AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Andrée Fleury (Traducteur)5/5   1 notes
Résumé :
Cette brève histoire de Bucarest, capitale de la République Socialiste de Roumanie a été rédigée à l'usage des étrangers qui sont de plus en plus nombreux à visiter notre pays. Exposer le développement multiséculaire de notre capitale, avec son nom très ancien et très roumain, constitue une introduction propice à l'étude de l'histoire de la nation roumaine, car beaucoup, parmi les éléments et les circonstances de cette histoire, se sont reflétés dans celle de Bucare... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Histoire de BucarestVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Une excellente monographie étayée d'un riche appareil iconographique. Hélas les images sont majoritairement en noir et blanc et pas de très bonne qualité, mais elles apportent de la valeur documentaire à ce livre unique. L'index alphabétique est très bien conçu et la carte en fin d'ouvrage (l'extension de Bucarest entre 1300 et 1831) plutôt utile. Il y a même une bibliographie qui cite le livre de Paul Morand, Bucarest (1935).
Malgré sa publication sous le régime communiste, cela reste une très bon livre d'histoire aux allures de guide touristique.
Commenter  J’apprécie          490

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
On les appelle, en roumain « Cofetării », mot qui vient de « cofeturi », signifiant en vieux roumain bonbons, douceurs ; à son tour le mot « cofeturi » vient de l’italien « confetto », soit directement soit par l’intermédiaire du grec moderne. Dans le Tarif de 1727, dressé par les Autrichiens pour la province d’Olténie, mais qui indique les marchandises importées par toute la Valachie, donc en premier lieu par Bucarest, nous apprenons que les douceurs étaient de trois sortes : vénitiennes, allemandes et turques. Dans la liste des patentes bucarestoises de 1832, nous trouvons 15 « coferati » pâtissiers ; il y en avait davantage en réalité et leur produits étaient particulièrement appréciés. Leurs louanges sont chantés non seulement par l’auteur d’une description de Bucarest publié dans « l’Almanach d’Odessa » de 1840, mais aussi par le Français Fr. Jourdain dans « l’Illustration » à l’occasion de la participation de la Roumanie à l’Exposition Internationale de Paris. L’art roumain de la pâtisserie et de la confiserie s’est enrichi sans cesse, en empruntant à d’autres peuples divers produits et diverses manières de les préparer, souvent en les perfectionnant. Outre l’influence turque et grecque — plus ancienne — l’influence française dans ce domaine a été très grande au XIXe siècle, ce qui a déterminé toute une terminologie : « bomboane », « caramele », « sirop », « cremă», « nuga », « fondante » – mots qui n’ont pas besoin d’être traduits – il faut également mentionner une certaine influence allemande et une autre, italienne, surtout en ce qui concerne les glaces et les sorbets.
Commenter  J’apprécie          70

autres livres classés : bucarestVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs (1) Voir plus



Quiz Voir plus

Harry Potter en 20 questions

Quel train prend Harry pour aller à Poudlard ?

Un RER
Thomas le train
Poudlard Express
Le TGV

20 questions
1342 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur ce livre

{* *}