Quand t’es dans tes pensées, t’es comme dans un film, mais t’es pas dans ta vie. Donc, finalement, plus tu penses, et moins tu es.
Après avoir connu un début d’éveil, il était redevenu un profane en proie à ses souffrances. Et maintenant il sombrait dans les ténèbres de l’âme.
Je ne sais plus ce qui peut rendre heureux. Mais je pourrais écrire une encyclopédie du malheur.
- Si je veux gagner... ma vie ?
- Oui.
- Mais... Je l'ai déjà, ma vie...
Quand t'es dans tes pensées, t'es comme dans un film, mais t'es pas dans ta vie. Donc, finalement, plus tu penses, et moins tu es.
On ne se rend pas compte à quel point on est influencés par les images véhiculées par la société. Les visuels de femmes censées incarner la femme parfaite inondent nos magazines, nos vitrines, nos écrans, mais qui a décidé des critères ? Pas toi, pas moi...
- A quoi ça me sert de savoir ce qui se passe en forêt si je suis au village ?
Le secret, c'est d'aimer. Aime ta vie sans rien désirer que tu n'aies déjà et tu goûteras la sérénité des dieux. Et si de plus tu parviens à aimer tout ce qui est autour de toi, à t'aimer toi-même et à aimer tous ceux que tu vois, alors non seulement tu goûteras la sérénité des dieux, mais aussi tu partageras leur extase.
la meilleure manière de se venger des méchants, c'est de ne pas se rendre semblable à eux
la théorie darwinienne a façonné notre civilisation. elle a conditionné notre vision de la vie, perçue comme une lutte pour survivre, survivre contre le reste du monde, contre la nature. d'où la croyance que le progrès technique nous rendra heureux. le capitalisme aussi s'est fondé là-dessus. nos rapports sociaux également. si on prend un peu de recul, c'est finalement toute notre société depuis le XIXe siècle qui s'est développée sur la base de cette vision issue de la théorie de Darwin