Le jour où j'ai appris à vivre

Les événements dans une vie sont parfois plus que troublants. Jonathan subit sa vie mais ne s'en rend pas compte.

« On ne réalise la valeur de la vie que lorsqu'elle est menacée. »

Jonathan décide de s'éloigner de ce quotidien si chronophage et se rend chez Margie, très solaire, optimiste et joyeuse.

« Ses ennuies étaient la conséquence de sa vision du monde, pas la cause »

Quitter le stresse quotidien, s'échapper et jouir de l'instant présent, de ses petits rien, ne pas se lamenter, vivre chaque seconde comme la dernière !

Quand à Ryan, un personnage qui n'aura pas la sympathie du lecteur mais qui est là pour montrer qu'une vie sans saveur laisse souvent un goût amer.

On a un but dans la vie, assouvir nos désirs fugaces les uns après les autres. Cette liste s'agrandit tout au long de notre vie. Chaque fois qu'une envie est assouvie, une autre apparaît. Car le plaisir n'est que momentané alors que si on se libère de ce besoin matériel, ces besoins non indispensables que la société nous conditionne à rechercher… notre vie serait elle désuète ? Ou plus riche qu'avant ?

Il faut juste savoir s'écouter, son coeur, son corps, laisser parfois de côté son esprit embrouillé. Chercher à se détacher de tout le matérialisme inutile afin de s'élever à la recherche de son moi cela permet de vérifier si l'on est heureux et apaisé dans notre vie.
Le personnage de Margie apporte énormément au récit, à la réflexion de Jonathan de part son expérience, son analyse, sa façon de raconter avec bienveillance son vécu ou ses connaissances, sans jugement.
Certains passages du livre, déstabilisent cette réflexion avec des morceaux de vie triste, aigre, amer. Quand on est enfermé dans l'irritabilité de son existence sans chercher plus loin, la vie est monotone, on provoque nous même notre mal être à le ressasser sans cesse ! C'est la même chose entre voir le verre à moitié vide ou à moitié plein, tout est une question de perspective positive ou négative.

Ce livre vous apportera une réflexion pour peu que vous soyez ouvert à ce moment de votre vie. Vous confortera dans vos choix ou peut être vous fera-t-il bifurqué pour mieux vous retrouver.
La plume de l'auteur est savoureuse, se découvre avec bienveillance et harmonie.
Merci pour cette positive attitude réconfortante, même si certains petits passages montre la vilaine face cachée de l'humain.

Ce livre est comme une fable qui nous dit de vivre pendant qu'il est temps, profiter des choses simples et aller à l'essentiel.
Rempli de paroles de bon sens et d'évidences qui parfois nous échappent au quotidien, happés par les injonctions de performance et autres pressions sociales ...

Livre prêté il y a un long moment quand je traversais une période difficile. Ma copine m'avait dit "tu verras, c'est super et ça redonne le moral!"
Deux ans après me voici, en mieux donc quelle approche de cette lecture?

Le décor est assez vite planté pour la situation de Jonathan qui s'apprête à mourir. Je pense qu'à sa place j'aurai réagi mais peut-être pas aussi bien!
Sa tante est la détentrice de tout pleins de concepts qui tendent vers la philosophie: le désir réel et non celui dicté par la société, les sentiments, être soi-même, les petits bonheurs, le fait que l'on pense à vous pour vous redonner le sourire par des petits gestes gratuits et inattendus du quotidien... Je pense qu'effectivement, tout ceci m'aurait aidé: aujourd'hui pas vraiment.
Par moment, j'ai eu l'impression que l'auteur voulait étaler sa philosophie mais cela pouvait être trop et rendre des passages très énervants.
Il y a un personnage où l'on voit l'approche philosophique indirectement mais je n'ai pas vu le lien avec le personnage principal!
Des choses à la fin arrive trop simplement: envie d'une fin heureuse et donc on essaie de la mettre en place par tous les moyens?? Et finalement, la chute est pauvre. La dernière page quasiment est comme pour boucler la boucle mais on s'en serait passé!

Bref, pas si convaincue que cela.

[...] le jour où j'ai appris à vivre est un roman de développement personnel. Laurent Gounelle utilise la fiction pour transmettre un message positif, et tenter d'apprendre à chacun comment apprendre à l'être. L'objectif final de l'auteur, le message de fond et la progression des personnages sont attendus, mais il n'est pas déplaisant de se laisser porter par une histoire banale, certes, mais au service d'un propos.

Et c'est parce que le roman de Laurent Gounelle ne demande aucun effort que chaque lecteur pourra se concentrer sur le « fond », apprendre, comprendre et s'interroger sur ses propres actions.

[...]
Lien : https://www.startingbooks.com

Pour mon premier roman de Laurent Gounelle, ce n'est pas très emballant. Quoique ...
Il se lit très bien, même vite, 286 pages en 4h30, mais l'histoire en elle-même ne m'a pas sublimée ... j'ai failli abandonner.
Bon, "Il faut achever tout ce qu'on a commencé."
(citation de Henri-Frédéric Amiel) ; et puis après tout le résumé m'avait plu.
Heureusement, le tiers restant (comme dirait Voltaire) m'a incité à le terminer. Surtout la "touche" finale.
Au fond dans un bouquin, ce que J'aime c'est lorsqu'il y a une FIN. Bonne, mauvaise ou entre-deux. Mais l'auteur(e) doit apporter personnellement sa patte finale ... quitte à m'en inventer une autre si j'en suis pas satisfaite, hihi !

Ma note : 6/10

Ce roman est très court et se lit très rapidement. L'écriture est simple et ultra accessible ce qui fait la marque de fabrique de l'auteur dont j'ai lu auparavant L'homme qui voulait vivre sa vie. L'intrigue est simple et nous met face à une question à la fois simple mais essentielle et si nous allions mourir très prochainement que ferions-nous du temps qui nous reste ?

Dans ce roman, j'ai retrouvé tous les lieux communs de la spiritualité au fil de l'histoire du héros. Après la lecture de ce roman, j'ai eu une réaction en deux temps.
En refermant le livre, je me suis sentie frustrée, non rassasiée mais il faut préciser que le livre ne fait que 300 pages et se lit vraiment très vite.
Le lendemain, je me suis connectée à un réseau social bien connu et j'ai vu défiler sur mon fil d'actualité des plaintes, de la colère, des insultes et j'ai réalisé que si la lecture de ce livre ne m'avait personnellement pas apporté ce que je cherchais parce que pour ma part ce sont déjà des remises en questions sur lesquelles j'ai travaillé, il était néanmoins un message important pour bien des gens qui sont encore prisonniers de leur colère, de la peur, des obligations du quotidien et de tout ce qui fait que l'on peut se sentir malheureux dans nos vies.

Je recommande donc cette lecture à tout ceux qui cherchent un sens à la vie, qui sont au stade de savoir pourquoi on est là et comment savoir ce qui est important. Si vous avez déjà trouvé un sens à tout cela, vous pouvez bien sûr le lire pour après pouvoir le conseiller à d'autres mais ne vous attendez pas à être renversé par ce roman.
La quête spirituelle est omniprésente à travers les aventures et l'évolution du protagoniste principal cependant en 300 pages difficile d'aller en profondeur dans les différents concepts proposés par l'auteur.
Lien : http://obsidiennealchimiq.wi..

Quand je mets 2 semaines à lire 100 pages,c'est qu'il y a un souci...Je n'ai pas du tout accroché à ce roman,l'intrigue n'est pas très originale et j'ai eu l'impression de lire les cours de phylosophie du "monde de Sophie". J'ai déclaré forfait avant la moitié du livre! Desolée, monsieur Gounelle, je n'ai pas été convaincue cette fois!

Je reste dubitative. J'ai failli arrêter au milieu. Il me semble que c'est toujours pareil chez Gounelle. Toujours la même morale. Pour être heureux, vivez selon vos envies, en aimant vos proches, en faisant un boulot qui colle à vos idéologies, et surtout en oubliant l'argent ! j'avais adoré l'homme qui voulait être heureux, je le trouvais original, frais, ça mettait de bonne humeur. J'ai été déçue par le 2D, j'ai quand même lu le philosophe ... que je n'ai pas apprécié. Je n'avais pas regardé celui la mais on me l'a conseillé alors je l'ai lu, mais je pense que ce sera le dernier.

Je m'attendais à du best-seller très mal écrit avec de la psychologie de comptoir. Certes, ça ne vole pas très haut. Mais quand même, c'était une lecture sympathique, qui m'a appris quelques petites choses ! le bilan est donc un peu plus positif que prévu...

L'histoire est simple et c'est peut être pour ça qu'on s'y retrouve aussi facilement. Qui ne s'est pas dit un jour "à quoi est ce que ça sert ce que je suis en train de faire? pourquoi est ce que je me mets autant la pression alors qu'en réalité c'est insignifiant...".
Revoir ses priorités, relativiser, prendre du temps pour ce qui nous est vraiment important. Faire le bien autour de soi pour se sentir bien. Voici les message que je retiens de ce livre.
Laurent Gounelle sait vraiment bien mêler fiction et sagesse populaire.