Bientôt sur nos écrans, Nos étoiles contraires est un livre qui a eu un succès fou aux États-Unis. Les récompenses qu'il a reçu son tellement nombreuses que ce serait insultant de ma part d'essayer d'en faire la liste. Certains d'entre vous connaissent peut-être déjà l'auteur, John Green, youtubeur américain complètement fou avec son frère Hank… Son roman aborde des thèmes très forts, dont le cancer, mais surtout l'amour. Mon avis ?
Matériel
Franchement c'est super beau, c'est simple, c'est exactement ce qui illustre ce livre pour moi. La couverture est parfaite. La version française (de Nathan) est belle, rien à dire, c'est du beau boulot. L'édition France Loisirs est très belle aussi, la couverture est différente, mais je l'adore tout autant que l'originale tant elle est proche du livre. Je m'accorde quelques lignes pour vous parler de l'édition VO collector Barnes & Noble que j'ai acheté et qui est tout simplement magnifique (c'est celle que j'ai sur les photos) ! Sous la chemise se cache d'ailleurs la signature de John Green gravé sur fond bleu, et on a en bonus dans cette version une quarantaine de pages supplémentaires avec un Q&A de l'auteur ! Pour ma note, c'est assez facile… 3/3
L'histoire
Nos étoiles contraires nous conte l'histoire de Gus et Hazel (Hazel Grace pour les intimes), leur relation, leur vie en général, mais pas que. Ce n'est pas qu'un roman d'amour que j'ai eu entre le mains en lisant ce livre, c'est une vraie histoire sur la vie, qui cache des messages très forts, m'ayant fait passer par toute une flopée d'émotions que j'aurais cru contradictoires avant d'entamer ma lecture. Je ne veux surtout pas vous spoiler, mais on ne s'ennuie pas dans Nos étoiles contraires, c'est un roman qui voit les choses en grand, qui nous rend heureux, puis triste, qui va là où on ne l'attendait pas, et c'est ce qui fait que c'est un véritable bonheur de le lire. Tout est bien construit, rien n'est idiot, tout s'enchaine naturellement, rien n'est artificiel, tout est parfaitement fluide et j'ai tout simplement adoré. John Green a fait naître de vrais émotions dans son livre, plus loin qu'une histoire, il est allé chercher quelque chose d'unique. 6/6
Personnages
Hazel est la narratrice du roman, et j'ai tellement de choses à dire sur elle, que je ne sais pas vraiment par où commencer. Rien qu'en écrivant, j'ai l'impression de devoir décrire une personne, pas un personnage. Parce que c'est ça la force de ce roman au final, c'est que tout m'a semblé réel. Hazel, ça pourrait être vous, ça pourrait être votre soeur, votre cousine, votre voisine. Et c'est la raison pour laquelle je me sens tellement attaché à ces personnages, Hazel en première, c'est qu'ils sont magnifiquement humains. Peut-être qu'elle n'est pas le genre de personnage qu'on adore, invincible, qui se bat, qui a une vie incroyable, mais c'est avant-tout un être humain qui est décrit dans ce livre, dès la première page, la première phrase, Hazel est face à vous, l'auteur ne triche pas. Ce n'est pas juste le cas des personnages principaux d'ailleurs, on a aussi une palette de personnages secondaires vraiment touchante, que ça soit la famille de Gus, ou de la narratrice, ou Isaac. Il y a une certaine beauté dans ces personnages, qu'on trouve rarement, tout simplement parce qu'ils sont réels. 5/5
Écriture
John Green. Encore une fois, c'est dur de poser des mots sur un ressenti aussi fort. Il nous parle de la vie, de l'amour, de la mort, de personnages sublimes, et tout ce que vous faites, c'est continuer à lire, encore et encore. Son style est puissant, transmet des émotions avec force, et ne cherche pas à nous faire plaisir. Il est là pour raconter son histoire, pour donner vie aux protagonistes, et il le fait à la perfection. L'humour est présent, il ne m'a pas fait exploser de rire, juste sourire, parce que j'étais heureux de lire. Mais ne vous méprenez pas, aussi génial qu'il puisse être, Nos étoiles contraires va surtout manipuler vos émotions et vous laisser en miettes. le chapitre 20 (pour ne citer que lui) fera de vous une loque, une épave au milieu d'une montagne de mouchoirs, parce que John Green a ce pouvoir-là 5,5/6
CONCLUSION
Nos étoiles contraires est une météorite. On ne sait pas d'où ça vient, mais ça ne vous laisse pas intact. Il y a une vision, une vérité, dans ce livre, qui m'a laissé bouche bée. C'est un de ces livres qui se doivent d'être lu, qu'on devrait imposer dans notre scolarité, et qui pour le coup, donnerait envie de lire aux nombreux réfractaires. Unique est le mot que je cherchais, parce que Nos étoiles contraires restera gravé dans ma mémoire comme une très belle leçon de vie. 19,5/20 !
Lien : http://robzii-books.com/nos-..
Matériel
Franchement c'est super beau, c'est simple, c'est exactement ce qui illustre ce livre pour moi. La couverture est parfaite. La version française (de Nathan) est belle, rien à dire, c'est du beau boulot. L'édition France Loisirs est très belle aussi, la couverture est différente, mais je l'adore tout autant que l'originale tant elle est proche du livre. Je m'accorde quelques lignes pour vous parler de l'édition VO collector Barnes & Noble que j'ai acheté et qui est tout simplement magnifique (c'est celle que j'ai sur les photos) ! Sous la chemise se cache d'ailleurs la signature de John Green gravé sur fond bleu, et on a en bonus dans cette version une quarantaine de pages supplémentaires avec un Q&A de l'auteur ! Pour ma note, c'est assez facile… 3/3
L'histoire
Nos étoiles contraires nous conte l'histoire de Gus et Hazel (Hazel Grace pour les intimes), leur relation, leur vie en général, mais pas que. Ce n'est pas qu'un roman d'amour que j'ai eu entre le mains en lisant ce livre, c'est une vraie histoire sur la vie, qui cache des messages très forts, m'ayant fait passer par toute une flopée d'émotions que j'aurais cru contradictoires avant d'entamer ma lecture. Je ne veux surtout pas vous spoiler, mais on ne s'ennuie pas dans Nos étoiles contraires, c'est un roman qui voit les choses en grand, qui nous rend heureux, puis triste, qui va là où on ne l'attendait pas, et c'est ce qui fait que c'est un véritable bonheur de le lire. Tout est bien construit, rien n'est idiot, tout s'enchaine naturellement, rien n'est artificiel, tout est parfaitement fluide et j'ai tout simplement adoré. John Green a fait naître de vrais émotions dans son livre, plus loin qu'une histoire, il est allé chercher quelque chose d'unique. 6/6
Personnages
Hazel est la narratrice du roman, et j'ai tellement de choses à dire sur elle, que je ne sais pas vraiment par où commencer. Rien qu'en écrivant, j'ai l'impression de devoir décrire une personne, pas un personnage. Parce que c'est ça la force de ce roman au final, c'est que tout m'a semblé réel. Hazel, ça pourrait être vous, ça pourrait être votre soeur, votre cousine, votre voisine. Et c'est la raison pour laquelle je me sens tellement attaché à ces personnages, Hazel en première, c'est qu'ils sont magnifiquement humains. Peut-être qu'elle n'est pas le genre de personnage qu'on adore, invincible, qui se bat, qui a une vie incroyable, mais c'est avant-tout un être humain qui est décrit dans ce livre, dès la première page, la première phrase, Hazel est face à vous, l'auteur ne triche pas. Ce n'est pas juste le cas des personnages principaux d'ailleurs, on a aussi une palette de personnages secondaires vraiment touchante, que ça soit la famille de Gus, ou de la narratrice, ou Isaac. Il y a une certaine beauté dans ces personnages, qu'on trouve rarement, tout simplement parce qu'ils sont réels. 5/5
Écriture
John Green. Encore une fois, c'est dur de poser des mots sur un ressenti aussi fort. Il nous parle de la vie, de l'amour, de la mort, de personnages sublimes, et tout ce que vous faites, c'est continuer à lire, encore et encore. Son style est puissant, transmet des émotions avec force, et ne cherche pas à nous faire plaisir. Il est là pour raconter son histoire, pour donner vie aux protagonistes, et il le fait à la perfection. L'humour est présent, il ne m'a pas fait exploser de rire, juste sourire, parce que j'étais heureux de lire. Mais ne vous méprenez pas, aussi génial qu'il puisse être, Nos étoiles contraires va surtout manipuler vos émotions et vous laisser en miettes. le chapitre 20 (pour ne citer que lui) fera de vous une loque, une épave au milieu d'une montagne de mouchoirs, parce que John Green a ce pouvoir-là 5,5/6
CONCLUSION
Nos étoiles contraires est une météorite. On ne sait pas d'où ça vient, mais ça ne vous laisse pas intact. Il y a une vision, une vérité, dans ce livre, qui m'a laissé bouche bée. C'est un de ces livres qui se doivent d'être lu, qu'on devrait imposer dans notre scolarité, et qui pour le coup, donnerait envie de lire aux nombreux réfractaires. Unique est le mot que je cherchais, parce que Nos étoiles contraires restera gravé dans ma mémoire comme une très belle leçon de vie. 19,5/20 !
Lien : http://robzii-books.com/nos-..
Une histoire touchante entre deux jeunes gens auxquels on peut d'identifier et s'attacher facilement, qui nous fait comprendre que la vie est une chose précieuse, et que l'on peut trouver l'amour à un moment où l'on s'y attend le moins !
De la première à la dernière ligne, cette magnifique histoire nous fait rire, pleurer mais surtout espérer : on ne s'ennuie jamais.
Avis à ceux qui s'apprêtent à plonger dans ce livre : vous n'arriverez plus à en décrocher ! Océane TL
De la première à la dernière ligne, cette magnifique histoire nous fait rire, pleurer mais surtout espérer : on ne s'ennuie jamais.
Avis à ceux qui s'apprêtent à plonger dans ce livre : vous n'arriverez plus à en décrocher ! Océane TL
Alors, je ne connaissais pas John Green, je n'avais lu aucun de ses livres ! Mais j'avais entendu énormément de bien de "Nos étoiles contraires", et comme j'ai vu qu'il allait sortir au cinéma, j'ai décidé de le lire ! :D
Je n'ai pas du tout été déçue ! $) Pour moi, ce livre est juste un chef d'oeuvre !!! $) Je l'ai lu en quelques heures le 1er mai ^^ Et tellement ce livre me faisait ressentir d'émotions, j'étais très fâchée lorsque je m'arrêtais de le lire ! xD Je parlais mal aux personnes car je voulais retourner le continuer ! ^^
J'ai beaucoup aimé toute l'histoire avec van Houten ! C'est seulement au bout d'un moment que j'ai tilté le nom van Houten ! Mdrrr x')
Mais il m'a trop dégoûtée comment il parlait à Hazel et tout.... J'aurai réagi exactement pareil qu'elle !
Le voyage à Amsterdam était trop cool.... $)
Il y a tellement de choses à dire sur ce livre !! C'est impossible de tout raconter, sinon il y aurait trop de spoiler !!!
Si vous avez des questions sur un passage précis, laissez un com's ou envoyez-moi un message :)
Conclusion : Ce livre est un des meilleurs que j'ai jamais lus !!!! Je rajoute direct dans ma PAL "Qui es-tu Alaska ?" de mon cher John Green !! $) Il illustre tellement bien la réalité, tout en étant un roman avec une histoire assez dure....
Et dire que le film sera avec Shailene Woodley... Purée trop hâte de le voir !! $)
Je n'ai pas du tout été déçue ! $) Pour moi, ce livre est juste un chef d'oeuvre !!! $) Je l'ai lu en quelques heures le 1er mai ^^ Et tellement ce livre me faisait ressentir d'émotions, j'étais très fâchée lorsque je m'arrêtais de le lire ! xD Je parlais mal aux personnes car je voulais retourner le continuer ! ^^
J'ai beaucoup aimé toute l'histoire avec van Houten ! C'est seulement au bout d'un moment que j'ai tilté le nom van Houten ! Mdrrr x')
Mais il m'a trop dégoûtée comment il parlait à Hazel et tout.... J'aurai réagi exactement pareil qu'elle !
Le voyage à Amsterdam était trop cool.... $)
Il y a tellement de choses à dire sur ce livre !! C'est impossible de tout raconter, sinon il y aurait trop de spoiler !!!
Si vous avez des questions sur un passage précis, laissez un com's ou envoyez-moi un message :)
Conclusion : Ce livre est un des meilleurs que j'ai jamais lus !!!! Je rajoute direct dans ma PAL "Qui es-tu Alaska ?" de mon cher John Green !! $) Il illustre tellement bien la réalité, tout en étant un roman avec une histoire assez dure....
Et dire que le film sera avec Shailene Woodley... Purée trop hâte de le voir !! $)
Alors, autant le dire tout de suite, je pense que je m'étais fait une telle montagne de ce livre que j'en ressors un peu déçue. Certes, c'est très bien écrit, le style est très sympa et on tourne les pages sans réellement s'en rendre compte. Les personnages sont plutôt attachants. J'ai beaucoup aimé Hazel qui a une grande force de caractère malgré sa maladie qui lui bouffe les poumons.
J'ai par contre un peu de mal avec le personnage de Peter van Houten que je trouve hyper caricatural et complétement grossier. A chaque fois qu'il apparait, la situation me parait toujours assez peu réaliste. En revanche, je retiendrais du voyage à Amsterdam le très joli passage dans la maison d'Anne Frank qui m'a beaucoup ému.
Tout le bouquin dégouline un peu de bons sentiments, même si malgré tout l'auteur ne fait pas de cadeau à certains de ses personnages. Je reste donc, comme je le disais, partagée sur cette lecture. J'ai passé un bon moment, je ne me suis pas ennuyée un seul instant mais voilà ... il me manque un petit quelque chose pour pouvoir dire que c'est un des livres que j'ai préféré de l'année.
J'ai par contre un peu de mal avec le personnage de Peter van Houten que je trouve hyper caricatural et complétement grossier. A chaque fois qu'il apparait, la situation me parait toujours assez peu réaliste. En revanche, je retiendrais du voyage à Amsterdam le très joli passage dans la maison d'Anne Frank qui m'a beaucoup ému.
Tout le bouquin dégouline un peu de bons sentiments, même si malgré tout l'auteur ne fait pas de cadeau à certains de ses personnages. Je reste donc, comme je le disais, partagée sur cette lecture. J'ai passé un bon moment, je ne me suis pas ennuyée un seul instant mais voilà ... il me manque un petit quelque chose pour pouvoir dire que c'est un des livres que j'ai préféré de l'année.
A force de voir la communauté de booktubers anglais si enthousiaste à propos de The Fault in our Stars (TFIOS pour les intimes, Nos étoiles contraires pour les francophones), j'ai voulu lire ce roman qui fait l'unanimité outre-manche (et surement ailleurs, mais bizarrement peu en France (ou alors je suis passée totalement à côté du phénomène...).
J'ai profité du fait que ça soit un Young Adult Novel pour le lire en VO, je n'avais pas encore lu en anglais sur ma liseuse actuelle (j'avais lu Eat, Pray, Love sur mon ancienne Kobo, ça c'était plutôt bien passé, à part la nullité totale du livre) et je dois dire que je suis très impressionnée par l'efficacité du dictionnaire (non intégré, mais très facile à trouver, la preuve j'y suis arrivé !)
Je ne pensais pas rire (ou du moins sourire) en lisant l'histoire d'amour de deux adolescents atteints de cancer (et je ne dévoile rien en disant que ça finit mal, on s'y attend...). Mais Hazel et Augustus ont tous les deux une vision très terre à terre et en même temps poétique de leur situation. Ce ne sont pas des pleurnichards, ils ne se battent pas non plus inconditionnellement et sans faille contre leur maladie, ils ont leurs hauts et leurs bas comme tout le monde, ce qui rend ces deux ado tout à fait réalistes.
Il va m'être difficile de parler de ce livre sans en révéler la moitié... Cette chronique va être assez parcellaire. Mais c'est une si belle histoire que je ne veux surtout pas risquer de vous la gâcher.
En tout cas, John Green mène sa barque sans jamais tomber dans le pathos, et vu la teneur du bouquin ce n'était pas gagné. J'ai pensé en le commençant que j'allais pleurer comme une madeleine pendant la moitié de ma lecture, pas du tout. Ce livre m'a presque redonné de l'espoir (enfin je saute pas au plafond de rire non plus).
On est immergés dans le quotidien de ces deux adolescents qui finalement ont les même rêves et les mêmes envies que tous les adolescents.
Que vous dire de plus sans spoiler totalement le livre... C'est une très belle histoire d'amour. Et un roman qui permet d'apercevoir le quotidien d'enfants malades, qui continuent à vivre leur vie tout en ayant une conscience beaucoup plus forte de la mort que les autres enfants de leur âge.
Je complèterais cette chronique avec mon avis sur le film quand il sortira... enfin je pense que cette fois-ci je pleurerais réellement comme une madeleine. Tout comme pour le "gore", ma résistance aux larmes est plus élevée sur papier que sur écran !
En attendant, lisez The Fault in our Stars, un livre à la fois optimiste, triste et réaliste.
Lien : http://pagecinquantetrois.co..
J'ai profité du fait que ça soit un Young Adult Novel pour le lire en VO, je n'avais pas encore lu en anglais sur ma liseuse actuelle (j'avais lu Eat, Pray, Love sur mon ancienne Kobo, ça c'était plutôt bien passé, à part la nullité totale du livre) et je dois dire que je suis très impressionnée par l'efficacité du dictionnaire (non intégré, mais très facile à trouver, la preuve j'y suis arrivé !)
Je ne pensais pas rire (ou du moins sourire) en lisant l'histoire d'amour de deux adolescents atteints de cancer (et je ne dévoile rien en disant que ça finit mal, on s'y attend...). Mais Hazel et Augustus ont tous les deux une vision très terre à terre et en même temps poétique de leur situation. Ce ne sont pas des pleurnichards, ils ne se battent pas non plus inconditionnellement et sans faille contre leur maladie, ils ont leurs hauts et leurs bas comme tout le monde, ce qui rend ces deux ado tout à fait réalistes.
Il va m'être difficile de parler de ce livre sans en révéler la moitié... Cette chronique va être assez parcellaire. Mais c'est une si belle histoire que je ne veux surtout pas risquer de vous la gâcher.
En tout cas, John Green mène sa barque sans jamais tomber dans le pathos, et vu la teneur du bouquin ce n'était pas gagné. J'ai pensé en le commençant que j'allais pleurer comme une madeleine pendant la moitié de ma lecture, pas du tout. Ce livre m'a presque redonné de l'espoir (enfin je saute pas au plafond de rire non plus).
On est immergés dans le quotidien de ces deux adolescents qui finalement ont les même rêves et les mêmes envies que tous les adolescents.
Que vous dire de plus sans spoiler totalement le livre... C'est une très belle histoire d'amour. Et un roman qui permet d'apercevoir le quotidien d'enfants malades, qui continuent à vivre leur vie tout en ayant une conscience beaucoup plus forte de la mort que les autres enfants de leur âge.
Je complèterais cette chronique avec mon avis sur le film quand il sortira... enfin je pense que cette fois-ci je pleurerais réellement comme une madeleine. Tout comme pour le "gore", ma résistance aux larmes est plus élevée sur papier que sur écran !
En attendant, lisez The Fault in our Stars, un livre à la fois optimiste, triste et réaliste.
Lien : http://pagecinquantetrois.co..
Super livre !
Nos Étoiles Contraires (The Fault In Our Stars) est un roman de John Green qui est paru en 2012. C'est l'histoire d'une jeune fille de 33 demi-années (16 ans et demi), Hazel, qui est atteinte d'un cancer de la thyroïde stade 4. Depuis qu'elle a 13 ans, elle fête ses demi-anniversaires. Elle fait cela car elle sait qu'elle ne pourra pas atteindre un âge “normal”. Tous les jours, un chariot portant une bonbonne d'oxygène suit Hazel. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie. Malgré cela, Hazel sait qu'il ne lui reste que quelques mois à vivre.
Chaque semaine, sa mère la traîne à un groupe de soutien fréquenté par d'autres jeunes atteints du cancer. C'est là qu'elle rencontre Augustus. Gus est beau, grand et en bonne santé : tout le contraire d'Hazel. Seule sa jambe artificielle témoigne son début de cancer des os, en rémission depuis un an. Hazel et Augustus vont rapidement se trouver des points communs, notamment en matière de littérature, et, avec le temps, ils vont tomber amoureux l'un de l'autre. Pour elle, le temps est compté, mais leur histoire d'amour est plus forte que la maladie et elle les entraîne dans des projets fous, ambitieux et surtout pleins de vie.
Voici un extrait du livre, un de mes préférés. Il s'agit de la première rencontre entre Hazel et Augustus. Cela se passe à une séance du groupe de parole, présidée par Patrick.
“ – Augustus, peut-être aimerais-tu partager tes peurs avec le groupe ?
[…]
– J'ai peur de l'oubli, a-t-il répondu sans attendre. J'en ai peur comme un aveugle que je connais a peur du noir.
[…]
– Quelqu'un aimerait rebondir là-dessus ?
Cela faisait trois ans que je ne fréquentais plus d'établissement scolaire. Mes parents étaient mes deux meilleurs amis, le troisième était un écrivain qui ne connaissait même pas mon existence. J'étais plutôt timide, pas du genre à lever la main. Et pourtant, pour une fois, j'ai décidé de m'exprimer. J'ai levé à demi la main, ce qui a rendu Patrick fou de joie.
– Hazel ! s'est-il aussitôt écrié.
Il devait croire que j'allais enfin parler à coeur ouvert, entrer vraiment dans le groupe. Je me suis tournée vers Augustus Waters, et il s'est tourné vers moi. Il avait des yeux d'un bleu translucide.
– Un jour viendra, ai-je dit, où nous serons tous morts. Tous. Un jour viendra où il ne restera plus aucun être humain pour se rappeler l'existence des hommes. Un jour viendra où il ne restera plus personne pour se souvenir d'Aristote ou de Cléopâtre, encore moins de toi. Tout ce qui a été fait, construit, écrit, pensé et découvert sera oublié, et tout ça, ai-je ajouté avec un geste large, n'aura servi à rien. Ce jour viendra bientôt ou dans des millions d'années. Quoi qu'il arrive, même si nous survivons à la fin du soleil, nous ne survivrons pas toujours. du temps s'est écoulé avant que les organismes acquièrent une conscience et il s'en écoulera après. Alors si l'oubli inéluctable de l'humanité t'inquiète, je te conseille de ne pas y penser. C'est ce que tout le monde fait.
Je tenais ça de mon troisième meilleur ami cité plus haut, Peter van Houten, le mystérieux auteur d'Une impériale affliction, le livre qui était ma bible. À ma connaissance, Peter van Houten était la seule personne qui a) semblait comprendre ce que ça faisait de mourir alors que b) il n'était pas mort. Mon intervention a été suivie d'un long silence au cours duquel j'ai regardé se dessiner sur le visage d'Augustus un grand sourire, pas le petit sourire boiteux du garçon qui se la joue sexy, mais son vrai sourire, trop large pour sa figure.
– Mince, a-t-il dit tout bas. Tu n'es pas banale, toi, comme fille.”
C'est un livre qui, s'il parle du cancer n'est pas, comme on pourrait s'y attendre, triste et morbide. L'humour est très présent, malgré le caractère dramatique de l'histoire. Comme il est dit sur la quatrième de couverture “Alors qu'on craint ne ressentir que de la tristesse en le refermant, ce livre nous fait aimer la vie plus que jamais.” On pourrait le qualifier de “belle leçon de vie” mais je pense que c'est bien plus qu'une leçon de vie. Ce livre nous permet de nous rendre compte de la chance qu'on a d'être vivant ; oui, en fermant ce livre on se sent vivant, immortel : infini. À travers Hazel, on comprend son combat, sa lutte contre son cancer. Sa lutte contre elle-même. Bien qu'elle soit aussi adapté à un public plus mûr et averti, c'est une lecture idéale pour un(e) adolescent(e), car on s'identifie très facilement aux personnages. Hazel n'est pas qu'une cancéreuse, elle est aussi une ado comme les autres
Ce n'est pas un livre écrit pour les cancéreux ou les non-cancéreux ; c'est un livre dans lequel tout le monde peut se reconnaître. Qu'importe qui nous sommes, d'où l'on vient, la lecture de ce livre nourrit notre âme. Vers la fin du livre, il y a un moment où on s'arrête, et où on comprend. Quoi ? Pourquoi ? Je ne suis même pas sure que l'auteur le sache. Toujours est-il qu'on se sent plus riche intellectuellement parlant. C'est ce genre de livre qui nous suit toute notre vie, glissant ses mots dans notre esprit et nous faisant sourire dans n'importe quelle situation. John Green, s'il n'est pas encore très connu aujourd'hui, sera demain à la littérature pour adolescents ce que Harry Potter est à la littérature pour enfants. Ces livres qu'on relit 10 ans plus tard, ces livres qu'on redécouvre inlassablement, ces livres qui marquent nos esprits comme nous voulons marquer l'histoire.
Enfin, si je devais donner une note à ce livre sur une échelle de 1 à 10, je donnerais 9. Car, comme Hazel, je garde le 10 en réserve.
Lien : https://www.facebook.com/pho..
Chaque semaine, sa mère la traîne à un groupe de soutien fréquenté par d'autres jeunes atteints du cancer. C'est là qu'elle rencontre Augustus. Gus est beau, grand et en bonne santé : tout le contraire d'Hazel. Seule sa jambe artificielle témoigne son début de cancer des os, en rémission depuis un an. Hazel et Augustus vont rapidement se trouver des points communs, notamment en matière de littérature, et, avec le temps, ils vont tomber amoureux l'un de l'autre. Pour elle, le temps est compté, mais leur histoire d'amour est plus forte que la maladie et elle les entraîne dans des projets fous, ambitieux et surtout pleins de vie.
Voici un extrait du livre, un de mes préférés. Il s'agit de la première rencontre entre Hazel et Augustus. Cela se passe à une séance du groupe de parole, présidée par Patrick.
“ – Augustus, peut-être aimerais-tu partager tes peurs avec le groupe ?
[…]
– J'ai peur de l'oubli, a-t-il répondu sans attendre. J'en ai peur comme un aveugle que je connais a peur du noir.
[…]
– Quelqu'un aimerait rebondir là-dessus ?
Cela faisait trois ans que je ne fréquentais plus d'établissement scolaire. Mes parents étaient mes deux meilleurs amis, le troisième était un écrivain qui ne connaissait même pas mon existence. J'étais plutôt timide, pas du genre à lever la main. Et pourtant, pour une fois, j'ai décidé de m'exprimer. J'ai levé à demi la main, ce qui a rendu Patrick fou de joie.
– Hazel ! s'est-il aussitôt écrié.
Il devait croire que j'allais enfin parler à coeur ouvert, entrer vraiment dans le groupe. Je me suis tournée vers Augustus Waters, et il s'est tourné vers moi. Il avait des yeux d'un bleu translucide.
– Un jour viendra, ai-je dit, où nous serons tous morts. Tous. Un jour viendra où il ne restera plus aucun être humain pour se rappeler l'existence des hommes. Un jour viendra où il ne restera plus personne pour se souvenir d'Aristote ou de Cléopâtre, encore moins de toi. Tout ce qui a été fait, construit, écrit, pensé et découvert sera oublié, et tout ça, ai-je ajouté avec un geste large, n'aura servi à rien. Ce jour viendra bientôt ou dans des millions d'années. Quoi qu'il arrive, même si nous survivons à la fin du soleil, nous ne survivrons pas toujours. du temps s'est écoulé avant que les organismes acquièrent une conscience et il s'en écoulera après. Alors si l'oubli inéluctable de l'humanité t'inquiète, je te conseille de ne pas y penser. C'est ce que tout le monde fait.
Je tenais ça de mon troisième meilleur ami cité plus haut, Peter van Houten, le mystérieux auteur d'Une impériale affliction, le livre qui était ma bible. À ma connaissance, Peter van Houten était la seule personne qui a) semblait comprendre ce que ça faisait de mourir alors que b) il n'était pas mort. Mon intervention a été suivie d'un long silence au cours duquel j'ai regardé se dessiner sur le visage d'Augustus un grand sourire, pas le petit sourire boiteux du garçon qui se la joue sexy, mais son vrai sourire, trop large pour sa figure.
– Mince, a-t-il dit tout bas. Tu n'es pas banale, toi, comme fille.”
C'est un livre qui, s'il parle du cancer n'est pas, comme on pourrait s'y attendre, triste et morbide. L'humour est très présent, malgré le caractère dramatique de l'histoire. Comme il est dit sur la quatrième de couverture “Alors qu'on craint ne ressentir que de la tristesse en le refermant, ce livre nous fait aimer la vie plus que jamais.” On pourrait le qualifier de “belle leçon de vie” mais je pense que c'est bien plus qu'une leçon de vie. Ce livre nous permet de nous rendre compte de la chance qu'on a d'être vivant ; oui, en fermant ce livre on se sent vivant, immortel : infini. À travers Hazel, on comprend son combat, sa lutte contre son cancer. Sa lutte contre elle-même. Bien qu'elle soit aussi adapté à un public plus mûr et averti, c'est une lecture idéale pour un(e) adolescent(e), car on s'identifie très facilement aux personnages. Hazel n'est pas qu'une cancéreuse, elle est aussi une ado comme les autres
Ce n'est pas un livre écrit pour les cancéreux ou les non-cancéreux ; c'est un livre dans lequel tout le monde peut se reconnaître. Qu'importe qui nous sommes, d'où l'on vient, la lecture de ce livre nourrit notre âme. Vers la fin du livre, il y a un moment où on s'arrête, et où on comprend. Quoi ? Pourquoi ? Je ne suis même pas sure que l'auteur le sache. Toujours est-il qu'on se sent plus riche intellectuellement parlant. C'est ce genre de livre qui nous suit toute notre vie, glissant ses mots dans notre esprit et nous faisant sourire dans n'importe quelle situation. John Green, s'il n'est pas encore très connu aujourd'hui, sera demain à la littérature pour adolescents ce que Harry Potter est à la littérature pour enfants. Ces livres qu'on relit 10 ans plus tard, ces livres qu'on redécouvre inlassablement, ces livres qui marquent nos esprits comme nous voulons marquer l'histoire.
Enfin, si je devais donner une note à ce livre sur une échelle de 1 à 10, je donnerais 9. Car, comme Hazel, je garde le 10 en réserve.
Lien : https://www.facebook.com/pho..
Nous avons pensé que ce livre est interéssant, avec une scéne finale très touchante. Une histoire qui prend au coeur. Certaines paroles du héros sont parfois très dures mais à la fois réelles. Nous vous le conseillons car ça permet d'ouvrir les yeux et de relativiser sur la vie de tous les jours.
M.S
L.V
M.S
L.V
Un livre étonnant et poignant. Trop jeunesse pour que ça ne soit un réel coup de coeur mais je suis très contente de cette lecture.
Que d'émotions & que de questions générées par ce livre!
Certes il s'agit d'une histoire d'amour mais l'auteur nous mène au-delà de la simple romance grâce à la tragédie & toutes ces choses auxquelles on ne pense pas notamment à l'idée de laisser une trace dans le monde. & puis malgré tout on voit qu'il est possible de garder la foi & de se battre afin de rester heureux même si c'est peu de temps.
Ce livre, je ne voulais pas le finir tellement j'étais bien dans sa lecture mais j'avais aussi hâte de connaître la fin. J'étais totalement dans ma bulle & je l'ai terminé sans même m'en rendre compte.
On est vraiment face à une jolie histoire qui nous maintient en éveil tout le long nous faisant sourire pour ensuite nous donner les larmes aux yeux.
Certes il s'agit d'une histoire d'amour mais l'auteur nous mène au-delà de la simple romance grâce à la tragédie & toutes ces choses auxquelles on ne pense pas notamment à l'idée de laisser une trace dans le monde. & puis malgré tout on voit qu'il est possible de garder la foi & de se battre afin de rester heureux même si c'est peu de temps.
Ce livre, je ne voulais pas le finir tellement j'étais bien dans sa lecture mais j'avais aussi hâte de connaître la fin. J'étais totalement dans ma bulle & je l'ai terminé sans même m'en rendre compte.
On est vraiment face à une jolie histoire qui nous maintient en éveil tout le long nous faisant sourire pour ensuite nous donner les larmes aux yeux.
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