Astérix, tome 11 : Le bouclier Arverne

« Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée par les Romains... Toute ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de légionnaires romains des camps retranchés de Babaorum, Aquarium, Laudanum et Petibonum... »
Abraracourcix, malade, se voit contraint à regagner la ville d'Aquae Calidae (Vichy) pour soigner son foie et se mettre à la diète. Bien entendu, Astérix et Obélix sont du voyage. César étant en pays arverne à la recherche du bouclier historique de Vercingétorix, nos deux compagnons décident de le prendre de vitesse.
A vous d'en découvrir le dénouement.

Bande dessinée pour nos enfants, pas sûr !!
Bonne lecture à vous.

J'ai adoré.

Abraracourcix, notre chef, est bien malade. Notre druide l'envoie en pays arverne pour une cure d'amaigrissement. C'est là que César a été vaincu à Gergovie, et il souhaite montrer aux arvernes insoumis qui est le maitre grâce à un triomphe à la gauloise sur le bouclier de Vercingétorix. Sauf que le dit bouclier a été égaré. C'est désormais une course de vitesse entre Les gaulois et les romains pour retrouver l'objet tant convoité. Les recherches dans le charbon vont noircir l'humeur des romains et d'Idéfix, lassé des bains pour retrouver sa blancheur. Une nouvelle bataille de Gergovie où l'histoire se répète.

Ce onzième tome se décide enfin à mettre davantage en avant Abraracourcix. Et ça lui réussit, offrant alors une introduction plaisante avec un chef presque aussi glouton qu'Obélix qui est surveillé de près par son épouse au fort caractère. L'épisode aux bains est amusant avec un Abraracourcix de plus en plus triste face à son régime sec et un Astérix et un Obélix inconscients du mal qu'ils font aux curistes en s'empiffrant de sangliers et en faisant des bombes dans la piscine. Mais ne t'inquiète pas Abraracourcix, les arroseurs seront bientôt être arrosés à leur tour…

La deuxième partie auprès des Arvernes est tout aussi sympathique avec la prononciation des ‘se' en ‘che' des nouveaux amis de notre duo et avec cette enquête en vitesse accélérée à la recherche du bouclier. Finalement, je n'ai pas grand chose à dire sur cette nouvelle aventure. J'en gardais un bon souvenir même si ce n'est pas une des meilleures, il ne se passe pas grand chose de notable. Mais l'atmosphère est sympathique avec des spécimens romains encore plus idiots que d'habitude et une camaraderie touchante entre Gaulois d'Armorique et Arvernes.

La résolution finale est très bien trouvée et donne une habileté supplémentaire à l'un de nos Gaulois.
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Une très bonne lecture !
Cette aventure qui commence par un régime, prend ensuite des allures d'épisode historique sur notre ancienne Gaule.
Le scénario est parfaitement maîtrisé, la mise en scène excellente et l'on ri du début à la fin. J'adore les jeux de mots et gags de situation qui sont l'essence même de cette série. Les références sont légions dans ce tome et donnent des envie de revisiter notre histoire...et puis un volume centré sur Abraracoursix, c'est l'assurance de passer un bon moment !

Top Tier.

Pour moi, le bouclier arverne fait partie des meilleurs Astérix et Obelix. Il fait bien sur référence à la défaite d'Alesia (sujet tabou bien sur), il est truffé de bons mots et le scénario se tient bien. Je le relis avec autant de plaisir.

Des usines Michelin, bibendum et allons à Gergovie, Alésia par Toutatis et Vercingétorix, ma foi !

On a Bonnemine, avec tout cela. de cure en bouclier, ces aventures ne manquent pas de rebondissements et d'éclats.

Une recherche avec L Histoire pour nos héros. Une grosse honte pour César. Et pour mon plus grand plaisir les légions romaines tournées en ridicule encore une fois. En bref j'ai beaucoup aimé cette aventure.

Dans ce onzième épisode des aventures d'Astérix, les deux gaulois escortent leur chef pour une cure en pays Arverne. Ils vont apprendre que Jules César souhaite retrouver le bouclier de Vercingétorix et d écident de retrouver avant lui.
On découvre que les ripailles des gaulois n'est pas sans conséquence sur le foie de leur chef respect é. Dans un contexte totalement anachronique, il part en cure accompagné bien sûr d'Astérix, Obélix et bien sûr Idéfix, qui prend de plus en plus d'importance aux yeux de son maître et donc du lecteur. Les auteurs s'amusent à se moquer de l'accent typique d'une région française et quelques années plus tard nous pourrons retrouver cet humour dans un film comique désignant une autre région au parlé tout aussi typique.
Un des romains de la garnison, feignant et courbé, fait étrangement pensé à Gaston Lagaffe dans sa manière de se tenir et d'aborder les tâches ingrates. Jules César fait encore une apparition très remarquée malgré son souhait de passer incognito. C'est aussi dans cet épisode que nos deux héros se disputent réellement pour la première fois, se réconciliant heureusement très rapidement.
Le banquet final, encore une fois, est différent et se fait sans la présence d'une personnalité du village.
Bien que cette bande dessinée ne soit pas la meilleure de la saga, elle garde toutefois des scènes qui resteront marquantes dans la série.
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Une vraie petite aventure ! Au détour d'un voyage touristique, nos amis finissent par chercher à devancer César. Leurs péripéties se mêlent à de drôles de rencontres. Suivre la piste du bouclier avec eux a été très agréable. C'est toujours un plaisir de prendre le temps de détailler les illustrations.

Les premières pages sont drôles, à en avoir mal au ventre de rire. La suite est amusante aussi, et il est toujours appréciable de retrouver nos Gaulois.