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4,4

sur 3550 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Stop ! Karine Giébel reprend toujours les mêmes thèmes : sadisme, masochisme, rapports de domination/soumission avec ambivalence de sentiments et sexualité du même registre. Et les mêmes ingrédients : le type d'homme, le style de femme forte-tête, la captivité, la séquestration, les prédateurs qui deviennent proies et vice-versa. J'ai fait le tour : j'ai lu tous ses romans et nouvelles, et je commence d'ailleurs à me demander pourquoi/comment.

Bref, non seulement elle nous sert toujours la même chose, mais elle surenchérit dans le sordide, la cruauté infinie, la violence morale et physique, la perversité.

J'abandonne cet ouvrage (350 pages lues sur 600), de plus en plus nauséeuse, ayant l'impression de regarder un snuff movie pédophile.
Les tortures sur enfants, les têtes et membres explosés, les violences inouïes dont les victimes réchappent de manière abracadabrante - hélas pour elles car leur agonie sera lente et abominable pour que la jouissance du tortionnaire soit encore plus intense.
D'accord pour supporter cela d'un demi-oeil et de profil et en se "blindant", mais si cela sert de prétexte à des réflexions (cf. 'La Bête' de Roslund et Hellström).
Ici, je ne vois rien d'autre que la perception tourmentée (euphémisme) et de plus en plus insoutenable de l'auteur sur les rapports de force entre êtres humains, poussés à l'extrême.
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Suite au braquage d'une bijouterie qui tourne mal, les fuyards trouvent refuge dans une maison isolée et séquestre la propriétaire. La probabilité pour tomber juste sur la maison d'un tueur en série était faible, et pourtant c'est bien ce qui attend les cambrioleurs.

Présentée comme ça, l'intrigue est plutôt alléchante. C'était sans compter sur la volonté de l'auteur qui a décidé de vraiment trop en faire et qui repousse toujours plus loin les limites au point d'en devenir franchement lourdingue. Chaque chapitre est une surenchère dans la cruauté, la barbarie et le glauque. Sans ménagement et sans finesse, le lecteur est plongé dans les méandres de la folie et de l'horreur et finit par s'y perdre. Une lecture à oublier...
Lien : http://bloglavieestbelle.ove..
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Trop de violences. Des pages entières de perversités, de détails immondes.
Vous m'avez compris je n'ai pas apprécié ce "thriller". Même le personnage de Sandra ne m'a pas inspiré de pitié.
Je crois que je vais, pendant, quelques temps, passer à des lectures plus "cools" car là j'ai eu ma dose d'écoeurement.
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Je sors complètement bouleversée de cette lecture: mon sixième roman de Karine Giebel. Après "jusqu'à ce que la mort nous unisse", "juste une ombre", "terminus elicius", "les morsures de l'ombre" et "Satan était un ange".
J'ai toujours été bluffée par son écriture, par ses scénarios complètement imprévisibles, par le suspens qu'elle distille habilement et par la profondeur de ses personnages.
Mais pour moi ce roman va vraiment trop loin dans l'horreur.
Tout part d'un braquage manqué. Deux victimes. le quatuor de braqueurs en cavale avec le butin. Mais un des braqueurs est lourdement touché ce qui contraint l'équipe à s'arrêter en pleine nuit dans une petite bourgade de campagne, et à appeler la vétérinaire du village à l'aide...
C'était la plus mauvaise idée de leur carrière de bandit.
Et, comme seule Karine Giebel sait le faire, le lecteur prend un électrochoc quand il comprend que nos malfrats se sont tranquillement installés dans l'antre du diable, une ferme isolée dans le brouillard où sévit un des plus grands prédateurs psychopathe que la terre n'ait jamais porté...
Et là, bien qu'ayant apprécié mes lectures précédentes de l'auteure, j'ai cru plusieurs fois abandonner ma lecture, confrontée à l'insoutenable, à l'innommable. Ce n'est pas seulement la tension (qui ne retombe pas pendant les 600 pages du roman), l'ambiance étouffante de ce huit clos, c'est aussi toute l'horreur, les sévices, tortures et mutilations que vont subir les personnages, tombés entre les mains d'un pervers pédophile qui n'a aucune limite.
Je ne vais pas me replonger de si tôt dans un nouveau roman de Karine Giebel, c'est à se demander quel cerveau est capable de mettre en place un tel scénario apocalyptique et d'écrire de telles abominations...
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J'avais écrit une ligne pour dire combien je n'avais pas du tout aimé ce livre mais il fallait 250 caractères minimum.
Alors je vais faire du remplissage alors que ça n'en vaut pas la peine.
Un début classique, un braquage qui tourne mal. Un beau truand courageux
Et fier, l'amour qu'il porte à son petit frère : OK
Mais pour l'essentiel ce ne sont que des scènes de sadisme, sans aucun intérêt.
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deux frères épaulés par une équipe dévalisent une bijouterie et tout part en vrille rapidement. Rien de ce qui était prévu ne se réalise, l'amitié se fissure tout de suite.Les loups sont entrés dans la bergerie mais comme toujours avec l'amie Karine , les apparences sont trompeuses...
Des personnages complexes, loin d'attirer une empathie immédiate .
La confrontation entre un détraqué et tueur en série et braqueurs...
L'idée au départ est superbe.
Aussi vite monté l'intérêt, aussi vite redescendu. Comme un soufflé qu'on laisse refroidir.
Tout est fade après, miévrerie, redite à longueur du temps. Bref, l'auteur ne sait pas comment mettre une fin et cela e ressent.
Une soudaine envie de rire. Tout est mauvis la moitié du livre, comme si l'auteur avait honte, peur de son côté obscur et avait un besoin puéril de blancheur.
Bref grosse déception au final
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N'aimant pas arrêter de lire un livre commencé, je l'ai fini en ne lisant qu'une page sur 3 par curiosité et connaitre l'intrigue !

Je ne comprends pas cette tendance qu'ont les auteurs dans l'escalade de l'horreur. Là, il s'agit de décrire des scènes de torture les plus horribles possible !

Y a t il vraiment un "large" public pour cette littérature nauséabonde ?
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J'ai été déçue par ce livre, j'en avais tellement entendu parler que je m'attendais à quelque chose de mieux. Ce qui m'a le plus déplu est le style même de l'auteur et c'est ce qui m'a empêché de vraiment apprécier l'histoire.
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J'ai a peine commencer ce livre que je l'ai arrêté... C'est la deuxième fois que je me laisse prendre à lire un livre de Karine Giebel mais je crois que je ne tenterai plus! A chaque fois les histoires ont l'air prometteuses et à chaque fois, je suis très déçue...
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L'intrigue parait alléchante au premier abord. Mais déjà au tiers du livre on n'a pas avancé. Puis coup de théâtre et là il devient impossible de continuer à lire ce livre, j'en suis à la moitié et j'ai envie de vomir à chaque page, c'est de plus en plus glauque, je me demande comment on peut imaginer et écrire des horreurs pareilles, sur près de 700 pages !! Faut il être sociopathe soi-même ? de plus, le texte est bourré de fautes de français ou d'orthographe ... Bref j'arrête là, et le livre et la critique, et je ne relirai aucun ouvrage de cette "auteure" !!!
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