Nos étoiles contraires

Le roman raconte l'histoire de deux adolescents atteints de cancer. Hazel Grace Lancaster est la narratrice âgée de 16 ans. Ses parents l'obligent à fréquenter un groupe de soutien. Durant les séances, elle fait la connaissance d'Augustus Waters. Les deux adolescents se passionnent pour un roman de Peter van Houten, qui se termine brusquement au milieu d'une phrase. Curieux du sort des personnages, Hazel et Augustus envisagent de se rendre à Amsterdam afin de rencontrer l'auteur. Ils effectuent le voyage grâce à une fondation d'aide aux enfants malades qui se charge d'exaucer leur voeu le plus cher1,2. Une histoire d'amour se crée entre les deux adolescents.

Depuis le temps que j'entendais parler de ce livre. je me disais qu'il me fallait le lire pour en comprendre l'engouement qui tourne autour. Pourtant, ce n'est pas le genre que je préfère, surtout qu'il semblait vraiment très triste à en faire pleurer dans les chaumières. Mais, vu le nombre importants de critiques élogieuses de toute part, je me suis dit: pourquoi pas? [...]
(La critique complète sur le blog)
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J'ai acheté ce livre sur un coup de tête. Il n'était pas inscrit sur ma PAL, le sujet me faisait peur. Bien sûr j'avais eu des échos positifs sur le film qui est sorti récemment mais connaissant ma sensibilité je freinais des 4 fers sur ces fameuses étoiles contraires. Une fois acheté, je l'ai lu quasiment tout de suite et quasiment d'un trait. Comme si je voulais abréger « ma souffrance ». Parce qu'on a beau dire que c'est un beau livre, bien écrit, émouvant sans tomber dans le pathos, une sorte d'hymne à la vie, et bien moi je l'ai trouvé très dur. Attention, je ne dis pas que l'histoire d'amour d'Hazel et d'Augustus ne m'a pas plu, loin de loin de là ! Ces 2 ados sont terriblement attachants et leur rencontre est autant magique que boulversante. C'est certain, on ne sort pas de ce livre indemne.

Même si je l'ai lu sans le lâcher, même si j'ai versé ma larme, je suis un peu déçue par cette lecture. J'attendais beaucoup de ce roman, suite aux critiques lues. ce livre devait être totalement bouleversant, le livre de l'année à en croire certains. Et bien non. Oui, il y a beaucoup d'émotion, mais pas de bouleversement. Des cancéreux qui tombent amoureux et dont l'histoire fini forcément par un événement dramatique, ce n'est pas très original. Et l'écriture, bien que correct, ne m'a pas paru exceptionnelle.
Un moment de lecture plein d'émotion.

Assez déçue de ce tome. J'en attendais beaucoup, vu la hype qui s'était développée autour de ce livre.
L'héroïne ne m'a pas spécialement touchée, même si je dois reconnaître son courage incroyable, et ne parlons pas d'Augustus qui m'a passablement agacée.
J'ai trouvé l'histoire très mièvre bien que parfois émouvante...
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J'ai lu ce livre avec plaisir. L'entrée en matière est franche et sans fioritures j'apprécie cela. Je n'aime pas les livres qui commencent réellement à la 70eme page, j'aime entrer dans le vif du sujet promptement. Et il est des auteurs comme Jonh Green qui n'ont apparemment pas besoin de combler des pages avec du vide pour écrire un roman.
L'histoire est belle, les personnages attachants, mais surtout le regard sur la maladie est plus piquant moins larmoyant plus intellectualisé et ça c'est intéressant. Ça nous change de la condescendance habituelle autour de ces sujets.
J'ai été par contre assez déçue de la fin qui tire en longueur. Jonh Green aurait-il finalement besoin de remplir des pages avec du vide pour écrire un roman?
Les états d'âme d'Hazel n'en finissent pas, les larmes et les sentiments mouillés affluent à la fin du livre et gâchent un peu le sentiment de différence que j'avais ressenti en commençant cette lecture. Dommage.
Ce fut une belle lecture tout de même.

Je précise avant toute chose que, comme à chaque fois que j'en ai l'occasion, j'ai lu ce livre dans sa version originale. Par conséquent, mon avis ne concerne pas la traduction en français, je ne l'ai pas lue et ne peux donc pas juger de sa qualité, du style etc.

Le style, justement, parlons-en : je savais bien en choisissant cette lecture que je n'allais pas lire de la « grande littérature » étant donne le succès du livre... Mais cette histoire avait suscité ma curiosité. Et puis, j'avoue : parfois, ça fait du bien de lire un livre « facile » et populaire. (Cela dit, je l'avais acheté avant la sortie du film basée sur ce roman, et avant même qu'il ne soit traduit en français : je ne savais donc pas que je venais d'acheter un succès international... et j'ai traîné pour le lire). Bref, pas de la grande littérature, donc. Il est plutôt adapté aux adolescents et jeunes adultes (d'ailleurs, les personnages principaux ont 16 et 18 ans, ce n'est pas un hasard).

Un livre sur l'amour, la mort et la maladie, qui se lit très facilement, même en anglais pour ceux qui sont tentés par la version originale. Une écriture simple, mais un thème vraiment pas simple, vous vous en doutez bien. Et j'ai trouvé que l'auteur avait fait preuve de justesse dans le choix des mots, et a su éviter de trop tomber dans le mélo (sur plus de 300 pages, à force, cette histoire serait devenue insupportable).

Une histoire à la fois bouleversante, triste, touchante, dramatique et, heureusement, drôle parfois, avec laquelle j'ai passé un bon moment.

Cependant, petite recommandation : ne lisez pas ce livre si vous êtes déprimé... Et dans tous les cas, sortez vos mouchoirs !
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C'est LE LIVRE à lire semble t il et LE FILM à voir
J'aurais du me méfier de ce tapage médiatique.
Certes cette histoire de jeunes cancéreux qui s'aiment est émouvante, si pleine de vie, avec des scènes et des répliques amusantes.
Certes l'auteur maîtrise son sujet, on croirait presque à une retranscription fidèle d'une histoire vraie,sentiments émotions, si ce n'est que l'auteur en prologue nous signale bien que c'est une fiction.
Peu importe, le tout étant tellement empreint de réalisme, le tout si bien ficelé que l'on ne peut que s'attacher aux personnages bien sur
C'est une magnifique histoire, qui pose de nombreuses questions :
◦qu'elle place prend la vie quand la mort est annoncée ?
◦ comment se faire des amis , aimer lorsqu'on sait que l'avenir est incertain, que la mort nous emportera plus tôt que la normale ?
◦Notre existence a t elle un sens quand elle n'est que souffrance ?
◦L' immortalité passe t elle par les souvenirs ?
◦la maladie dévoile t elle le meilleur ou le pire de nous même ?
◦Dans la maladie peut on vraiment faire des choix?
Pourtant je ne suis pas sortie aussi enthousiasmée que je pensais l'être. Toutes ces chroniques positives ! Peut être tout simplement que je connais et côtoie trop ce milieu tous les jours, alors des leçons de vie, je sais évidemment les reconnaître et je m'en prend la figure depuis si longtemps
Un livre facile à lire, le style d'écriture de John Green est très simple, l'histoire est racontée par Hazel et parfois je suis me suis ennuyée dans ce style un peu trop factuel. L'introduction dans l'aventure , d'un roman inexistant , Impériale affliction, et qui n'a pas de fin devenu la bible de nos tourtereaux (oui je sais c'est l histoire dune jeune cancéreuse aussi), ne sert à rien d'autre à mon sens que de construire une passerelle qui les mènera à Amsterdam . Et, il me semble , leur permettre de s'embrasser pour la première fois ( oh que c'est romantique ) dans un endroit culte : le Musée d' Anne Franck (symbolique évidemment) Certains y voient plus mais moi je me demande :
Avait on besoin de çà ? parce que la scène avec l'écrivain dans laquelle Hazel s'obstine vouloir des réponses, je l'ai vraiment trouvé "to much". Ok je n'ai peut être pas tout compris .
Pour le reste de nombreuses scènes très belles , avec pour mission de parvenir à nous faire pleurer, de belles pensées aussi Bravo l'auteur.
Donc au final un avis mitigé,parce que toutes mes espérances de trouver là , LE ROMAN ( et oui çà se disait partout) CHEF D'OEUVRE de l'année, à LIRE absolument qui allait vous remuer les tripes et bien ce ne sera pas le mien.

Les adaptations cinématographiques, j'aime ça bien qu'elles soient souvent décevantes après la lecture du bouquin. Je tenais donc à lire ce roman avant de visionner le film, même si j'évite de lire des histoires tristes de maladies. Je comprends l'engouement qu'a suscité cette histoire bien que ce ne soit pas un coup de coeur pour moi. On découvre un univers tragique mais abordé tout en légèreté avec humour et émotions. Oui, l'histoire est triste et vous pourriez y laisser quelques paquets de mouchoirs mais ce n'est pas le plus important. La relation entre Hazel et Augustus est magique. Tous deux sont attachants, courageux et respirent la joie de vivre. Ils profitent de l'instant sans s'apitoyer sur leur sort, sans baisser les bras.
L'auteur a remarquablement retranscrit les émotions et nous livre ainsi une belle leçon de vie.

Hazel Grace et Augustus Waters sont les deux héros modernes, au sens littéral du terme, de ce roman déroutant. Deux jeunes gens d'aujourd'hui, aux âmes fortes mais aux corps malades. Adolescents touchés par le cancer, pris dans une impasse, dans une voie sans issue heureuse.
Hazel, pas tout à fait dix-sept ans, les poumons remplis d'eau et de métastases doit traîner partout où elle va sa bouteille d'oxygène sur un petit chariot à roulette. Gus, en rémission, claudique à ses côtés sur sa jambe de bois en roulant des mécaniques, sûr de son beau regard de tombeur, une clope jamais allumée dansant entre ses lèvres. Isaac, l'ami qui les a fait se rencontrer à l'occasion d'une réunion du cercle des enfants cancéreux, ne voit plus que d'un oeil, et encore jusqu'à quand ?

Roman dans le roman "Une impériale affliction", un livre dont la fin reste en suspens, obsède Hazel puis Gus. La protagoniste Anna est atteinte d'un cancer. Son auteur, un certain van Houten (pas celui qui fait le chocolat apparemment) vit reclus aux Pays-Bas et ne répond à aucune interview. Il consent néanmoins à correspondre avec Gus. Celui-ci projette alors d'emmener Hazel à Amsterdam pour rencontrer l'écrivain dans le but de le soumettre au flot incessant de leurs questions restées sans réponses.

Ce roman de John Green, à la fois drôle et triste, ne tombe jamais, à l'instar de ses personnages, ni du côté du cynisme ni de la mièvrerie, ce qui constitue en soi un véritable tour de force.

Janvier 2014