AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,02

sur 58 notes
5
1 avis
4
9 avis
3
3 avis
2
3 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
« de l'irruption du mal dans le quotidien, aucun d'entre nous n'est à l'abri. Il y a une démarcation, un avant et un après. » (p. 179) Entre 1968 et 1985, l'Italie a tremblé devant les crimes atroces perpétrés par le Monstre de Florence. « Seize morts, des couples assassinés pendant leurs ébats amoureux. » (p. 13) Si un suspect a été arrêté, il s'est avéré qu'il n'était pas le coupable. Ainsi, le Monstre n'a jamais été appréhendé par les forces de l'ordre. Trente ans plus tard, quand de nouveaux meurtres tout aussi cruels sont accomplis, la ville tremble à nouveau. « Florence est une ville merveilleuse. Ici plus qu'ailleurs, le sang a coulé avec magnificence. Savez-vous que c'est là que les premières sociétés secrètes italiennes ont vu le jour ? » (p. 61) Jacopo D'Orto, le capitaine des carabiniers, reprend l'enquête et soupçonne rapidement Miles Lemoine, professeur d'histoire américaine au comportement d'autant plus suspect que sa fille a disparu. Parallèlement, on découvre l'existence d'un groupe au rituel secret, entièrement dévoué à la Vierge Noire. Et on cherche le lien entre un tableau de Botticelli, une chanson des Beatles et un tristement célèbre tueur en série américain.

Les narrateurs changent à chaque chapitre. La voix du capitaine se confond avec celle du professeur, avec celles des nombreuses victimes et celle du tueur, qui se surnomme Légion. « Qui suis-je ? Mon nom change pour les siècles des siècles. Mais toujours on m'appelle Légion. » (p. 62) Avec cette référence biblique, le tueur signifie que son visage est multiple et qu'il est impossible à arrêter parce que, toujours et partout, de nouveaux monstres se lèveront pour faire couler le sang. « le mal se cachait dans les plis du réel, attendant tranquillement son heure. L'heure a sonné. le massacre peut commencer. » (p. 319) J'ai ressenti une grande compassion pour Miles Lemoine, ce veuf tourmenté qui craint tellement qu'il arrive malheur à sa fille. Brisé par la mort de son épouse, hanté par un passé violent, Miles est un personnage ambigu fascinant et émouvant. « Revenir de chez les morts n'est pas la même chose qu'être vivant. » (p. 84)

Il y a quelques années, j'avais lu Étoiles : ce roman de Simonetta Greggio m'avait laissé une impression plutôt négative. Rien de tel avec Black Messie. Pourtant, les thrillers sur fond de complot et de religion ne sont pas ma tasse de thé. Mais ce roman est très difficile à lâcher. C'est autant le fait de la construction qui tient en haleine que du style qui est précis, voire cinglant, tout en étant extrêmement visuel et cinématographique. « Une rose sortit de la bouche de la crucifiée et roula aux pieds de Jacopo, qui se pencha pour la ramasser. Il n'en fit rien. Il attendit que ses larmes cessent, accroupi près de la morte, main tendue vers la fleur flétrie. » (p. 15) Ne cherchez pas de ressemblance avec Da Vinci Code, le roman de Simonetta Greggio est bien plus subtil et bien plus glaçant. Et qu'on se le dise, « Tout est abject aux yeux des abjects. » (p. 24)
Commenter  J’apprécie          131
Greggio Simonetta
Black Messie
Au départ on s'attend à un policier ou un thriller, on est un peu dérouté. Chaque chapitre est nommé par des personnages totalement différents, Miles, Légion, H.S., Jacopo. Que vont-ils faire ensemble ?
Pourtant dans la très jolie Toscane et surtout Florence, cet endroit si charmant que tant de touristes aiment, ces paysages magnifiques, que pourrait-il se passer ?
Une série de meurtre sanglants, horribles s'y déroulent, des couples souvent, ce n'est pas horrible, c'est pis. Les tortures de l'inquisition ne sont rien à côté de cela.
Nous sommes actuellement et étrangement, ils ressemblent à d'autres qui se sont passés entre 1968 et 1985, à l'époque, pas d'Adn, pas de service RIS, alors, pourquoi cela recommence ?
Qui est donc ou qui sont-ils ceux qui poursuivre cette macabre série ?
Celui qui à l'époque avait été soupçonné est mort depuis bien longtemps. A l'époque on l'appelait « le monstre », qui est le suivant ?
Cette histoire a inspiré le film « le silence des agneaux », vous comprendrez le côté terriblement macabre de cette histoire .
Jacopo d'Orto, capitaine des carabiniers, presque à la retraite, va tenter de mener l'enquête. Il va trouver Miles un professeur américain venu enseigner à Florence, énigmatique. Mais sa fille de 17 va disparaitre, et ce professeur a aussi des démons qui le rongent.
Ce capitaine va chercher, fouiller, il s'avance dans ces mystères italiens vieux de la renaissance, des références au superbe tableau de Botticelli, car si l'on le regarde bien, (il y a tout un chapitre), on peut interpréter chaque parcelle de ce tableau. il va de soit que l'histoire ici, ne sera pas contée sinon le livre n'aurait plus d'intérêt
Ce livre est donc basé sur une histoire vraie (références fin de ce petit récit), mais l'auteure, y met sa touche tout à fait personnelle, et nous fait voir, si l'on veut bien entendu, en y regardant de plus près, certaines facettes de la société.
Par contre, un avis petit personnel, les style est très cru, à la limite du vulgaire par moments, les descriptions sont à faire vomir, et par contre certains chapitre montre la beauté de la Toscane, à un tel point que si l'on a vu des images, ou si l'on y est allé, on voit le paysage.
Petit extrait du livre :
(En le lisant, c'est l'énigme, c'est là qu'il faut voir ce que l'auteur outre le roman en lui-même veut nous faire comprendre)
« Depuis toujours nous pourvoyons. Nous nous perpétuons dans la dégradation des idéaux et dans l'aveuglement consenti. Ne pas intervenir, c'est dans l'ascension vers les hautes sphères et vous voilà complice. J'en sais quelque chose, toute ma vie aura été un long apprentissage du mal. Pour lequel il faut du sérieux, des principes et de la profondeur. le pourcentage de saints sur cette terre est exactement le même que celui des grands criminels. Une intelligence hors norme, de la constance, de la détermination et une vision ample du monde sont les qualités requises pour intégrer ces partis extrêmes. On vous l'aura dit et répété, vous êtes « des brebis au milieu des loups. Soyez prudents comme les serpents et simples comme les colombes », mais que faites-vous de vos Ecritures ? Vous n'êtes que nos proies, distraites par des querelles de territoire, des chicanes de brins d'herbe, tandis que nous planons, prélevant notre dîme parmi vous selon nos besoins.
Qui suis-je ? Mon nom change pour le ou les siècles. Mais toujours : on m'appelle LEGION »
Addendum … pour celui que cela intéresserait et connaître l'histoire vraie du Monstre, un site détaille au fil des années avec photos à l'appui, de toute cette histoire…..users.skynet.be : dossiers criminels : le monstre de Florence : la plus grande affaire criminelle italienne et bien sûr wikipedia

Commenter  J’apprécie          100
Il m'a fallu du courage pour aller au bout du roman de Simonetta Greggio Black Messie. J'avais lu d'elle Les Nouveaux monstres et cela avait été une lecture agréable autour de ces hommes politiques et de pouvoir d'Italie.
Black Messie est un livre monstrueux dans l'acceptation littérale du mot.
Simonetta Greggio prend comme décor de son roman Florence, dans laquelle un serial killer tue ( le mot est gentil ) filles et garçons. Ces meurtres ressemblent étrangement aux meurtres de 7 jeunes couples dans les collines de Toscane entre 1968 et 1985.
Le meurtrier appelé le monstre de Florence n'a jamais été arrêté. Serait il lui qui serait de retour 30 ans après .
Pour son enquête, Simonetta Greggio s'appuie sur le caporal Jacopo d'Orto, sur Miles professeur de littérature américaine, sur Indiana la fille de Miles, sur Nonnie, Nino, Légion ou encore HS. L'enquête et la poursuite du meurtrier est vu au travers de ces personnages avec leur point de vue.
Cela devient vite confus car à ces personnages s'ajoute la CIA, les sociétés secrètes comme les Croix Rouges, un peu de Renaissance , l'album blanc des Beatles ou encore l'assassinat de Sharon Stone par Charles Manson.
Bien évidemment les meurtres peuvent être qualifiés de gore, sexuel, satanique etc....
Voilà un roman d'une grande confusion sans colonne vertébrale et pataugeant dans une violence effrénée.
Cela flatte-t-il le morbide , le voyeurisme, notre côté obscur.
Je fuis.
Commenter  J’apprécie          80
Après avoir lu, et avoir été déçue, par "Étoiles" et "Les mains nues" j'avais dit plus jamais du Simonetta Greggio.
Comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, j'ai décidé de laisser une ultime chance à cette auteur avec son nouveau roman, une enquête policière sur fond de meurtres sanglants à Florence (Florence, ah Florence !).
Et le miracle a eu lieu !
Quand Simonetta Greggio décide de se lancer dans le policier ça lui réussit !

Ce roman avait déjà deux atouts pour me plaire : en premier la couverture, un détail du "Printemps" de Botticelli ; en deuxième le lieu de l'action : Florence, une ville que j'aime énormément.
Mais ici, il n'est point question de Florence la magnifique mais plutôt de Florence la maléfique : "Une ville à rhizomes, comme le mal qui renaissait régulièrement de ses entrailles. Mais une ville qui avait imposé la langue Toscane à l'Italie entière.".
En matière de mal, il est question de l'affaire du Monstre de Florence, une série de sept double meurtres ayant eu lieu entre 1968 et 1985 et dont le ou les meurtrier(s) restent inconnu(s) à ce jour.
A noter que le Monstre de Florence a inspiré le personnage d'Hannibal Lecter créé par Thomas Harris.
Mais l'histoire se situe à notre époque et une série de doubles meurtres vient rappeler à tous celle du Monstre de Florence.
Le Monstre est-il revenu ou bien est-ce un imitateur ?
Pour mener l'enquête, Simonetta Greggio met en scène le capitaine des carabiniers Jacopo d'Orto, un homme honnête qui n'a pas eu la carrière qu'il méritait et qui aujourd'hui est proche de la retraite.
Et puis elle entrecoupe l'enquête par des chapitres consacrés à un professeur d'histoire américaine au lourd passé dont la fille adolescente vient de disparaître (fugue ou enlèvement ?), ou encore par les confessions du mystérieux Légion.
Simonetta Greggio a su créer des personnages forts à la psychologie très fouillée, son Jacopo est attachant par son honnêteté, sa droiture, sa volonté d'enquêter et de faire éclater la vérité au grand jour ; quant à son professeur Américain il traîne derrière lui un lourd passé dont l'écho résonne encore aujourd'hui.
Les personnages masculins sont particulièrement bien mis en avant, j'ai également beaucoup apprécié le personnage féminin secondaire de la médecin/biologiste légiste.
Simonetta Greggio m'avait auparavant déçue avec son style à l'eau de rose, ici il n'en est plus question car elle a recours à un langage cru et n'hésite pas à décrire, et à détailler, des scènes bien gores.
Elle a osé et cela lui a réussi à merveille.
Je ne reprocherai qu'une chose à ce roman c'est sa fin un peu bâclée car trop rapide, quelques questions restent sans réponse, le tout est expédié en quelques phrases et cela a légèrement terni ma bonne impression d'ensemble.
A moins que l'auteur n'ait en tête de réutiliser les personnages dans une autre enquête.
Je suis aussi mitigée sur l'explication donnée au comportement du tueur, en lien avec Charles Manson - qui décidément a suscité l'intérêt chez les écrivains en cette rentrée - et l'assassinat de Sharon Tate.
C'est la seule grosse ficelle dans ce roman qui m'a laissée sceptique.
Je parlais auparavant de la couverture que je trouvais très belle, sachez également qu'elle est très bien choisie mais pour cela il vous faudra lire ce roman, tout comme pour savoir le lien qu'il y a entre l'enquête et une chanson des Beatles.

"Black Messie" est un très bon thriller mené de main de maître par Simonetta Greggio qui m'a permis de me réconcilier avec cette auteur, comme quoi j'ai eu raison de lui laisser une dernière chance.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
Commenter  J’apprécie          40
Le monstre est de retour.
Le célèbre tueur qui avait terrorisé Florence dans les années 80 s'en prenant aux jeunes couples dans la campagne toscane. Il vient de frapper à nouveau. Les carabiniers sont sur les dents, tremblant de peur et d'appréhension. le vieux capitaine Jacopo D'Orto mène son ultime investigation avant la retraite. Il avait déjà travaillé sur le Monstre à l'époque. La traque effrénée reprend mais des doutes subsistent : le modus operandi a évolué et le Monstre doit être bien trop vieux pour mener de telles chasses à l'homme. Est-ce un imitateur ? Un héritier qui aurait repris le flambeau ?
Alternant les points de vues, du Capitaine au jeune carabinier Nino, d'un professeur américain au passé trouble, des futures victimes et bien-sûr du tueur. de sa psychologie et de son « oeuvre » se croyant volontairement sacrée et salvatrice devant la décrépitude et la corruption de la ville. Florence la Magnifique, siège des Médicis et de la Renaissance italienne.
La couverture, détail du célèbre tableau de Botticelli Primavera (Le Printemps) fait écho au roman. Les nymphes sont les jeunes filles en fleur victimes du Monstre. Tout ça n'est pas sans rappeler les diverses adaptations sur grand et petit écran mettant en scène le docteur Hannibal Lecter, amateur d'art et de chianti. Les méthodes se ressemblent et l'esthétique aussi.
Venez plonger dans cette enquête où personne n'en sortira indemne et où les apparences sont souvent trompeuses.
Commenter  J’apprécie          30
Depuis le temps que je souhaitais découvrir la plume de Simonetta Greggio, c'est chose faite. Peut-être pas dans le contexte que j'imaginais… mais la présentation « le roman est une métaphore des dérives dans un État de droit » est tout à fait justifiée. Il faut toutefois préciser que l'autrice a accusé un journaliste italien d'être le véritable monstre de Florence mais intouchable car protégé par la police et des organisations et sectes hors d'atteinte (elle a été poursuivie pour calomnie car elle n'a rien pu prouver). J'ai donc découvert Simonetta Greggio via le thriller et non la littérature dite « blanche »
Je ne savais qu'une seule chose : le livre était inspiré d'un fait réel qui avait bouleversé Florence du temps de ma jeunesse et qui avait fait peur à toute une génération d'amoureux en Toscane qui avaient l'habitude de se retrouver sur les collines des alentours… le premier tueur en série italien…
Mais si le tueur en série est bien partie prenante de l'histoire – on se souvient qu'il n'a pas été arrêté – ce thriller nous plonge dans un thriller qui fait intervenir soit le tueur des années plus tard, soit un imitateur…
L'autrice donne la parole au tueur en série mais elle fait également parler le policier en charge de l'enquête, Jacopo D'Orto, un professeur américain Miles, au passé trouble qui enquête sur la disparition de sa fille, des membres d'une secte adorateurs de la Vierge Noire.. Il y a aussi une prostituée et amante ivoirienne dont la personnalité m'a beaucoup interessée. Les deux hommes, Miles et d'Orto ne sont pas si éloignés que cela … tous deux sont veufs, et ils ont des filles pour lesquelles ils s'inquiètent. le rapport père-fille est très important et surtout un message : il faut que les femmes et les jeunes filles se réveillent et que les hommes du XXème siècle soient évincés des postes clés ou la corruption règne en maître. Un livre féministe au bout du compte.

Un livre qui nous fait redécouvrir Florence, qui nous parle de cette ville magique, qui rend hommage à ses artistes (Botticelli et son « Printemps », Dante…), mais qui nous relie aussi au XXème siècle à travers l'Album blanc des Beatles… Un livre qui nous parle de la mythologie, de la mythique Vierge Noire…
Mais aussi un livre qui est parfois très difficile à lire car il y a un grand écart entre les descriptions poétiques de la Toscane et les descriptions des meurtres et des scènes de violence ! Faut pas avoir mal aux yeux quand on visualise ce que les mots nous décrivent !
Commenter  J’apprécie          11
J'aime beaucoup cet auteur mais déteste avoir peur... néanmoins malgré le sujet je me suis lancée. Trop impressionnant pour moi, j'ai été happée, terrifiée et l'ai repris plus tard et de jour. Bref lu en deux fois tellement c'est puissant dérangeant captivant fascinant... le schéma narratif ingénieux y est pour beaucoup, augmente la tension, le drame, le suspense. Édifiant sur la réalité politique italienne...je dirais tout de même que tout comme pour les deux autres livres que j’ai lus d’elle, elle ne sait pas terminer ses livres et le moment du fin mot de l’histoire est à mon sens toujours raté et décevant
Commenter  J’apprécie          10
C'est un roman au charme vénéneux que ce "Black Messie" qui nous entraîne dans les Abysses du Mal. Nourrie de faits réels et d'un paquet de références qui agissent comme des miroirs à l'intérieur d'un kaléidoscope, réagençant constamment les faits, l'histoire se structure comme u puzzle dont les pièces prennent la forme de pans de vie des différents personnages : Jacopo, le capitaine des carabiniers, chargé d'enquêter sur les meurtres effroyables dont Florence est le décor ; Miles, déjà marqué par l'assassinat de Nonnie sa femme ; Indiana sa fille habituée à masquer ce qu'elle sait ; H.S., incarnation du mal et Légion, son allégorie.
Cette forme à la fois savante et lumineuse, alliée à une écriture saisissante, sublime l'intrigue pour en faire une réflexion pénétrante sur la confrontation au mal, ainsi que sur les démons qui hantent l'Italie depuis des décennies.

Percutant et passionnant !
Commenter  J’apprécie          10
Des couples sont assassinés brutalement, comme cela était déjà arrivé par le passé.
Jacopo d'Orto est mis sur l'enquête.
Il soupçonne immédiatement l'étrange et secret Professeur Miles, dont la fille Indiana a disparu, américain noir, exilé à Florence pour oublier un passé douloureux après la disparition suspecte de son épouse,

Le récit se déroule sur plusieurs chapitres, à plusieurs voix, avec comme titre le nom de celui qui narre (Jacopo, Miles, légion etc...)permettant d'y découvrir les points de vues de chacun, des victimes comme de la folie du meurtrier qui nous glace le sang..
Cela m'a un peu déstabilisé et surprise au départ, ayant du coup du mal à me mettre dans l'histoire n'étant pas habitué a ce type de narration, m'y perdant un peu dans les récits des nombreux protagonistes...
Mais on est vite pris dans l'histoire, tellement celle-ci est complexe, loin d'être un thriller je dirais banal..

Il y a beaucoup de violence dans ce roman mais aussi, des scènes de torture, du sexe violent, de la corruption à tous niveau.

Ce roman m'a beaucoup marqué il sort des sentier battus, la fin est étrange, dérange, il ne peut nous laisser insensible..
Lien : http://bookliseuse.blogspot...
Commenter  J’apprécie          10


Lecteurs (110) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
832 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *}