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Citations sur Le philosophe qui n'était pas sage (187)

les mauvaises nouvelles, les problèmes, les dangers accaparent toute notre attention car ils stimulent notre instinct de survie. c'est plus fort que nous, c'est quasi physiologique
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si tu commences ta journée de travail en consultant tes e-mails, ton cerveau croit que le plus important, ce sont les informations que tu reçois de l'extérieur.
si tu fais ça tous les jours, alors t'auras de plus en plus de mal à te concentrer pour réfléchir par toi-même, car ton cerveau se rendra surtout disponible pour recevoir des stimuli externes plutôt que pour produire des réflexions de l'intérieur.
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Ruminer les problèmes n’apportait rien. Ressasser des idées négatives tire vers le bas, dans le lisier de la rancœur sur lequel ne poussent que la déprime et la maladie.
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Je préfère être aimée pour qui je suis plutôt que reconnue pour ce que je fais.
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Ils en savourent chaque bouchée en silence, en étant pleinement conscient de leur sensations. Ils vivent profondément chaque instant. Quand ils sont en présence d'un autre, ils n'attendent pas d'être admirés ou respectés où je ne sais quoi encore. Ils sont toujours sincères. Ils ne jugent pas les autres, et donc ne craignent pas d'être eux-mêmes jugés. Ils sont.... libres.
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Les Indiens ont le sentiment d’appartenir à l’univers qui les entoure, d’en être juste un élément parmi d’autres. Et, pour eux, tous les éléments de cet univers sont reliés en permanence. Chaque Indien ressent ainsi profondément ses liens avec les autres hommes, la nature, la Terre, le cosmos… Ils sont indissociables de ce Tout. […]
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– J’ai appris pour ton arc [cassé], c’est vraiment dommage, c’était le plus beau de tous, le plus grand, le mieux décoré. Je suis navré pour toi. Tout le monde devait t’envier… Tu dois le regretter. […]
– Je n’ai pas d’arc. […]
– Je t’ai vu hier avec. T’en avais un magnifique, splendide…
– Hier peut-être, mais aujourd’hui je n’ai pas d’arc. C’est ainsi. […] Cet objet n’existe plus. Pourquoi serais-je déçu de quelque chose qui n’existe pas ?
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Parfois t’es tellement dans tes pensées que tu vois plus ce qu’il y a autour de toi, t’écoutes plus ce qu’on dit, tu sens plus rien. Donc, finalement, c’est comme si t’étais débranché de toi-même. Et Sandro dit que tes pensées ne sont pas la réalité. Quand t’es dans tes pensées, t’es comme dans un film, mais t’es pas dans ta vie. Donc, finalement, plus tu penses, et moins tu es.
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Comme il est plus aisé de disserter sur les grands principes que de faire face au jour le jour aux soucis qui se mettent en travers de son chemin…
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Tenter de battre les autres ne m'intéresse pas. Les vraies victoires sont celles que l'on remporte sur soi.
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