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En raison d'un fait divers impliquant une personne qu'il a connu, le narrateur se remémore un passé perdu et tente de le faire revivre. Tout lui revient, la rencontre, les errances sur le toit de la ville, les instants inoubliables de la banalité et les petites expériences insolites qui prennent des nuances d'extraordinaire. Et puis la disparition, la recherche vaine de l'inconnue qu'il a coutoyé l'espace de quelques instants qui ont laissé leurs traces. Et s'il avait une deuxième chance vingt ans plus tard de la retrouver? Sa personnalité énigmatique lui revient et attise sa nostalgie. Épluchant les journaux, faisant appel à ses souvenirs, il refait le chemin inverse dans Paris en quête de son passé. Poésie.

Pendant ce temps, dans les pensées du narrateur l'histoire présente de la jeune femme se construit, dans les Dolomites, en Italie. Un rêve, un fantasme? Un endroit ou l'imagination peut se laisser aller, la liberté comme symbole de cette jeune femme disparue.

Cette lecture met l'accent sur l'importance des choses simples de la vie, la sensation de liberté liée au sentiment d'un évènement unique.
J'ai aimé le rapport de l'auteur aux relations silencieuses et l'analyse qu'il en a; l'acceptation de prendre en considération tout ce qui se dit entre les mots. On se situe dans la contemplation, dans l'acceptation du hasard et du vide.
Les rencontres sont fortuites c'est dans cela que l'histoire prend sa forme unique. Il n'est pas nécessaire de vivre des évènements extraordinaires pour qu'ils soient marquants tout comme il n'est pas nécessaire de les provoquer pour les vivre, il suffit parfois juste de les recevoir et de les laisser se construire.
C'est dans un rythme calme (peut être un peu trop parfois?), emprunt de sérénité et de résignation optimiste que se déroule ce livre avec un sentiment de lâché prise de l'auteur, une aura de sérénité dans l'écriture.

Une belle découverte pour cette entrée littéraire qui s'est réalisée dans le cadre des masses critiques de septembre 2018.
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C'est le mot Dolomites qui m’a fait aller vers ce roman d'un auteur que je ne connais pas. L'écriture est poétique, de petits détails attendrissants. Comme dans les premières pages où une miette de croissant tombe sur un encadré du journal qui l'oblige à le lire. Sous cette miette, on y parle d'une femme qui aurait un lien avec un couple retrouvé morts attachés au fond d'un précipice. Il reconnaît Federica, celle qu'il a connu, voici 20 ans. La nostalgie vient à lui qui le ramène, entre autre, sur les toits de Paris. J'ai été déroutée par la façon dont l'intrigue se déroule. Les arguments, quant à leurs morts, ne m'ont pas convaincue. le début était pourtant prometteur.
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***

Alors qu'il est tranquillement en train de manger un croissant devant son journal, le narrateur voit apparaître dans un des articles, le nom de Federica Bersaglieri. Cette femme, il l'a rencontré il y a plus de 20 ans à Paris... Ils ont passé une semaine à flaner sur les grands boulevards, chiner chez les bouquinistes ou les antiquaires, déguster des cafés en terrasse tout en regardant les passants... Elle a disparu sans qu'il ne puisse la retenir. Comme un songe... Il part alors à la recherche de ses souvenirs, mais il tente également de comprendre le lien qu'elle peut avoir avec ce couple d'architectes italiens retrouvés morts au pied d'une montagne...

Je ne connaissais pas Mark Greene avant de lire son dernier roman, sorti lors de cette rentrée littéraire.

L'histoire qu'il nous raconte ici est très poétique.
Le narrateur se souvient d'une femme qu'il a rencontré 20 ans auparavant, par un été où la chaleur le clouait dans son petit appartement sous les toits. Lui, le jeune homme solitaire, qui a perdu ses rêves d'écriture, se voit entrainer par une femme pétillante, originale et impulsive. Sur les toits de Paris, ils vont contempler les paysages, le soleil et apprécier la douceur des nuits...

Rattrapé par ce passé, le narrateur revient sur cette femme qui l'a marqué et sur son absence. Il se plait alors à imaginer la rencontre qu'elle a pu avoir là-bas, en Italie, avec ce couple d'architectes, et leur prête une fin imagée et douce.

C'est avec une écriture toute en finesse, toute en fluidité, que Mark Greene nous emmène dans son univers. Une lecture particulière, comme suspendue...

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Grasset pour leur confiance...
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Elle est petite, brune, avec un délicieux accent italien. Elle est apparue comme ça dans la vie du narrateur et a chamboulé son cours. Avec elle, il respire, il joue, il rit, il découvre, il boit, il déguste la vie par tous les sens. Elle est « élémentale », elle lui fait retrouver les sensations primaires de l'eau, du vent, de la terre. Elle est vivante et libre.
Mais telle il l'a croisée, telle elle disparaît.
Aussi bien des années après, quand un beau matin, à l'heure du croissant et du journal, il découvre un article narrant la mort d'un couple d'architectes et la disparition de la personne les accompagnant, il reconnaît en elle, Federica Ber. Il se met alors à acheter tous les journaux parlant de ce drame et essaie de reconstituer les morceaux du puzzle.

C'est une histoire troublante, déroutante et d'une grande fraîcheur qui vous donne envie de quitter le ronronnement de votre quotidien et de vous lancer à la poursuite de la vie. de la vie qui est partout : dans les parcs et jardins, dans un verre de vin, dans les petits commerces ou les grands boulevards parisiens, au sommet des immeubles ou dans les Dolomites italiennes. C'est un livre qui vous invite à regarder autour de vous et à contempler les petites choses, à vous dépasser dans votre quotidien ou à vous séparer de l'inutile.

C'est doux, frais et tendre et c'est si bon à lire ! Goûtez et vous verrez...

Un grand merci à Babelio et aux éditions Grasset pour cette immersion littéraire poétique.

Lien : http://mes-petites-boites.ov..
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Federica Ber Mark Greene Grasset 22 août 2018.
Paris, il a remonté le journal, deux croissants et savoure son café du matin. Son regard s'attarde sur un fait-divers, la découverte d'un couple dans les Dolomites italiennes . Accident, suicide? Seule la personne qui les accompagnait au moment où ils sont partis en randonnée pourrait le dire mais elle demeure introuvable. Elle a été identifiée et se nomme Federica Bersaglieri . Et ci c'était sa Federica?....20 ans se sont écoulés depuis leur brève rencontre un mois d'été à Paris. Mais tous les souvenirs de ces moments exceptionnels sont gravés dans sa mémoire. Carnet à la main il commence à mener son enquête, à essayer de comprendre ce qui a bien pu se passer, il imagine et se souvient.
J'ai beaucoup apprécié la plume de Mark Greene, il émane de ces pages une tendre mélancolie pleine de la nostalgie d'une jeunesse à jamais enfuie, une jeunesse où amour ne rimait pas avec toujours mais avec liberté. Un bien joli texte.

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Mark Greene, Federica Ber - 2018

Cela commence par des croissants et un journal que l'on achète un matin et qui nous ramènent des souvenirs d'un passé lointain.

Dans le temps actuel, Umberto Belazzi et Phaedra Lyle sont retrouvés morts attachés l'un à l'autre, tombés dans le vide. C'est du moins ce que le narrateur peut apprendre par les journaux du jour. Une certaine Federica les accompagnait. le narrateur se questionne, se remémore sa rencontre et le temps passé vingt ans auparavant avec une certaine Federica, originale, proche de la vie. Est-ce la même ?

Le roman ne serait pas inintéressant mais on décroche quand l'auteur perd le point de vue limité du narrateur qui essaie d'en savoir plus via les journaux pour nous mettre en présence des trois personnes disparues. Cela manque de cohérence à mon avis même si la narration est intéressante. On pourrait passer outre cet accroc mais le dénouement ne nous réconcilie pas. Nous ne saurons rien du tout ! On pourrait applaudir au mystère entourant Federica et savoir que l'on ne sait pas toujours tout d'une histoire, mais on a plutôt l'impression d'une finale en queue de poisson et on reste sur notre appétit. Évanescence de la vie peut-être, mais j'attends plus d'un roman !
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Furtive et insaisissable – à tel point qu'on se demande presque s'il ne s'agit pas d'une apparition… Federica a pourtant laissé une empreinte indélébile dans la mémoire du narrateur qu'elle a, jadis, brièvement initié à l'insouciance et aux déambulations contemplatives, dans les rues et sur les toits de Paris. Vingt ans plus tard, elle refait brusquement incursion dans la vie de celui qui se présente lui-même comme un professeur de français et écrivain raté, solitaire et désenchanté. En lisant son journal, il apprend en effet qu'une certaine Federica Bersaglieri est suspectée en lien avec la disparition mystérieuse d'un jeune couple d'architectes dans les Dolomites. Aussitôt, les souvenirs surgissent et poussent le narrateur à mener l'enquête : qui était-elle vraiment ? Qu'est-elle devenue ?

Autant le dire tout de suite, je n'ai pas été transportée par l'extravagance et par les invitations peut-être un peu convenues de Federica à la légèreté et à la prise de risque – ne trouvant, il faut bien l'admettre, rien de tout cela extraordinaire au point de rester si marquant vingt ans plus tard. Rien qui ne donne envie de cultiver son goût du risque et de repousser ses limites en bravant des précipices surplombant Paris ou de vertigineux sommets italiens… Ces souvenirs sont, certes, probablement sublimés par la fascination entêtante exercée par la jeune femme sur le narrateur. Frêle et forte, avec son goût pour les hauteurs, son blouson de cuir et ses discours existentialistes, Federica pourrait être un personnage de cinéma des années 1970. Les escapades littéraires dans lesquelles elle entraîne le narrateur ont le même charme un peu désuet.

Le fil de pensée du narrateur est restitué avec finesse et sensibilité par la belle plume de Mark Greene, avec ses méandres, ses incursions dans le passé teintées de mélancolie. Récit, extraits de journaux, souvenirs, spéculations et l'écriture retrouvée du protagoniste s'entremêlent et finissent par se fondre. Le mystère ne se dissipe guère plus que ce que dévoile déjà copieusement la quatrième de couverture. La fin du roman, suggestive et empreinte de mystère, m'a donné l'impression de m'être fait prendre par un trompe-l'oeil, me donnant l'occasion de partager intensément la frustration du narrateur : moi qui avais envie de connaître le fin mot de l'histoire, j'ai finalement eu le sentiment que l'intrigue offrait plutôt un prétexte à des réflexions sur la solitude, le hasard, le processus d'écriture, le sens de la vie et le temps qui passe…

Un grand merci aux éditions Grasset, à Babelio et à l'opération Masse Critique consacrée à la rentrée littéraire 2018 !
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Le plaisir de découvrir l'écriture de Mark Greene avec son dernier roman "Federica Ber". Un roman que je vous recommande !
Alors qu'il parcourt le journal du matin, un homme est surpris par un article : dans les Dolomites, un couple vient d'être retrouvé mort au pied d'une muraille rocheuse.
Son attention est retenue par le nom de la tierce personne qui accompagnait le couple, une certaine Federica Bersaglieri.
Ce nom et ce prénom le transportent vingt ans en arrière. Alors étudiant à Paris son quotidien avait la tristesse et la banalité des matins gris de solitude. Il avait rencontré une jeune femme portant ces nom et prénom.
Avec une Federica éprise de liberté, ils avaient parcouru les toits déserts de Paris, mangé sur les terrasses condamnées rendues accessibles grâce à la débrouillardise de Federica, refait le monde en buvant des verres de vin sous les étoiles ou dans les bars enfumés, imaginé des lendemains qui chantent, joué des parties endiablées dans les salles de jeux vidéo qui fleurissaient dans la capitale et ailleurs…
Il cherche dans ce fait divers mystérieux la femme qui l'avait transformé qui l'avait rendu heureux, quelques heures, quelques jours, à jamais peut-être ?
J'ai aimé suivre Federica, cette boule d'énergie si singulière qui réveille ce jeune homme triste… Découvrir dans un espace-temps comme ancré dans le présent ces instants d'un bonheur unique et si différent qu'il vous transporte une vie entière et vous change irrémédiablement, même lorsque ne reste en vous qu'un souvenir fugace d'un moment de vie, de liberté et de légèreté.
Il y a beaucoup de poésie dans l'écriture, l'évocation des sentiments, la présence vivifiante de Federica et cette façon qu'à l'auteur d'arrêter le temps. Merci Mark Greene pour le bonheur de découvrir ce roman !
Lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire
https://domiclire.wordpress.com/2018/10/31/federica-ber-mark-greene/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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La Feuille Volante n° 1342 – Avril 2019

Frederica Ber – Mark Greene – Bernard Grasset.

A Paris, un homme ordinaire dont nous ne saurons même pas le nom, le narrateur, mène une vie solitaire sans grand intérêt. Un matin, en lisant le journal, il apprend qu'en Italie, dans le massif des Dolomites, on a retrouvé deux personnes mortes, un homme et une femme, attachés l'un à l'autre, au pied d'une muraille rocheuse abrupte. Elle, Phaedra, était d'origine écossaise et lui, Umberto, Italien, architectes tous les deux à Rome. le fait qu'ils soient ainsi liés entre eux conduit la police à soupçonner un crime rituel, un assassinat, ou un suicide, mais suspecte également une randonneuse qui a été aperçue avec eux et qui a disparu. Son nom est seulement révélé, Frederica Bersaglieri, sans aucune photo ni aucune autre précision. Or ce parisien croit se souvenir que ce nom correspond à une femme qu'il a connue vingt ans auparavant et dont le souvenir s'est incrusté dans sa mémoire, comme une trace indélébile, malgré le temps passé. Elle avait à l'époque une vingtaine d'années, c'était l'été et elle l'avait invité, l'avait en quelque sorte dragué et lui s'était laissé faire, innocemment, presque naïvement, profitant de l'instant présent en se demandant où tout cela allait le conduire (Bersaglieri veut dire tirailleurs en italien!). Ensemble ils avaient bu du vin dans les petits troquets de la capitale ou sur les grands boulevard, exploré les boutiques des bouquinistes et les vieilles brocantes, tutoyé le vide, passé ensemble une nuit sage à la belle étoile sur les toits de Paris, mangé des croissants chauds à l'aube ... mais il n'y a pas eu entre eux de rapports charnels. Il a eu soudain une envie folle de la retrouver. Il y avait quelque chose d'énigmatique chez cette femme, son côté intrépide, espiègle, dirigiste qui avait un temps bousculé sa vie de reclus volontaire. Puis, après une semaine, elle avait disparu. Pour le narrateur, cette femme était évanescente mais aussi une sorte d'invitation à sortir de sa routine esseulée. Parce que le souvenir qu'elle lui a laissé est encore vivace et que les circonstances de la mort de ce couple reste un mystère, il imagine ce qu'aurait pu être sa rencontre avec Phaedra puis avec Umberto dans la montagne italienne, il procède a ce même type de transfert, comme si Frédérica était, pour chacun d'entre eux, une invitation à une nouvelle vie. Tout a son souvenir, et persuadé qu'il s'agit de la même personne, le narrateur explore internet, les reportages, la presse italienne pour en savoir davantage sur cette femme inconnue, savoir si elle a survécu dans cet univers montagneux, si c'est bien elle qui fut son fantôme, vingt auparavant, mais il s'agit malgré tout d'un fait divers, vite gommé par l'actualité internationale
Nous sommes dans une fiction et il est loisible à l'auteur d'en tisser les contours. Il y intègre les rencontres, dues au hasard, à une éventuelle destiné et qui décident parfois d'une vie avec bonheur ou drame. Ici celle du narrateur et de Frederica mais aussi celle qu'il imagine entre cette jeune femme hypothétique et ce couple d'architectes. Il y a beaucoup de développements sur ce thème. Elles sont parfois de simples entrevues éphémères, aléatoires ou au contraire pérennes et le roman se décline en différentes analepses. Les unes correspondent à la réalité, s'inscrivent dans Paris, ses coins secrets, ses squares, ses rues pleines de gens pressés et les autres qui ne sont que le fruit de l'imagination de l'auteur entraînent le lecteur en Italie. Cela j'ai bien aimé à cause du dépaysement. J'ai apprécié aussi que cette semaine d'été se décline sous le sceau d'une amitié un peu bizarre qui ne se termine pas banalement dans un lit, avec descriptions érotiques, plaisirs, déceptions, illusions, serments qu'on jettera aux orties le moment d'exaltation passé. Cela on ne l'a que trop lu. Les relations entre un homme et une femme qui ne se concluent pas par une passade m'ont toujours étonné. L'auteur dessine les apparences d'une sorte de roman policier et en tire le fil imaginaire, mettant en situation Frederica et Phaedra puis Umberto qui se retrouvent, mais je n'ai pas pu m'empêcher d'y voir quelques longueurs, toujours désagréables pour le lecteur. En revanche le regard que porte Frederica sur les choses et sur les gens, prend une dimension différente, inattendue, mystérieuse. Quand elle part pour l'Italie, le narrateur se sent encore plus seul et, pour la retrouver accomplit des gestes rituels un peu fous qui évoquent leurs rencontres dans les rues et les quartiers parisiens, comme une supplique au hasard, comme si cela suffisait à la faire réapparaître. Ce que je retiens aussi c'est la grande solitude de cet homme, comme une réaction au monde extérieur où il n'a pas sa place et qui gardait intact, dans sa mémoire, l'épisode estival avec Frederica.
J'ai pris ce livre que le hasard m'avait désigné sur les rayonnages d'une bibliothèque, comme c'est souvent le cas. Au début je l'ai lu avec curiosité et même un certain plaisir à cause du style fluide et des images poétiques agréables, mais l'épilogue m'a un peu déçu, sans que je sache vraiment pourquoi. M'attendais-je à autre chose, une autre fin était-elle possible nonobstant le contexte de la fiction, l'auteur m'avait-il emmené si loin que j'imaginais autre chose, entre réalité, fantasme, poids du passé, regrets de la vie et attirance vers la mort, nostalgie et solitude… ?

©H.L.

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Une histoire dans les hauteurs mais qui en manque. Zut !

Un homme part à la recherche de ses souvenirs, sur la piste d'une disparue.

Il m'a perdu en chemin
Lien : http://noid.ch/federica-ber/
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