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4,18

sur 17206 notes
A l'instar de la plupart des lecteurs/trices de "Nos étoiles contraires", ce livre n'a pas été un coup de coeur pour moi. Loin de là même, puisque jusqu'à peu près la moitié du livre, je n'ai pas trouvé l'histoire excellente, fameuse, extraordinaire etc. de l'humour oui mais sans que ce soit tordant non plus.

En revanche, j'ai juste totalement craqué pour les deux protagonistes de l'histoire. Hazel et Augustus. J'ai beaucoup aimé leur rencontre, leur attirance immédiate. Je suis tout de suite tombée sous le charme d'Augustus. Ce jeune homme qui voit la vie en rose (j'ai envie de dire) malgré tout. Et qui à ce "je ne sais quoi" de merveilleux. de sensible. de doux. L'homme de la situation (j'ai envie de dire encore). Je repense à tout ce qu'il à fait pour Hazel, c'était juste énorme. Et c'est ça aussi qui m'a beaucoup plu dans le livre. D'autant plus qu'ici on est loin des histoires roses bonbons ou les personnages principaux passent leur temps a se faire des mamours et se dire des "je t'aime" à tout bout de champ... Ici l'amour était présent, on le sentait mais sans tout le côté guimauve qui peut parfois être pompeux. Et la passion de la littérature qui les réunit encore plus, plus vite, j'ai trouvé ça intéressant et passionnant. D'ailleurs, je suis carrément triste que le livre de van Houten " Une impériale affliction" ne soit qu'une fiction... j'ai à chaque fois qu'ils en parlaient eu envie de le lire.

Je n'ai plus trop les détails en tête, mais, il y a aussi cette idée que l'auteur a glissé et que moi, j'ai trouvé vraiment bien tournée, élégante et très intéressante. Vous savez, quand Augustus met sa cigarette dans le coin de sa bouche et qu'il explique à Hazel, qu'en réalité il ne fume jamais cette cigarette, mais en ne l'allument pas il combat d'une certaine manière le cancer en général et pas seulement le sien. Quoiqu'il en soit, malgré un début un peu lent, des passages corsés (je fais là, référence au personnage de van Houten qui n'a pas toujours été sympa avec nos deux protagonistes voire jamais, et une fin des plus tristes qui soit, même si un peu prévisible quand même... J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre.
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Hazel Grace a un cancer de la thyroïde qui ne lui laisse aucun espoir sur une éventuelle guérison. Entourée de ses parents, et de quelques rares amis, elle essaie de vivre avec cette malédiction... Ses parents, inquiets pour elle, l'encouragent à participer à un groupe de parole pour adolescents malades. Bien que très peu motivée par ces réunions, elle s'y rend régulièrement et finit par y rencontrer Augustus, un garçon "canon", en rémission. Malgré l'attirance inexorable qui l'entraîne vers lui, Hazel résiste, sachant que cette histoire est vouée à une fin tragique. Mais, même quand la mort rôde, les sentiments et l'amour sont plus forts... La maladie est omniprésente dans le livre, certes mais avec le regard d'adolescents qui ont eu l'occasion de réfléchir sur ce qu'elle apporte et ce qu'elle retire à leurs vies...
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« Drôle, poignant, lumineux », « dévastateur », « intelligent et sensible »…

Les critiques dithyrambiques se succèdent dans la presse et sur la blogosphère pour encenser le dernier-né de John Green. Et de fait, ce roman mérite bien sa place de best-seller 2012 sur le podium du Time Magazine.

Beaucoup plus qu'un livre abordant le sujet du cancer, Nos étoiles contraires est une histoire d'amour, d'amitiés et de découvertes, une sorte de quête effrénée qui échappe à tous les stéréotypes de la littérature jeunesse. Les héros ne sont pas les plus beaux ni les plus populaires, juste deux adolescents atypiques que la maladie place l'un à côté de l'autre dans un groupe de soutien. Non seulement Hazel Grace Lancaster et Augustus Waters partagent le même humour noir, mais ils ont aussi une vision commune de la vie et de l'oubli. Pas de doute, ils se sont trouvés ! Leur mot de connivence et de tendresse n'est pas « je t'aime » mais « OK ». de là naissent les premières palpitations d'une idylle qu'un périple littéraire fera mûrir au cours d'un inoubliable séjour à Amsterdam.

À l'arrivée, ce sont deux héros qui, sans rien avoir accompli d'extraordinaire, parviennent à graver en nous un souvenir si fort que l'on se demande presque s'ils n'ont pas réellement existé.

John Green, dont l'inspiration a été nourrie par une expérience d'aumônier dans un hôpital pour enfants, mêle habilement l'émotion et l'ironie. Impossible de classer ce livre, c'est une aventure, une histoire d'amour, peut-être même une quête philosophique, seul le lecteur pourra se l'approprier et en juger.

Citation préférée : « Mais dans UIA [Une Impériale Affliction], Anna trouve que créer une fondation contre le cancer quand on a le cancer, ça frise le narcissisme. Alors, elle décide de créer une fondation qu'elle appelle Fondation Anna pour les Cancéreux qui Veulent Soigner le Choléra. »

Si vous cherchez votre prochain coup de coeur, essayez ce livre, c'est peut-être le bon !
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Quel magnifique histoire, j'ai dévoré ce livre. Mon coup de coeur !
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Ce livre est un véritable coup de coeur.
Je l'ai aime du début jusqu'à la fin c'est même la première fois que je pleure devant un livre il m'as véritablement touchée.
On s'accroche beaucoup au personnages surtout Augustus et Hazel.
On découvre beaucoup du cancers de la face caché on en s'attend vraiment pas a ce qui va ce passée c'est un roman qui vous redonne gout a la vie.

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Ce livre est purement et simplement une véritable leçon de vie !
On est accroché aux persnnages, on s'y attache, on aimerai juste faire quelqeus choses...
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J'ai démarré ma lecture en sachant que ça allait être difficile, à cause du sujet traité. Mais l'auteur a réussi à ne pas en faire un récit larmoyant, bien que j'ai versé quelques larmes. L'humour de Hazel, de qui nous avons le point de vue, permet de prendre du recul par rapport à tout l'aspect tragique de la situation évoquée. C'est très bien écrit, les pages défilent rapidement. Mais c'est extrêmement chargé au niveau émotionnel. Ce n'est pas un coup de coeur parce que ça a été difficile pour moi d'aller au bout, pas à cause de l'écriture mais vraiment parce que je suis très (trop ?)sensible. Mais ça aurait pu en être un.
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Ce livre est exceptionnel et c'est le premier à m'avoir fait (un tant soit peu) pleuré. Il nous fait passé qu rire au larmes en quelques lignes, en quelques mots.
Ce n'est pas juste une histoire d'amour, c'est plus, c'est autre chose, c'est beaucoup plus profond.
Ca nous prend à la gorge et ça ne nous lache pas avant un long moment. Meme apres la fin du livre.
On est tellement pris par le personnage, par l'histoire, qu'on en est boulversés.
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Nos étoiles contraires aurait très bien pu s'appeler le livre qui n'est pas encore sorti mais que toute la blogosphère a déjà lu (j'exagère à peine). Oui, ce livre a beau sortir que le 21 février, toute la blogosphère semble l'avoir déjà lu et adoré. En tant que digne petit mouton, il fallait absolument que je le lise. Pourtant je n'aime pas être dans l'effet vague (tout le monde aime Twilight et les vampires ? alors je n'aime pas !), mais ce livre m'attirait énormément tout d'abord car de il y avait de très bons avis mais aussi pour le thème qu'il traitait.

« Beaucoup de gens (y compris moi-même) n'aiment pas lire des livres tristes qui vont les faire pleurer. Ils s'imaginent, non sans raison, qu'il y a déjà suffisamment de tristesse et de pleurs dans la vie réelle. C'est pourquoi je dis à mes futurs lecteurs : « si vous n'aimez pas ce livre, vous pouvez me donner un coup dans l'estomac. » de John Green.
Cette citation de John Green correspond très bien à mon état d'esprit. En effet, j'évite de lire les histoires tristes (qui ne sont pas des témoignages), tout simplement car je pense qu'il y a assez de malheur dans le monde, alors à quoi bon en inventer ? du coup quand on répond à la fameuse question "Pourquoi aimes-tu lire ?" en lisant ce type de livre on ne peut pas répondre "Pour m'évader, découvrir un nouveau monde (...)". Alors au final, à quoi sert-il ? En refermant ce livre, combien de lecteurs vont faire un don pour les cancéreux ? Très peu, et je n'en suis même pas... Alors voilà les grandes questions que je me pose sont : pourquoi l'auteur a écrit ce livre ? & pourquoi, nous lecteur, avons-nous décidé de le lire ? (Réfléchissez-y et répondez-moi)

Mais entrons dans le vif du sujet, Nos étoiles contraires est un livre qui se savoure, comme un bonbon qui fond dans la bouche. Je l'ai lu donc avec lenteur et plaisir, tout simplement car je n'avais pas envie de savoir la fin. Mais pour moi ce livre est un livre qui se lit en deux temps, en deux lectures. La première lecture est pour l'histoire en elle-même, les sentiments, la découverte ; puis une deuxième lecture est nécessaire pour bien comprendre tous les messages que cherchent à nous faire passer l'auteur.

Hazel Grace & Augustus sont nos deux héros. On apprend à connaitre leurs souffrances et leurs combats, mais aussi leurs joies et leurs triomphes. On apprécie les personnages non pas car ils souffrent - l'auteur ne veut pas qu'on ait pitié d'eux - mais pour leur caractère et leur personnalité. Je me suis laissé plonger dans le livre avec une facilité déconcertante pour un thème pareil, et aux côtés d'Hazel et Gus j'ai passé un moment très fort. de plus, ils apportent une bonne dose d'humour au livre, un peu décalé. La preuve : j'ai presque autant rit que pleurer !

Nos étoiles contraires n'est pas un livre sur le cancer, c'est une ode à la vie. le cancer n'est donc pas en soi le sujet principal du livre. Ce roman m'a énormément fait réfléchir, mais il ne m'a pas bouleversé à proprement parler. Ce livre donne une leçon de vie incroyable... pour ceux qui n'en ont pas encore compris la véritable valeur. Or, je savais déjà la chance que j'avais d'être en vie...

En refermant Nos étoiles contraires, j'ai compris que ce livre n'était pas pour les personnes atteintes du cancer. Ce livre nous bouleverse à nous, lecteur en bonne santé (ou du moins n'ayant pas de cancer), pas à ceux qui en ont vraiment besoin. C'est donc ce que je reproche à l'auteur, j'aurais préféré que ce livre s'adresse (et touche) les cancéreux, car ils en ont mille fois plus besoin que nous. de plus, est-ce-que les fonds de ce livre reviennent à une association qui lutte contre le cancer ? Non. Ce livre nous apprend à vivre, à apprécier la vie à sa juste valeur, mais je doute sincèrement qu'il puisse aider les cancéreux, leur redonner espoir - au contraire.

Quant à la fin, elle est magnifique. C'est une fin légèrement ouverte, nous laissant imaginer la suite. Mais elle aurait pu être encore plus belle (selon mon propre avis), en effet l'auteur aurait pu finir dans un coup d'éclat : (SPOILER) j'aurais aimé qu'il raconte la fin du combat d'Hazel, son inexplorable déclin, et que l'histoire se termine en plein milieu d'une

J'ai apprécié le côté juste et authentique du roman, John Green ne cherche à aucun moment à embellir la réalité. Je lirais avec plaisir d'autres romans de cet auteur !

En résumé : Nos étoiles contraires est une perle, un énorme coup de coeur pour moi. C'est un livre à lire par tous les moyens (surtout pour ceux qui n'ont pas compris la valeur inestimable de la vie), armé d'un paquet de mouchoirs. John Green nous offre avec ce roman une histoire émouvante et poignante qui bouleversera votre vision de la vie.
Note : 20/20 ♥♥

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J'ai commencé ce livre en connaissance de cause après avoir lu quelques avis sur différents blogs. Mais je ne m‘attendais pas à un tel bijou. L'approche du thème est parfaite et le style impeccable.
Je me disais qu'un livre qui aborde un sujet aussi difficile que la maladie et la mort chez des enfants, ouvrait facilement la voie à l'émotion voire au pathos. Et bien John Green a réussie à en faire quelque chose de beau, de fort et surtout de profondément « vivant ». Tout est là pour nous donner envie de connaître personnellement Hazel et Augustus, ces êtres d'exception qui nous apprennent à nous adultes les bonheurs de la vie, les désillusions, l'amitié et même l'amour.
On pourrait parler de courage aussi, mais les deux héros ne seraient pas d'accord. Ils ne trouvent aucun courage à combattre un mal que leur propre corps a fabriqué et héberge. Quelle claque ! L'approche de la maladie est ici presque prise à la légère, on s'en moque, on en parle comme d'un proche présent en permanence. On ne peut être que touché de voir ces enfants parler de leur cancer. le ton est adapté d'ailleurs, en fonction qu'ils en parlent avec leur famille ou avec leurs amis malades aussi. Avec les premiers c'est plus sur un ton résigné, avec les autres c'est plus… caustique.
Ce qui fait la force de ce livre pour moi, c'est que John Green n'essaie pas de nous tirer les larmes tout le long de l'histoire. J'ai même parfois souris, oui, avec le ton d'Hazel lorsqu'elle explique comment le cancer envahit un corps par petit bout pour savoir s'il l'aimera et quand c'est le cas se l'approprie en entier, ou lorsqu'Augustus garde son éternelle bonne humeur et son charme dévastateur malgré tout, et quand Hazel explique que eux, cancéreux, en ont marre d'être « cataloguer » sans cesse dans la catégorie cancer et parle de cette jeune malade du cancer qui avait choisi de créer une association pour l'aide aux malades d'une toute autre maladie juste pour montrer que leur maladie n'est pas leur personnalité.
Mais le cancer c'est aussi « les autres ». Nos deux héros souffrent plus de voir leurs proches qui doivent « s'habituer » à leur prochain départ. Quand ? Comment ? C'est une épée de Damoclès en permanence sur leurs têtes. J'ai été très émue de suivre la douleur des parents d' Hazel et Augustus impuissants face à ce sort funeste et inévitable. Et on se dit que dans ce cas, les parents d'Hazel sont un réel exemple à suivre tant leur courage (pour le coup eux en ont beaucoup) et leur amour pour leur enfant sont de vrais éléments de soutien pour le malade.
Quelle leçon ! C'est sur ce point également que cette histoire est utile et intelligente. Qu'attendent de nous, parents, ces enfants malades qui vont nous quitter prématurément ? Comment les considérer ? Comme des malades ? Des mourants ? Faut-il leur insuffler la force de combattre la maladie ? Ou de vivre avec ?
J'ai pleuré aussi, oui… de grosses larmes d'émotions comme rarement un livre a réussi à m'en faire couler, car cette horrible maladie c'est aussi des moments d'espoir lorsqu'il y a de petites périodes de rémissions mais aussi des moments où tout s'écroule, et ici sans en dire davantage, des évènements tragiques arrivent brutalement comme cette maladie a le don de le faire.
Nos étoiles contraires fait partie de ces livres qui vous marquent, qui ne peut laisser personne indifférent. Venez découvrir Hazel et Augustus, leurs familles et leurs amis. C'est un vrai coup de coeur !

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