-être du côté des bad guys, qui frisent vraiment la caricature : un chef barbare costaud et tribal vêtu de peaux de bêtes, des hordes de gueulards indisciplinés faisant face aux soldats propres sur eux et bien entendu en sous-nombre...
(Tiens, ça me rappelle un certain empereur Jagang, ou encore Mance Rayder, qui lui aussi réunifie des tribus barbares rivales pour détruire l'unique fort servant de frontière entre deux mondes... Terry Goodkind et G.R.R Martin ont sans doute lu ce bouquin. Comme quoi on peut aussi rebalancer les idées d'auteurs connus dans ses propres oeuvres et avoir du succès, puisque la pub sait très bien enrober ses papiers cadeaux...)
Donc, malgré la bonne gestion des personnages secondaires (surtout du côté paysan) et une gouaille très agréable dans certains dialogues, je n'ai pas accroché. En sachant que j'ai aussi ressenti ça avec Renégats (qui n'est certes pas son meilleur livre), je me demande si ça vaut la peine de persister avec David Gemmell - surtout que la grande majorité de ses oeuvres tournent autour de Druss, ce qui n'est pas pour m'enthousiasmer... Dans la mesure où Druss le gâteux ne l'étais pas dans sa jeunesse... C'est à voir...
Commenter  J’apprécie          25
Franchement je suis très septique...Pourtant,les éléments sont là,l'univers est bien sympa,l'histoire alléchante alors pourquoi ai je trouvé "Légende" très moyen? Peut être à cause des personnages ultras stéréotypés et très très TRÈS fades? Peut être à cause de l'enchaînement trop rapide du fil conducteur qui de ce fait bacle l'histoire et l'expédie en un fouillis plus ou moins bien rattrapé ?Quoi qu'il en soit peut être que le contexte de l'époque (plutôt "Sword and sorcery", Héroic Fantasy ) n'est pas un style qui m'accroche...Bref je suis quand même contente de l'avoir lu pour l'auteur qui a marqué la fantasy par son travail prolifique, après je ne pense pas continuer le cycle de Drenaï.
Commenter  J’apprécie          22




Lecteurs (3908) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2498 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *}