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4,12

sur 1735 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
📚 Bonjour livresque 📚

Luna - Serena Giuliano
Éditions Robert Laffont

Direction Naples où Luna se voit obligée d'aller au chevet de son papà hospitalisé alors qu'elle a coupé les ponts avec lui. Naples qu'elle a fuit, avec sa mère, quand elle était petite.
Elle ne compte pas y rester longtemps et espère bien que son père se remettra vite sur pieds ! Sa colère envers lui est toujours bien ancrée et le pardon n'est pas d'actualité !
Elle y retrouve sa cousine Gina, avec qui elle était très proche et que le temps et la distance ont laissé place au silence. Les souvenirs reviennent et les rapprochent. C'est elle qui est chargée de faire le ménage chez son zio (son oncle). Leur complicité va reprendre doucement sa place.
Dans l'appartement de son père, elle cohabite avec Filomena, la chatte, qui lui fait bien comprendre qu'elles ne seront pas copines ! D'ailleurs elle mène une double vie (surtout alimentaire) chez Filomena, la voisine du dessus ! Même prénom... coïncidence ??
Luna va vite se lier d'amitié avec Filomena (l'humaine, toujours pas la chatte !) et aussi avec le couple dont l'homme partage la chambre d'hôpital avec son père et dont la femme, en bonne napolitaine, se mêle de toutes les conversations !
Petit à petit Luna s'autorise à trouver les réponses à ses questions, sur son père, son enfance, à chaque souvenir qui refait surface.
Ses 3 amies de Milan vont débarquer à Naples le temps d'un week-end et tout va être chamboulé !
Confidences, rires, partage... tout y est pour aider Luna à apaiser cette colère et reprendre sa vie de peintre sereinement. Saura t-elle écouter ces bonnes âmes qui l'entourent ? Saura t-elle pardonner à son père ? Luna s'accordera t-elle d'être heureuse avec la personne qui l'aime (et dont on ne découvre l'identité qu'à la fin !) ?

Une lecture plaisir où je me suis baladée dans les rues de Naples en mangeant une pizza fritta comme si j'y étais ! J'ai peint le Vésuve et le regard de l'infirmière avec les yeux de Luna (et la plume de l'auteure). L'humeur déjantée de Gina m'a fait rire, tout comme celle de Filomena (la chatte).
Peut-on faire abstraction de sa rancoeur envers un parent malade et seul ? Chaque individu a sa propre opinion sur le sujet et le jugement n'est pas de mise.
Je n'oublie pas toute la part d'humanité qui se dégage de ce roman, mais pour comprendre de quoi je parle, il faut le lire 😉
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Découvrir Naples en compagnie de Luna fût une belle aventure.
Cette lecture a attisée ma curiosité et m'a tenue jusqu'au bout.
Comment ne pas s'attacher à tous ces personnages, ils sont hauts en couleur, et apportent tous une chose tellement essentielle à Luna, à nous : l'amour.

Car c'est un livre sur l'amour. L'amour de Naples, l'amour de la famille, l'amour des amis...

Une fois encore une lecture très agréable. Je l'ai encore plus aimé que le 1er que j'ai lu "Mamma Maria".
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Grâce à Serena Giuliano, je me suis retrouvée instantanément dans cette ville de Naples chaleureuse, pleine de vie et de contrastes. J'ai adoré voyager dans cette ambiance de parfums, de couleurs, de saveurs, d'accent chantant. Je salivais rien qu'à l'énonciation des plats. Et cet humour, que j'ai ri ! Et les personnages sont si attachants.
Une vraie bouffée d'oxygène que ce roman pétillant malgré des sujets forts.
J'ai refermé ce court roman avec une très forte envie de faire mes bagages et de m'envoler pour Naples, cette ville bruyante et attachante, que je ne connais malheureusement qu'à travers la littérature.
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Lecture ensoleillée par cette journée pleine de grisaille...un petit roman solaire et enchanteur et dont la sonorité Napolitaine m'a laissée le sourire aux lèvres pour la journée: "Luna" de Serena Giuliano. J'ai beaucoup aimé l'écriture très imagée de l'auteur qui m'a fait découvrir cette partie de l'Italie que je ne connais pas. Une belle parenthèse entre deux thrillers, une histoire d'amitiés et de retrouvailles familiales. Un très joli roman dont les personnages hauts en couleurs m'ont donné envie d'aller me promener dans les rues de Naples avec l'espoir de les croiser...
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J'avais découvert Serena Giordano avec "Mamma Maria" qui m'avait enthousiasmée. J'ai apprécié "Luna", mais dans une moindre mesure. L'héroïne quitte Milan, où elle travaille, pour se rendre auprès de son père malade. On comprend dès le début qu'ils ne sont pas en bons termes, que ce père a été renié par sa famille, car il a fait des mauvais choix. Lors de ces retrouvailles forcées avec Naples et sa cousine Gina, c'est tout le sud de l'Italie, son exubérance, son dialecte, mais aussi sa cuisine (!) qui s'imposent à Luna.
Bientôt rejointe par ses meilleures amies à qui elle fait découvrir sa ville natale, elle se rend compte à quel point Naples fait partie d'elle.
L'intrigue est sympathique quoique prévisible, à Naples, on pressent que la mafia n'est jamais loin et qu'elle pourrait expliquer la brouille familiale et l'exil dans le Nord... on y retrouve également l'importance de l'amitié, de la solidarité entre les générations avec les liens que Luna tisse avec la voisine Filomena.
En somme, une lecture agréable pour un week-end pluvieux, qui donne encore et toujours l'envie de s'envoler pour Naples !
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Comme les deux précédents romans de Serena Giuliano, j'ai adoré celui-ci !

Cette fois, on fait la connaissance de Luna qui est de retour à Naples, la ville dont elle est originaire et dans laquelle elle a passé son enfance, pour s'occuper de son père hospitalisé qu'elle n'a pas revu depuis plusieurs années...

L'histoire est belle et écrite avec beaucoup d'humour.
J'ai une fois de plus été conquise par la plume de l'auteure et par ce voyage en Italie qu'elle nous permet à travers la lecture.

J'ai trouvé tous les personnages attachants : Luna et ses trois copines, Gina sa cousine, Filomena, Anna....
Toutes différentes et avec des liens très forts.

J'ai aussi adoré l'autre Filomena, la chatte qui mène la vie dure "titre" ( ceux qui l'ont lu, comprendront 😜 ) à Luna dès son arrivée !

Une lecture qui fait du bien et que je vous recommande.
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A Naples, Luna séjourne dans sa maison d'enfance. Oui mais voilà, son enfance semble avoir été scindée en deux. La période heureuse, "l'avant" où ses parents s'aimaient durant laquelle bien que n'ayant peu d'argent ils vécurent heureux. Et il y a l'après.. . L'auteure, au fil des pages, par le biais de flashback judicieux, nous livrera quelques bribes de l'enfance de Luna, pour ensuite, enfin, lever le voile sur ce qui s'est passé.

Au fil des pages nous voyons que Luna change. Elle qui pestait contre Naples et ses habitants, ses inconvénients, ses excès et ne cessait de prier pour un prompt rétablissement de son père afin de pouvoir repartir au plus vite. Elle redécouvre « sa » ville, le berceau de ses racines : les couleurs, les odeurs, les sons…

Serena Giuliano nous a concocté une galerie de personnages magnifiques, tous plus attachants les uns que les autres qui vont eu aussi contribuer à aider Luna à prendre conscience du vide abyssal que le départ de Naples a laissé dans son coeur.

Luna fait la connaissance de Filomène, la voisine de son père. Une charmante vieille dame, qui a mené une vie riche et palpitante. Une belle complicité naît au fil des moments passés ensemble entre les deux femmes. Elles apprennent à se connaître et à s'apprécier. Filomène nous bouleverse lorsque nous découvrons à quel point la solitude pèse à cette humaniste, si altruiste, qui au fil des années n'a eu pour seules visites que celles du père de Luna. A ne pas confondre avec Filomène (l'autre), qui n'est autre que la chatte des lieux : vénérée par son maître, traitée en princesse. D'entrée de jeu elle ne cache pas son animosité envers Luna et va lui faire les pires vacheries.

Luna retrouve également sur place sa cousine Gina qui est un personnage haut en couleur. Elle est "sans filtre" et nous régale de son franc parler et de sa gouaille savoureuse.

Très importantes, aussi, il y a les amies milanaises de Luna qui sont Francesca, Fatima et Alessandra. C'est la famille qu'elle s'est choisie. Sur le groupe de conversation qu'elles ont créé, elles échangent les petits riens de la vie quotidienne, se soutiennent en cas de coup dur, se congratulent lors des succès. Cela a eu une résonance particulière pour moi tout au long de ma lecture car je pensais à mon propre groupe (messenger) avec lequel j'échange au quotidien, constitué d'amis que j'adore et que je n'imagine pas ne plus faire partie de ma vie.
Malgré le mur gigantesque qui se dresse entre elle et son père, Luna lui rend visite chaque jour et tente de l'aider à se remettre. C'est à l'hôpital qu'elle fait la connaissance du couple formé par Anna et Pascuà, son mari, lui aussi hospitalisé. Anna incarne la napolitaine dans son franc parler, ses superstitions, et ses dictons venant ponctuer chacun de ses propos.

La ville de Naples est un personnage à part entière du roman. On visualise sans aucun effort les balades dans la "vraie" Naples, lorsque Luna retourne dans son quartier d'enfance ou quand elle le fait découvrir à ses amies. La mer est omniprésente et nous enchante; de même que le Vésuve, majestueux, faisant partie intégrante de la vue depuis l'appartement du père de Luna ou de Filomena. Naples se dévoile tout au long du roman par les odeurs (le café, les pâtisseries), les couleurs et les sons..

Mais le roman de Serena est bien plus profond qu'il n'y paraît. Sous les attraits du feel good, il nous parle également du temps qui passe et de nos parents ou ceux que l'on aime que l'on voit vieillir et perdre en autonomie. de l'amitié, véritable arme pour venir à bout des problèmes, même quand ils paraissent insurmontables. Il y est aussi question de la charge mentale trop forte pour certaines, qui sous couvert de traditions culturelles ou idées préconçues pèse beaucoup trop sur les épaules des femmes, dont le mari est démissionnaire et dont le futur, à très court terme est un burn out. L'auteure évoque également avec beaucoup de délicatesse, le regard de l'autre et l'importance, ou non, qu'on lui donne, de l'intégration, de l'altruisme de la solitude de certains de nos seniors.

Foncez sur ce roman plein de peps et qui est également très touchant. Mais attention tout de même car l'auteure décline toute responsabilité quant aux kilos que vous pourriez prendre à la lecture seule de ses pages où abondent pizze fritte, sfogliatelle, glaces, pizzas, Pasta alle vongole, parmigiana etc.. vous voilà prévenus !
Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..
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Luna vit à Milan depuis le divorce de ses parents.
Elle est en froid avec son père, mais elle est « obligée » de retourner à Naples, car son père a subi une grave opération du cerveau.
Comme elle le dit, sa mère a pu divorcer, mais on ne divorce pas d'un père.
Cela fait 7 années qu'elle n'a plus vu Gina, sa cousine et meilleure amie.
Luna a une relation complexe avec Naples, elle l'a tant aimée puis haïe au point de la rejeter. Au point d'en avoir honte.
Au point de dénigrer ses habitants et sa cousine.

Comme Naples, elle ne fait pas dans la demi-mesure.
Des sentiments extrêmes qu'elle va pouvoir peut-être prendre le temps d'analyser.
Luna est perdue, c'est le chaos dans sa tête.
Il y a la situation physique de son père, un non-dit qui plane et puis un amour dont elle a peur.
Un amour dont on ne sait rien, mais dont on comprend la force dans le peu de textos échangés.
Luna n'a pas les mots pour répondre, elle a les émotions. Elle les ressent si fort qu'elle doit les extérioriser.
Quoi de mieux, alors, que de sortir ses papiers et ses crayons ?
C'est d'ailleurs son métier, elle possède une galerie d'art à Milan.

Luna ne parvient pas à se défaire du regard des autres.
Ni de ce que les gens pensent.
La critique sur son travail elle l'accepte, sur sa personnalité non.
Elle a besoin que tout le monde l'aime.
Elle a peur de perdre ses amies, de décevoir Gina.
Une pression mentale qui m'a parlé, car je vis avec et que moi non plus je n'ai pas réussi à m'en débarrasser.
Luna a retiré toutes les couleurs de ses souvenirs. J'ai très vite compris le mystère entourant son père, mais je n'avais pas vu un autre thème que j'ai beaucoup aimé et qui m'a émue.

Tu as deux niveaux de lecture grâce aux extraits de lettres et de journaux intimes mis en parallèle de l'intrigue. J'adore ce procédé quand il est utilisé comme ici. le passé pour éclairer le présent et que le roman reste fluide.

L'écriture de Serena Guiliano je la qualifierais de chaleureuse, gourmande. Comme un gâteau que tu dégustes étage après étage pour en sentir les mille saveurs éclater sur ton palais. Chaque chapitre est savoureux. J'ai engouffré chacun des chapitres du livre ; voilà pourquoi je dis que c'est une écriture gourmande.
Chaleureuse, car on sent l'attachement très fort de l'auteure à sa terre natale.
J'ai ri et j'ai pleuré. J'ai surtout ri.
Un livre qui arrive à point nommé pour moi. J'étais un peu chagrine, je ne trouvais pas une lecture entraînante.
Le ton est rayonnant, un peu doux comme une pâtisserie et un peu piquant comme du piment.
Un roman qui t'éloigne de la morosité ambiante.
Un roman de transmission de racines. Ce sont les siennes. On sent tout son attachement à ces terres.

Moi qui suis Serena Guiliano depuis de nombreuses années sur son blog et sur Instagram j'ai retrouvé la femme que je vois.
Celle qui déculpabilise.
Qui te montre le beau et le moins beau.
Une femme qui m'inspire par sa sincérité, qui me fait rire. J'ai retrouvé sa bienveillance et sa générosité.
Une femme pétillante et bouleversante.
J'ai retrouvé chacun de ces traits de caractère dans Luna. Je pense qu'elle a mis beaucoup d'elle-même dans Luna maintenant, je n'en suis pas certaine ; peut-être que j'ai tout faux, car comme toujours je n'ai rien voulu savoir avant de commencer ma lecture. Ni interview ni avis.

« Parfois, les petites étincelles allument de grands feux »

L'amitié prend une grande place dans ce roman.
Tu vas rencontrer les amies de Luna et sa cousine que j'ai particulièrement aimée.
Il y a aussi Fatima, Filomena, la femme, pas le chat, Alessandra, Francesca et Gina. Ma préférée juste après Luna dans laquelle je me suis beaucoup retrouvé.
Gina ne fait pas de chichi. Elle est simple et sincère. Elle met de la bonne humeur partout où elle passe, dans les pages de ce livre aussi.

Serena Guiliano outre l'amitié même celle intergénérationnelle, te parle de bienveillance, de féminisme.
De L'infantilisation des parents quand ils tombent malades ; une étape à laquelle on n'est jamais préparé.

J'ai eu envie de manger tout au long du livre. J'ai envie un jour de déguster des Pizzas Fritta, des sfogliatelle, et tellement d'autres plats que je ne connais pas. Tous m'ont donné l'eau à la bouche.

Ce roman est chaleureux comme les Napolitains
Empathique et humains comme Francesca
Il te souffle à l'oreille d'assumer tes choix comme Fatima
De ne pas te laisser faire comme Alessandra
Gina, elle, elle t'invite à sortir des cases ; de ne pas avoir peur du regard des gens
Filomena c'est la sagesse de l'âge qui te rappelle de profiter de chaque instant.

Luna c'est une main tendue, c'est répondre à la bêtise par l'humour, c'est l'amour, le vrai. Celui qui démarre ; celui qui dure une vie ; celui qui s'en va. C'est la famille. C'est savourer l'instant présent.

« A volte si crade trovare il sole di agosto, e si trova la luna di marzo
Parfois, on pense trouver le soleil en août, mais c'est la lune qui nous trouve en mars »

« Naples est une chanson d'amour… si tu sais l'écouter, elle te prend aux tripes, elle te console, elle te berce. Même si tu perds tout, tu auras toujours la richesse d'être née ici. »

J'ai envie en particulier de visiter ces lieux parmi tous ceux cités dans le livre :

– le chiostro maiolicato
– La Chapelle Sansevero
– Chordal delle Donne
– Fontana dell'Immacolatella

À l'heure actuelle où on ne peut, pour l'instant, pas voyager ; ce roman fait extrêmement de bien. J'ai senti le soleil sur ma peau, j'ai adoré déambuler dans les rues et ruelles, dans les quartiers et places célèbres de cette ville que je ne connais pas encore.
L'auteure te décrit cette ville et ses paradoxes. Naples et tous ses contrastes. Les problèmes sociaux, les quartiers surpeuplés et où le travail est rare et la Naples des touristes.
Serena Guiliano m'a donné envie d'y aller un jour.
Qui sait, je rencontrerais peut-être Anna et ses proverbes ? Filomena le chat ou j'entendrais le rire de Gina et Luna ?
Ce roman est une vraie bulle d'oxygène.
On rit et on pleure.
C'est léger et fort à la fois.
Un roman parfait. Idéal pour te déconnecter.

Laisse la magie de Naples opérer sur toi.
Observe le Vésuve depuis la fenêtre du Palazzo Donn'Anna
Lien : https://unesourisetdeslivres..
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[ l'U N A ]
de Serena Giuliano
Editions Robert Laffont
Masse critique privilégiée Babelio.com
En librairie Jeudi 18 Mars .
[ Parfois, on pense trouver le soleil en Août, mais c'est la lune qu'on trouve en Mars ].

[ Luna arrive à Naples contre son gré : son père est gravement malade. Rien ici ne lui a manqué . Ses repères, ses amies, son amour sont désormais à Milan. Alors pourquoi revenir ? Pourquoi elle est au chevet de son papa, au passé trouble et avec lequel elle a coupé les ponts ?... ]
Les souvenirs. Les remords. La culpabilité. Les sourires. Les émotions et l'amitié surtout .
〰.
[ j'ai une relation si complexe avec Naples : je l'ai tant aimée puis je l'ai tant haïe. Au point de la rejeter. Au point d'en avoir honte. de la salir. Comme elle, je ne sais pas faire dans la demi mesure. Il est parfois difficile de trouver un chemin entre deux sentiments extrêmes. C'est à moi de le chercher, et il est peut être temps.]
Les mots simples . Les racines. Les reflets du soleil. Des vies. Des histoires. L'instinct. Les yeux tristes qui débordent .
〰.
[ la vie est en sourire, celui qui ne rit pas meurt assassiné. ]
Une lecture triste et lumineuse. Un mélange de bonheur et de douleur. Un roman d'espoir et de bienveillance. Une jolie lecture légère comme un doux voyage en Italie.
Une lecture idéale en vacances, au bord de la piscine ou à la plage , en buvant un Amalfitano au soleil . Mamma Mia .
〰.
J'ai néanmoins préféré la lecture de Ciao Bella et Mamma Maria .
[ A o' core nun se cummanna ]
On ne peut pas commander son coeur .
〰.
[ on ne peut pas vivre sans savoir pourquoi , mais on ne peut pas vivre sans savoir pour qui ]
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Luna est de retour dans sa ville natale, Naples, à la suite d'un souci de santé de son père. Elle n'y revient pas de bon coeur dans cette ville qui lui rappelle tant de mauvais souvenirs. Mais si finalement, revenir à ses racines l'aidait à avancer ?  Une fois de plus, j'ai été complètement transportée en Italie. Et ça fait un bien fou de s'imaginer là-bas surtout avec la météo que nous avons actuellement. J'ai découvert la ville de Naples grâce à l'ambiance que l'autrice crée dans la lecture et ça m'a juste donné l'envie d'y aller pour de vrai. J'ai adoré me retrouver au soleil alors qu'hier il gèle. J'ai adoré la relation entre sa cousine et elle tout comme celle avec ses amies aussi qui m'a beaucoup fait rire. Grâce aux flash-backs, on comprend ce qui a poussé Luna et sa maman à aller s'installer dans le nord de l'Italie. Ce livre est un parfait équilibre entre douceur, sensibilité et humour. Bref, un vrai moment d'évasion comme je les aime avec Serena Giuliano. P.S. : Gros coup de coeur pour les proverbes napolitains, je vais d'ailleurs en adopter certains.
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