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sur 17465 notes
Quand j'ai refermé ce livre hier soir, j'ai compris pourquoi il avait eu autant de succès. Tout d'abord, tous les ingrédients classiques d'une romance d'ado sont là: des prénoms bizarres (Hazel et Augustus ???), un coup de foudre immédiat, des paysages romantiques, un obstacle qui rend l'amour impossible mais en fait pas trop... Bien sûr l'obstacle ici, c'est le cancer, cette menace invisible qui attaque leur corps.

J'ai lu ce livre en seulement trois séances et en trois jours, je l'aurais sans doute lu d'une traite s'il n'avait pas été une épreuve à lire. Je ne veux pas dire par là que c'est mal écrit, où que l'histoire n'est pas intéressante, bien au contraire. Ce livre fait très "vrai", à un point que j'ai eu du mal à le supporter parfois, et lire un texte sur des choses que j'ai connues de près a été une véritable épreuve pour moi.
On dirait pas comme ça, ce ne sont que des phrases, mais elles sonnent de façon terrible quand on connaît cet univers. Les petites vérités de van Houten m'ont vraiment fait très mal aux souvenirs. Ce personnage secondaire est responsable de beaucoup de larmes, bouh le vilain.

Je ne peux d'ailleurs que saluer l'initiative de l'auteur de rappeler que ce livre n'est qu'une fiction. Tout au long du roman, on va effectivement croiser des clins d'oeils qui rappellent que ce livre n'est qu'une histoire inventée. L'amour de Gus pour les métaphores en est un bon exemple. Je trouve ce rappel salvateur: les personnages sont faits de papier ma grande, tout va bien, tu es au chaud sur ton canapé.
Pour ce qui est de ces êtres de papiers, je me suis très vite attachée à eux, ils sont plus lucides que la plupart des adultes de la vraie vie sur leur situation. La douleur et la mort sont leur quotidien, mais ils continuent de vivre leur vie, Hazel fait des études universitaires, et Gus est au lycée.

Ils doivent faire face au regard des autres, qui ont pitié d'eux parce qu'on sait qu'ils vont mourir, et que c'est triste parce qu'ils ne sont encore que des enfants.
Ici, la vérité toute crue toute nue vous gifle le visage: on ne nous promet pas un espoir de rémission quelconque, non, il est établit dès le départ que Hazel sera malade toute sa vie (et que donc sa vie sera sans doute courte).

Gus quant à lui, incarne un peu l'idée qu'on a envie de se faire d'un malade du cancer: la personne positive à outrance, qui va se battre pour faire quelque chose de sa vie et que tout le monde admire. Mais on ne tombe pas trop dans la caricature, bien que je tique un peu sur l'accumulation de tant de perfection: il est beau, musclé, il joue aux jeux vidéos, il est protecteur et aimant, héroïque et amputé. du coup, là, sans mauvais jeu de mots, ce personnage peut paraître boiteux au début du livre.

Les moments émouvants sont très très nombreux, tellement qu'avant de me poser pour lire mon livre je m'arrangeais pour ne pas avoir à sortir avec ma tête de cocker triste aux yeux rouges. Je ne peut pas lire ce genre de livre en public, les gens se demanderaient pourquoi je pleure.

Alors, j'avais lu que ce livre était un ascenseur à émotions, pour moi ça n'a pas vraiment été le cas. Les passages qui sont drôles, voire franchement drôles sont noyés par le reste. Je ne trouve pas que ce livre ait suffisamment de joie pour qu'on dise qu'il est aussi joyeux que triste.

Alors bien sûr, je conseille ce livre, à tout le monde, enfants comme adultes, d'autant plus que ce qu'il a une écriture simple (mais des propos durs). Il peut donc se lire facilement par n'importe qui. Et pour peu qu'on arrive à garder énooormément de recul par rapport au cancer, on peut passer un bon moment.


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A mesure que je tournais les pages de ce roman, je me demandais comment j'allais bien pouvoir écrire ma chronique… J'avais raison d'avoir peur, j'ai beaucoup de mal à vous parler de roman…
Pourquoi ? Parce que ce n'est pas une histoire qui se raconte mais une histoire qui se découvre au gré de la la magnifique plume de John Green
Beaucoup d'entre vous connaissent déjà les grandes lignes du récit : Hazel atteinte d'un cancer en phase terminale retrouve le goût de vivre lorsqu'elle rencontre Augustus lui-même en rémission.
Evidemment vous vous en doutez ce n'est pas l'action qui domine dans ce livre… Encore que… Les personnages et leur relation sont assez logiquement au centre du récit. Et comment ne pas s'attacher à Hazel & Augustus ainsi qu'à leurs parents?
Le point fort du roman n'est pas tant l'histoire qu'il raconte : la maladie, le cancer, la souffrance, l'espoir, la vie, la mort… mais davantage la manière dont elle est racontée : avec la gravité qu'il se doit lorsque l'on parle de l'horreur de cette maladie qu'est le cancer mais avec une légèreté teintée d'humour qui fait sourire à de nombreuses reprises.
N'importe qui a déjà été touché de loin ou de près par cette maladie ; n'importe qui connaît la difficulté des traitements et sait que même en rémission l'épée de Damoclès continue de planer sur la tête du malade, ce livre ne nous apprend rien sur la maladie mais nous apprend beaucoup sur la beauté de la vie.
Je n'ai pas pour habitude de citer des passages de livre dans mes avis mais ici ce serait une faute grave de ne pas partager avec vous quelques phrases ou plutôt une déclaration qui m'a beaucoup touchée :
« – Je suis amoureux de toi, a-t-il dit doucement.
- Augustus !
- Vraiment, a-t-il répondu. Il me fixait, et je pouvais voir que les coins de ses yeux se plissaient. Je suis amoureux de toi, et je n'ai aucunement l'envie de le nier et de m'épargner le plaisir de dire des choses vraies. Je suis amoureux de toi, et je sais que l'amour est juste un cri dans le vide, et que l'oubli est inévitable, et que nous sommes tous condamnés, et qu'un jour viendra où tout notre travail sera réduit à de la poussière, et je sais que le soleil va avaler la seule planète que nous aurons jamais, et je suis amoureux de toi. »

Vous l'aurez compris, cette lecture laisse des traces et même si je n'ai à aucun moment été surprise par la tournure des évènements (j'avais assez facilement deviné ce que l'auteur nous préparait…), cela ne m'a pas empêché de verser des larmes le moment venu…
Au-delà du fait d'avoir découvert un récit touchant, empreint de vérités et de philosophie, j'ai avant tout découvert un auteur et un style dont il me tarde de découvrir les autres romans.
C'est donc une évidence pour moi de vous conseiller de découvrir ce livre et cet auteur dès que possible !
Lien : http://www.media-books.fr/no..
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Ce livre est merveilleux... en tant que libraire, j'ai du mal à le vendre à des parents en disant "alors c'est l'histoire d'amour de deux ados cancéreux qui savent qu'ils vont mourir"... Mais c'est ça !

Voilà ce que j'en dis sur le blog de la librairie où je travaille: Hazel a 16 ans. Elle est atteinte d'un cancer de la thyroïde dont l'avancement a été miraculeusement stoppé par un traitement "test". Malheureusement, ses poumons sont désormais incapables de fonctionner seuls et Hazel doit toujours être reliée à une bouteille d'oxygène. Malgré un état stable, Hazel sait qu'elle n'est pas guérie. Elle ne sait pas quand, mais elle sait qu'elle mourra.
Déclarée déprimée - mais qui ne le serait pas dans sa situation ? - elle est traînée par sa mère à un groupe de soutien pour jeunes cancéreux, animé par Patrick, lui-même guéri d'un cancer dont il est sorti sans ses testicules, un traumatisme qui l'anime à chaque séance. C'est là qu'elle rencontre Augustus, ténébreux ado de 17 ans en rémission. L'attirance entre eux est inévitable. Augustus est charmant, plein d'humour et de joie de vivre. Mais Hazel ne se sent pas capable de s'investir dans une relation... Comment pourrait-elle alors qu'elle se sait condamnée ?

Ce roman n'est pas du tout triste. Enfin si, un peu forcément, mais il est surtout porteur d'espoir et transmet inévitablement une joie de vivre dont on ne peut pas se défaire en refermant ce livre.
Vous serez captivé par cette histoire hors du commun, dont Hazel nous parle avec humour et lucidité. le thème n'est pas courant dans la littérature jeunesse, pourtant il fait partie de la vie, et il est important de savoir ce que les personnes atteintes d'un cancer traversent. Nous en connaissons tous, ou plus souvent, en avons connu. Mais qu'en est-il de ces enfants qui ont la vie devant eux ? Dont le sort les a injustement frappé ? Que ressentent-ils ? Comment vont-ils de l'avant ? C'est dont ce livre parle.
Lien : http://librairiearsuna.blogs..
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Hazel, seize ans, est atteinte d'un cancer de la thyroïde. Des métastases ont envahi ses poumons, la contraignant à trimballer partout avec elle une bombonne à oxygène pour pouvoir respirer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie mais elle se sait condamnée. Pour faire plaisir à sa mère, elle prend part à un groupe de soutien pour jeunes malades. le seul avec qui elle communique, par soupirs interposés, c'est Isaac, qu'un cancer de l'oeil a privé de son premier oeil et qu'une rechute menace de rendre aveugle. Un jour, il arrive avec son meilleur ami, Augustus, atteint lui-même d'un cancer des os, amputé d'une jambe mais en rémission depuis plus d'un an.
Hazel et Augustus sont instantanément attirés l'un par l'autre, partageant un humour mordant et une farouche volonté de ne se pas laisser résumer à leur cancer. Réticente à l'idée de s'engager dans une relation amoureuse alors qu'elle peut mourir à tout moment, Hazel va pourtant se laisser séduire par ce garçon qui bouscule son quotidien.
C'est un livre qui va finalement les rapprocher : un roman racontant la vie d'une jeune fille atteinte d'un cancer, et qui se termine brusquement au milieu d'une phrase. Emus par cette histoire et soucieux d'en connaitre la suite, ils décident de se rendre à Amsterdam pour rencontrer l'auteur et l'interroger sur le sort des personnages.
Bourré d'humour et de joie de vivre, « Nos étoiles contraires » est un hymne à l'amour, à l'amitié, à la jeunesse et à la vie.
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Une belle écriture qui sert un sujet délicat : la maladie chez les ados (le cancer ds ce cas précis), mais aussi une première histoire d'amour. La relation aux autres, la famille et la maladie, leurs peurs et leurs envies sont évoqués avec finesse. Espérons que l'adaptation cinématographique soit à la hauteur de ce best seller.
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Nos étoiles contraires racontent l'histoire d'un groupe d'adolescents atteints du cancer.

Enfin, nous suivons surtout Hazel Grace car c'est elle qui raconte l'histoire. Et sa manière de décrire les choses, de décrire la vie et nos incohérences est à tomber par terre. Non, on ne fait pas que pleurer dans ce roman, au contraire, j'ai même beaucoup ri.

Je sais que ça va paraître complètement ridicule comme pensée, mais ces personnages sont tellement entiers, attachants, vrais, que je me sentirais prête à tout pour pouvoir les connaître en "vrai" ! D'ailleurs, un élève dans le collège où je travaille me fait énormément penser à Isaac... du coup je le dévisage en me disant qu'il va sûrement lever les yeux vers moi et comprendre que je l'ai reconnu...

Hazel Grace, Augustus Waters, Isaac, des personnages que j'aurais aimé connaître.

Arrivée à la dernière ligne... je n'avais qu'une seule envie... le recommencer !
Lien : http://petites-paillettes.bl..
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il n'y a pas de critique a faire sur ce livre c'est simplement un diamant brut. le combat de fille face a ses derniers instant , elle va découvrir l'amour, le partage, la passion , l'amitié et l'envie
ne vous arretez pas a la couverture jeunesse car ce livre est poignant à tous age
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Oh comme j'ai aimé tout aimé dans ce nouveau roman de John Green. Les personnages (je me refusais de les quitter), le style (toujours aussi percutant), l'humour (décapant), et, pour finir, l'histoire que je craignais convenue (oh la nouille!). Même si je sentais que ce livre allait me faire du mal, que j'allais en pleurer, j'ai été prise dans ses filets, j'étais cuite, je ne pouvais pas m'arrêter.

Alors oui, j'ai pleuré. Les vannes grandes ouvertes. J'ai pleuré le manque. J'ai été émue doublement en savourant le fait que lire procure une telle émotion. Et puis, c'est gracieux, élégant, drôle, mortellement vivant. Oui, les pages vibrent de vie, de battements, de colère et de drôlerie.

Je l'ai passé à ma grande fille de treize ans. Elle enrageait de ne pas pouvoir changer la fin. Et maintenant, c'est à vous que je le transmets. Et hop ! A votre tour d'être ému. Un aussi beau roman, ça ne se refuse pas.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
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J'avais acheté ce livre dès sa sortie, les avis que je voyais étaient unanimes, les citations me plaisaient, je n'ai donc pas hésité à le commander, puis il a attendu dans ma Pal, pourquoi je ne sais pas.
Lors du « week-end à mille » organisé par Lili bouquine je l'avais sélectionné sans me souvenir du sujet, je n'ai pas non plus lu la quatrième de couverture, vous allez trouver ça étonnant mais je ne lis que très rarement les quatrièmes de couverture avant de commencer un livre, je n'aime pas les spoiler et je préfère avoir la surprise totale, je ne m'attendais pas du tout à être bouleversée à ce point, je ne sais pas si j'arriverai à vous décrire les sentiments par lesquels je suis passée lors de cette lecture mais je vais faire au mieux.

Hazel Grace a 17 ans, elle a un cancer de la thyroïde avec des métastases aux poumons, elle survit grâce à un traitement expérimental et ses bonbonnes d'oxygène. Sa mère, trouvant qu'elle passait beaucoup trop de temps enfermée dans sa chambre à lire et relire le même livre, la persuade de s'inscrire à un groupe de soutien.
Pour faire plaisir à ses parents elle s'y rend, c'est aussi l'occasion pour elle de voir son ami Issac atteint d'un cancer des yeux. Lors d'une des réunions hebdomadaires Isaac amène un de ses amis, Augustus Waters, jeune homme en rémission d'un ostéosarcome.

A lire le résumé vous pourriez vous dire que cela va être un livre larmoyant sur le cancer et bien non, c'est bien plus que ça, oui on parle du cancer mais pas dans le sens où on pourrait le croire.

Hazel, l'héroïne et la narratrice du roman est une jeune fille intelligente et lucide, elle est directe dans ses propos, elle possède un humour noir, elle aime lire et surtout un livre en particulier, elle a une vision réaliste de son cancer. Courageuse elle affronte ses traitements avec dignité, sa plus grande inquiétude étant de faire souffrir les gens qu'elle aime. C'est un personnage qui m'a énormément touchée.

Augustus est un jeune homme spontané, possédant une joie de vivre communicative, il a lui aussi beaucoup d'humour, il va entraîner Hazel à vivre ses rêves, de petites en grandes intentions, de blagues en sourires une belle relation va se nouer entre Hazel et lui. J'y reviendrai ensuite.

Les autres personnages m'ont tous convaincue, que cela soit les parents des héros, Isaac un personnage que j'ai beaucoup apprécié, Patrick l'animateur des séances de soutien, tous apporte un présent au livre, l'enrichissant par l'amour ou l'humour.
Si à première vue on pourrait penser que ce livre est une ode à la mort il n'en est rien, c'est une ode à la vie, la vraie, pas celle qu'on se contente de vivre mais celle qu'on se donne les moyens de vivre, c'est un livre sur l'amour, le grand, le pur et bel amour avec un grand A.
Au fil des pages on vit la relation entre Hazel et Augustus, pas une histoire larmoyante, même si les larmes ont coulé plus d'une fois, mais l'histoire d'un amour profond, sincère et respectueux de ce que l'autre veut et souhaite.
John Green est un magicien des mots, on passe du rire aux larmes en une fraction de seconde, il traite d'un sujet grave, chez des jeunes gens qui plus est, mais ne tombe à aucun moment dans la surenchère, c'est doux et percutant, c'est la joie qui se mêle à la tristesse, la beauté de la vie qui croise l'horreur de la mort.
C'est bizarre à lire si vous ne l'avez pas lu mais c'est marrant et effrayant, c'est doux et dur, autant de sentiments contraires mais forts qui m'ont accompagnée pendant ma lecture et pendant plusieurs jours après, il y a des phrases de l'auteur que je n'oublierai jamais.

Avec des mots très simples, l'auteur écrit des sentiments authentiques, décrit des pensées intimes, fait part de l'angoisse et du découragement mais aussi de la joie de vivre et de l'acharnement, de ces moments où on a l'impression que l'on va étouffer de peurs et de ces autres où l'on oublie le mot maladie car non quand on est malade on ne perd pas forcément la joie de vivre et oui on continue de rire et sourire, non on n'y pense pas tout le temps oui on vit !
Lien : http://luciebook.blogspot.be..
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Comme le dit une lectrice sur la quatrième de couverture, « c'est l'histoire d'une fille qui a le cancer qui rencontre un garçon qui avait le cancer ». Mais en fait, c'est plus que ça. C'est une histoire de survie, d'amour, d'amitié et de joie. Une histoire qui vous dit qu'il faut profiter à fond de nos journées parce qu'on sait jamais si demain sera la fin. Une histoire qui nous fait rire et qui nous fait pleurer. Un livre dont on ne ressort pas indemne.
La mort fait peur à beaucoup de monde, c'est même un des sujets tabous de notre société. On pense qu'en ne parlant pas de la mort, elle s'éloignera sans faire de victime. Je suis contre cette idée. La mort n'est pas une fin à mes yeux mais un nouveau commencement. Une citation d'Albus Dumbledore dans le dernier Harry Potter me revient à l'esprit : « N'ait pas pitié des morts, Harry. Ait pitié des vivants et de ce qui vivent sans amour. ». Lorsque quelqu'un meurt, les plus meurtris sont ceux qui restent. C'est ce que nous raconte ce livre.
Raconté du point de vue d'Hazel, on suit ces jeunes gens, confrontés à la mort à l'âge où l'ont ne devrait penser qu'à la vie qui nous attends. Attachants, drôles et pertinents dans leur vision du monde, il permettent au livre de ne pas tomber dans le voyeurisme, ni dans le larmoyant. J'aime Hazel qui tente de vivre normalement alors qu'elle est au stade terminal et Augustus, qui soutient ses amis sans faillir.
Terriblement triste, cette histoire est aussi pleine d'espoir. L'espoir du lendemain, l'espoir de continuer à faire des choses, à vivre alors que la mort est à la porte. Gros best-seller aux États-Unis, il m'a intrigué dès sa sortie en français. On parlait d'un livre « merveilleux » mais « triste » et je dois avouer que ces deux adjectifs collés l'un à l'autre m'ont poussés à me le procurer. Je l'ai commencé, en me disant que j'avais le temps avant la fin de la LC... et je l'ai dévoré en deux jours. Je ne pouvais pas me détacher de cette histoire, dès que je devais poser le livre pour faire autre chose, j'y pensais constamment. J'ai ri et pleuré, j'ai espéré et été déçue mais j'ai tourné la dernière page avec un sourire au lèvres, pleine d'espoir pour l'avenir.

J'ai littéralement été subjuguée par ce livre et comme me l'a dit une amie juste après, « Welcome to the "John Green made me fall in love and broke my heart in 300pages " club »
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