Ciao bella

Du nombrilisme qui se veut utile aux autres. Ici se libérer de ses peurs. Si ce livre a sans aucun doute fait du bien à Serena Giulano, il n'a eu aucune prise sur moi. J'ai du mal avec ces romans exutoires, quasi autobiographiques et écrits comme on parle. De la "littérature" pour blog, pas autre chose. La composition répétitive : dialogue avec la psy puis évocation du passé, est lassante… Bref je n'ai pas aimé et suis étonnée de l'enthousiasme de nombreuses critiques.

Pourquoi ai-je acheté ce roman alors que je n'aime pas les romans Feel good? Peut-être à cause de la promesse d'Italie, irrésistible. Me voilà bien déçue, car ce roman m'a paru bien fade, entre une écriture simple confinant à l'indigence, un personnage principal nombriliste à l'humour fort douteux (la blagounette sur le cancer répétée plusieurs fois, je trouve cela insultant pour les malades) et une histoire avec bien peu de profondeur. Voilà voilà.

L'écriture est comme dans tous ces livres feel good à la mode qui se lisent facilement et inondent les librairies, plate, peu travaillée. Mais ce qui me choque, comme chez Grimaldi et affiliées, c'est le plagiat de citations d'auteurs connus. de belles phrases et réflexions casées dans le roman, qui de toute évidence sont des reprises à peine maquillées.
Exemple : "J'aime écrire car cela ne fait pas de bruit. L'écriture permet de crier en silence" dans ce roman est plusieurs fois cité ci-dessous par les lecteurs émus. Mais cette "pensée" a été pompée chez Marguerite Duras et d'ailleurs archi connue : "Ecrire, c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit." Je luis rends ici ses mots...
Et des comme ça, dans ces romans sans écriture qui se vendent très bien, j'en ai retrouvé des tas. Un peu facile, et ça marche, en plus. Les têtes de gondole en cette saison me filent le bourdon.

Ce roman, je l'ai vu passé sur les réseaux sociaux avec de bons retours, j'ai donc voulu le lire également, la couverture, une fois n'est pas coutume m'attirait fortement de même que le résumé.

Mais je ressors déçue de ma lecture.
Je n'ai pas trouvé que c'était un roman mais plutôt le récit détaillé d'une jeune femme au bord du gouffre lors de ces séances chez la psychologue.
C'est dommage, Anna avait tout pour me plaire, des peurs en veux tu en voilà, dont certaines très loufoques.
Je n'ai pas adhéré à l'écriture, trop simple, trop vulgaire.
Je retenterai néanmoins cette auteur, ayant un autre ouvrage dans ma bibliothèque.

Livre lu il y a moins de deux mois et déjà oublié . On suit la psychothérapie d une jeune femme enceinte agaçante au possible . Pourtant adepte de roman feel good je suis complètement passé à côté de celui ci. Écriture médiocre et histoire très creuse.

j ai voulu tenter un "feel good" car je vivais un moment de stress et j avais besoin de detente, je me felicite de ne pas avoir achete ce torchon. Je ne comprends pas l enthousiasme des gens qui aiment cette caricature de roman mal ecrit, ennuyeux, vide et nul et inutile ....

Titre : Ciao Bella
Auteure : Serena Giuliano

Mon avis :

Que dire et par où commencer ? Voilà une chose difficile tant je suis mitigé face à cette lecture.

Je suis allé à un salon de lutherie exposé avec mon mari notre travail et notre voisine de stand lisait ce livre (elle en était à la fin.). Je lui ai posé des questions sur son livre. Quand elle l'a fini, elle me l'a donné pour que je lise à mon tour et je l'en remercie, car j'aime beaucoup lire et je suis assez ouverte en termes de style. Je ne pense pas que j'aurai acheté ça. 

Cette fois, je ne sais pas comment vous dire, mais je suis choqué, le découpage de ce livre est très étrange, ce n'est même pas une histoire. Il n'y a pas d'intrigue, c'est plus une sorte de journal intime et encore (je trouve ce terme en vous écrivant ce retour de lecture.). le vocabulaire est assez simpliste. J'avoue avoir ri par moment, mais je vais reprendre exactement une phrase du dit livre pour le décrire : une symphonie du moche en ré laideur.

Ho, je vous vois déjà avec vos commentaires « il ne faut pas descendre une oeuvre parce qu'on n'a pas aimé » à ceux-là, je réponds non, ce n'est pas une oeuvre.

A mon avis très mauvais livre.
Sujet très banal et non original. Thème déjà traité maintes fois, donc aucune créativité.
Très mauvaise écriture, livre truffé d'expréssions et de mots vulgaires et grossiers. Aucun style.
Histoire invraisemblable : un spy ne peut avoir une telle relation avec son patient.
Conclusion : aucun ingrédient pour "rentrer" dans le livre.
Heureusement très vite lu !
Lien : https://www.babelio.com/monp..

Livre creux.
Monologue du personnage tout le long. Des répétitions dans le style, une écriture de 'blog' mais certainement pas un 'roman savoureux' comme le vend la presse.
Je l'ai lu car on me l'a offert.
Mauvaises blagues lourdes, aucun intérêt pour le lecteur de lire la thérapie de cette femme angoissée.
J'ai mis une étoile pour les anecdotes sur l'Italie. Mais franchement, passez votre chemin.