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3,75

sur 3101 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le roman se déroule à San Francisco.
Jonathan vend des assurances avec un associé et sa compagne dont il est séparé depuis peu.
Avec elle , il a une petite fille Chloé qu'il voit régulièrement.
Un dimanche, sur les quais de San Francisco, une bohémienne lui lit les lignes de la main et lui annonce le pire à tel point qu'il remet les valeurs de son existence en question.
Il se retire chez sa tante Margie qui a une philosophie de vie détachée des choses matérielles.
Le livre nous distillera des petites leçons de vie fondamentales tout au long des 286 pages.
Un roman philosophique? Oui, mais très légèrement amené.
Une histoire reposante ? Oui mais au rythme lent.
Trois étoiles? Oui ,pour le côté positif du livre.
Je n'ai pas accroché à fond car mes valeurs n'ont jamais approché celles de Jonathan même à son âge. Je trouve que les réflexions manquent un peu de profondeur mais elles méritent qu'on s'y attache surtout quand on est jeune et en train de courir à fond sans réfléchir.
J'ai beaucoup apprécié le personnage de Tatie Margie rencontré et bien décrit au chapitre 9.
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Ne nous leurrons pas, ceci n'est pas de la grande littérature...
À ranger dans les romans "feel-good" ou de développement personnel, le jour où j'ai appris à vivre relate la prise de conscience d'un agent d'assurance qui, à la suite de la prédiction funeste d'une bohémienne, ouvre les yeux sur la vacuité de sa vie.
Lecture sans effort, on peut lui reconnaitre le mérite de nous rappeler l'importance d'être en accord avec soi-même dans tous les domaines, ainsi que le pouvoir libérateur de l'acte gratuit.
Beaucoup de lieux communs bien sûr, mais qui sont autant de vérités en ce sens qu'ils nous reconnectent à notre moi profond.
Un moyen simple et efficace pour Laurent Gounelle de faire passer un message qui lui tient à coeur sans laisser vraiment l'impression de philosopher.
Une gentille parenthèse dans la liste de mes lectures plus intenses.
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« le Jour où j'ai Appris à Vivre » (Un livre de) Laurent Gounelle. 285 pages. 02 Octobre 2014. Edtions « Kero »

Jonathan fait des travaux chez Lui, il accueille sa fille un week-end sur deux. Il a 36 ans mais déjà des cheveux blanc… Qu'il teint par angoisse de sembler plus vieux. « (…) Mais il continuait de croire que tout est possible,
Que les seules limites sont celles que l'on se donne. »

Y a une histoire de chat ! Les chats, c'est mignon !
On propose à Jonathan de racheter ses part dans une société …

« Ce n'est pas tous les jours qu'on vous annonce votre mort. La prédiction en forme de sentence avait secoué Jonathan. Il s'était retrouvé seul, abasourdi, au milieu de ce troupeau de passants exaspérants de bonne humeur. »

Il n'a pas toujours le temps de s'occuper de Chloé (sa fille) et son ex compagne c'est pareil. Alors il la garde quand même...

« — Tu devrais déjà être mort. Estime-toi heureux. Mais tu finiras pas l'année. Maintenant, fous-nous la paix. »
C'est une diseuse de bonne aventure qui parle…
« D'ailleurs, un ami physicien le lui avait dit : en termes de perception, on atteint la moitié de sa vie à l'âge de seize ans. »

Un Livre que je n'ai pas terminé même si je voulais faire plaisir à une amie, l'histoire est ordinaire (si on excepte la sentence de mort);
Et ordinaire, c'est déjà pas assez pour Lire une Fiction.

Il aurait failli écrire ce Livre avec plus de suspens et de violence…

Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
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C'est donc ça, la littérature "Feel Good" ...

Enfin, Feel Good... feue ma vieille tante aurais dit "Cucul-la praline", ou plutôt "Cucul-la-praloche". C'est comme ça qu'elle disait ma vieille tante, parce que, voyez-vous, quand elle se rendait compte que je déconnais, ma vieille tante, elle y allait pas par quatre chemins, elle me chopait dans un coin et me balançait ses quatre vérités ! Oui, elle était du genre droit au but, elle, pas comme cette Gnan-Gnan de tante Margie qui nous fait toute une circonvolution pour que son zozo de neveu retrouve le bon chemin... m'enfin, bref, on n'est pas là pour parler de ma vieille Tatie, elle est morte, en plus !

Donc, c'est ça le "Feel Good"...

Monsieur Gounelle, je constate que vous n'avez pas QUE une belle gueule, la vie vous a pourvu aussi de quelques neurones balancés au bon endroit... Il a senti le filon, et ça lui réussi, il faut croire !

Parce que son truc, là, il faut le dire tout net, c'est mou, c'est long et ça colle ! Mais, au passage, c'est pas déplaisant non plus !

Un p'tit peu de Coelho, un brin mystique, et qui questionne, et gnin-gnin-gnin, sur le sens de la vie, et patati, nos vies défaillantes, et patata, et qui exploite au passage les incertitudes fondamentales de tout être humain...

Un p'tit bout de Lévy, aussi, ça marche pas mal, ça, et qu'il cherche, et qu'il fait du mystère, du mystique, du paraquelquechose, s'attardant au passage sur les nouvelles sciences, celles qui dépassent l'entendement, mais qui restent quand même un peu réalistes...

Et puis, une p'tite touche d'Amélie Poulain, parce que y'a qu'ça d'vrai, ça fait rêver les gens, les Bisounours avec un coeur gros comme ça... la culture pop', elle a ça d'extraordinaire que, quand ça marche, elle rapporte le pactole !

Un peu de Werber aussi, si, si, remarquez bien, petites remarques éco-responsables, douleur d'un monde déconnecté de la nature, préoccupations existentielles de bas étage, vous voyez, je vous l'avais dit...

Comment dire ?

J'ai finalement passé un moment bien sympathique avec ces personnages stéréotypés, clichés à souhait... j'ai bien aimé, au final, leurs bons sentiments dégoulinants... Et puis, c'est pas faux, c'qu'elle dit la tante Margie, après tout, moi, ma tante, elle est plus là pour la contre-dire...

Tel fut donc mon premier contact avec ce Monsieur Gounelle, entre deux eaux, mais ça ne sera pas mon dernier : le cri du Feel Good s'immisce déjà en moi de façon insidieuse, et ça me plaît, finalement, de me marrer devant des héros tous plus cuculs les uns que les autres...

Alors, rendez-vous est pris, Monsieur Gounelle, j'irai voir, un de ces quatre, entre deux périodes de lecture trépidante, si les Dieux voyagent vraiment incognito, ou si je peux trouver un trésor qui dort en moi, on ne sait jamais, après tout, vous qui me promettez la liberté, me raccommoderez-vous peut-être avec les philosophes, même s'ils ne sont pas toujours sages...
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Je ne connaissais pas cet auteur, c'est une amie qui m'a prêté ce livre. On suit Jonathan qui, suite à la prédiction d'une bohémienne, va remettre en question sa vie et son travail, et qui petit à petit trouvera la sérénité. A l'histoire du personnage principal viennent aussi se greffer celles de personnages secondaires, apportant elles aussi matière à réflexion.
L'écriture est fluide et l'histoire sympathique, presque simpliste mais pleine de bon sens. Sur un ton léger et un brin caricatural, avec un peu de psychologie et de philosophie, l'auteur nous suggère d'être à l'écoute de notre corps et nous amène à réfléchir sur soi, sur le développement personnel, sur la vie et la mort et sur l'importance de vivre l'instant présent.
Une lecture douce comme du coton… Acidulée comme un bonbon… à lire bien au chaud pendant un week-end pluvieux.
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Après avoir lu "L'homme qui voulait être heureux", j'ai souhaité découvrir d'autres oeuvres de Laurent Gounelle. Mon choix s'est porté sur "Le jour où j'ai appris à vivre", un livre recommandé par le club des lecteurs ainsi que par de nombreux adhérents de la médiathèque. Cette lecture ne m'a pas autant plu que la précédente, cependant il y a de jolies choses qui permettent d'analyser ce qui nous entoure... Une fois de plus, l'histoire proposée par l'auteur est un prétexte pour poser des questions existentielles et faire réfléchir le protagoniste/le lecteur sur lui-même. Il ne faut donc pas s'attendre à un grand récit intriguant ou à des personnages développés. Ces protagonistes (plutôt caricaturaux) sont surtout des exemples permettant de présenter certains faits ou des expériences réelles.

Ici, pas de shaman qui fait réfléchir le héros, mais il y a tout de même un tiers qui l'aide dans cette quête. C'est sa tante qui va jouer ce rôle (un peu lourdingue et madame-je-sais-tout, mais bon, il faut bien un personnage empli de sagesse). Elle va lui apprendre à s'écouter lui-même, à ne plus courir après le désir et le matériel. Jonathan va devoir faire confiance à son "lui" intérieur. Il n'y a que comme ça qu'il pourra s'accepter lui-même, puis aider les autres. Suite à ces conseils avisés, il va réaliser que c'est la société qui rend les gens individualistes. Alors, pour se sentir bien, il va aider les autres, complimenter des inconnues juste pour leur faire du bien, accumuler les petites attentions, etc. C'est relativement mignon et plein de bons sentiments... D'ailleurs, cela ne passera pas inaperçu aux yeux de son ex-compagne...

L'écriture de l'auteur est toujours aussi simple et fluide, que ce soit dans des moments narratifs ou dans des explications psychologiques. Laurent Gounelle pointe du doigt certains problèmes que nous nous créons nous-mêmes sans nous en rendre compte. Il démontre alors qu'apprendre à s'écouter est important. C'est la clef du succès et du bien-être. J'avoue que c'est plein de bon sens toutefois, par rapport au personnage principal de "L'homme qui voulait être heureux", j'ai eu plus de mal à me mettre à la place de Jonathan. Il accepte tout trop facilement et se laisse porter parce qu'il entend. Ainsi, j'ai trouvé le changement trop brutal et avais du mal avec certaines répliques dignes du monde des bisounours... En revanche, j'ai apprécié les exemples proposés par la tante ainsi que les expériences dont fait part l'auteur.

Si vous aimez les romans philosophiques/psychologiques qui vous permettent une petite introspection, alors ce livre est fait pour vous. Toutefois attention : si vous vous attendez à une véritable histoire avec des personnages réalistes ou hauts en couleurs, cet ouvrage risque de vous décevoir. Pour ma part, je pense arrêter les livres de Gounelle : bien que les idées soient bonnes, c'est toujours la même chose (personnage perdu et mal dans sa peau qui est aidé par une tierce personne et qui apprend à vivre en paix avec lui-même). Deux livres de lui me suffisent amplement. J'aimerais plutôt découvrir un autre auteur abordant ce sujet afin de comparer.

Lien : https://lespagesquitournent...
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Jonathan vit à San Francisco et travaille avec son associé Mickaël et son ex-femme Angela dans un cabinet d'assurances pour les commerçants. Alors qu'il se balade dans la rue, une bohémienne l'alpague et lui affirme, avant de s'éclipser aussi rapidement qu'elle est apparue, qu'il va bientôt mourir. Comme vous pourrez le deviner, cela perturbe fortement Jonathan.

A partir de ce moment-là, Jonathan va « faire un break » comme l'on dit en bon français et va trouver refuge dans la maison de campagne auprès de sa tante Margie. Cette dernière, véritable philosophe, ne sera pas avare de conseils et guidera de son mieux Jonathan dont la vision de la vie va radicalement changer.

On suit en parallèle des personnages (Austin, Ryan, Gary...) dont on a l'impression qu'ils ont des rôles secondaires mais pas tant que ça en fin de compte. Certaines expériences qu'ils vivront changeront aussi leur mentalité à jamais.

L'existence de l'être, la quête de sens, la découverte de soi et la relation à autrui sont les thèmes abordés au coeur de ce roman de Laurent Gounelle. La 4ème de couv affirme que l'intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles. Je propose que cette lecture soit obligatoire à l'école !!!!!!!!! Si nous étions tous comme Jonathan à la fin du roman, ce serait le paradis sur Terre...

Je ne lis jamais de romans philosophiques mais j'avais envie d'essayer cet auteur depuis longtemps. C'est désormais chose faite. C'est une belle histoire qui apporte fraîcheur et bien-être et qui permet pendant un laps de temps de se couper du monde réel où règnent pessimisme, individualisme et compétitions permanentes.
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Un livre appréciable qui se laisse bien lire et qui est plein de philosophie et de vérités bonnes à rappeler, mais voilà, l'histoire pêche un peu par sa conclusion et la façon dont le héros principal va reconquérir son épouse. C'est une critique de l'égoïsme ambiant et une dénonciation de nos modes de vie inadaptés aux prises en charges des misères qu'ils ont générés ; une invitation à une remise en question aussi pour plus d'altruisme, sur fond de découverte de ce que serait le vrai sens de la vie et de notre présence sur Terre, le message de fond est louable et explique la présence de tous ces papillons sur la couverture : une invitation à transformer la chenille (qui nous caractérise tous) en un papillon qui sommeille en chacun de nous et ne demande qu'à s'éveiller. A lire donc mais pas sûr que ça fonctionne avec tout le monde... Toute tentative de transformation intérieure ne peut réussir que par l'adhésion de tous sinon il y a de fortes chances qu'elle soit vouée à l'échec.
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De temps en temps, ce genre de lecture détend.
Un style "feel good" avec en prime la quête d'un épanouissement personnel.
Certes ce n'est pas de la grande littérature, pas plus que de la psychologie ou philosophie de haut niveau.
Mais cela met un peu de légèreté dans ce quotidien particulièrement anxiogène.
C'est le second livre que je lis de cet auteur.
Ils sont tous deux très similaires.
Je ne pense pas renouveler l'expérience, ayant dans le passé lu beaucoup de livres sur le développement personnel.
Mais un doux moment de lecture dans ce week-end pluvieux.
Bon dimanche à tous.

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Jonathan travaille avec deux de ses associés dans une agence immobilière à San Francisco. Il est stressé, depuis qu'une jeune bohémienne lui prédit qu'il va bientôt mourir... de ce jour, il va se retrouver embarqué dans une aventure de la découverte de soi. Ce roman, dont l'intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles, éclaire d'un nouveau souffle qui fait du bien en ces temps incertains...
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