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EAN : 9782080107701
322 pages
Flammarion (01/12/1991)
4/5   1 notes
Résumé :
À côté du paysage, les impressionnistes innovèrent aussi en peignant la vie moderne et les plaisirs de la cité. Une nouvelle histoire de l'impressionnisme basée pour la première fois sur l'éclairage de l'arrière plan social et culturel qui présida aux motivations des artistes.
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
"L'impressionnisme, les plaisirs et les jours" de Robert L. Herbert est un livre passionnant !

L'historien de l'art propose ici une singulière et très intéressante approche du courant impressionniste. Dans ce très bel ouvrage, très documenté, l'auteur aborde en sept chapitres la ville de Paris et tous ses environs, celle de la seconde moitié du XIXème siècle, celle qui inspira leurs plus belles oeuvres à Monet, Manet, Renoir, Degas, Pissaro, Sisley, Morisot, Caillebotte, Bazille, etc.
Sont ainsi évoqués dans ce livre, en plus de l'étude de nombreux tableaux, la transformation haussmannienne de la capitale, la vie parisienne d'alors avec les cafés, les théâtres, les opéras, les parcs, les jardins, les promenades, les bois, les loisirs en banlieue et les voyages jusqu'en bord de mer, en Normandie. Robert L. Herbert aborde également la vie artistique de l'époque, le statut du peintre, la vie, l'essort politique et économique de la capitale, les expositions universelles, etc.

Avec un propos plaisant et une iconographie remarquable, ce livre de Robert L. Herbert est vraiment des plus passionnants.
J'en recommande très vivement la lecture.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Ainsi, à la différence de Manet, Renoir recréait en peinture les relations aimantes, centrées sur l'homme qu'il souhaitait pour lui-même comme pour la société. Ses lettres, ses essais, ses aphorismes publiés par son fils révèlent ses craintes devant la société industrielle moderne, avec ses forces de désintégration, et traduisent sa détermination à exprimer les idéaux d'une harmonie sociale par le biais d'un artisanat placé au service de la beauté.
Admirable sur bien des points, cette vision des choses n'est pas aussi pénétrante que celle de Manet, pour qui le café était un microcosme des réalités urbaines qu'il s'agissait de considérer de front.

(in Chapitre 3 - Cafés et cafés-concerts)
p. 71
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