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Ce premier tome, "Résurrection", de la saga "Androïdes", m'a séduit, tant par la qualité des dessins que par le scénario qui déroule une histoire intéressante où l'on ne sait guère distinguer qui est robot et qui est humain. La fin de ce premier épisode donnera la réponse.

Côté dessin, les planches sont très travaillées, la plastique des filles (robots) très réaliste, les vues de New-York sous la pluie de météorites saisissantes. J'aime particulièrement, à la page 10, un petit dessin incluant la cathédrale Saint-Patrick, avec à ses pieds des véhicules du XXVIème siècle.

Quelques réflexions métaphysiques sur l'animisme des androïdes, le mensonge ou la foi sont distillées à propos dans les dialogues des protagonistes. Ils ont une superbe intelligence mais peuvent se croire humains quand ils ne sont qu'androïdes. Ne sont-ils pas d'ailleurs capables d'une puissance de réflexion supérieure à celle des humains qui les ont pourtant conçus?

La fin ouvre une belle perspective sur la suite que j'espère d'aussi bonne qualité.
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Face aux dessinateurs de mangas qui sortent 48 pages en 2 semaines et face aux dessinateurs de comics qui sortent 48 pages en 2 mois, il est difficile de fidéliser un public avec des dessinateurs de bandes dessinées qui font 48 pages en 2 ans… Donc de plus en plus d'éditeurs ont opté pour la formule gagnante de la collection thématique où interviennent plusieurs auteurs (les puristes crient à l'hérésie, mais il fallait bien trouver une solution pour ne pas dépérir encore davantage face à la concurrence). C'est dans cette optique que les éditions Soleil ont développé la collection "Androïdes"…


Dans ce tome 1 intitulé "Résurrection", depuis 500 ans l'humanité est devenue à la fois immortelle et stérile grâce au mélange et au fil du temps qui passe chaque être humain est devenu une divinité de l'ennui… Mais en enquêtant sur plusieurs meurtres violentes, l'inspectrice Liv Anderson, strong independant woman spécialiste de l'adrénaline, le mur de la réalité se fissure : si le mélange n'octroie ni immortalité ni stérilité à quoi sert-il ? s'il ne sert à rien pourquoi personne n'arrive-t-il à s'en passer ? pourquoi des robots se mettent-ils à ne plus respecter les Trois Lois d'Isaac Asimov ? Et si tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, pourquoi la méga-corp MicroCorp et l'Eglise des Néothologiens font-ils tout pour effacer les traces de ce qui s'est écrasé près de New York lors de la dernière pluie de météorites ?...
Entre utopie et dystopie un récit à mystères donc à révélation qui rend joliment hommage aux grands auteurs science-fictionnels que sont Isaac Asimov, William Gibson et Philip K. Dick ! (le naming de tous les personnages est un véritables festival de clins d’œil, et avec les comics addicts Leonard Newman et de Brian Miller, on se demande si les auteurs se moquent d’eux-mêmes ou de leurs détracteurs ^^)
L'histoire et les personnages de Jean-Luc Istin sont bien, les dessins de Jesus Hervas Millan assisté d'Olivier Héban sont bien et on parvient à donner de la couleur à un univers froid et aseptisé (après on est chez Soleil donc cela reste mainstream : il faut l'accepter ou s'y résigner), mais je suis un peu partagé entre le pas mal et le bon kif car c'était vraiment une gageure que de faire tenir un hommage à ces monstres sacrés qui tienne la route en 60 pages du coup j'ai trouvé la fin un peu précipitée… Entre 3 et 4 étoiles mon cœur balance, même si j'ai plutôt envie de soutenir la démarche de vulgariser les univers de Philip K. Dick !
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Liv est immortelle comme le sont les humains à son époque. Une petite pilule y contribue grandement.

Anna adore restaurer les tableaux des maîtres anciens,

Liv, elle, elle a un métier d'action, elle est flic. Il y en a qui savent réparer des trucs, d'autres qui font de la bouffe. Liv est douée pour dégotter les meurtriers.

Remarquez que l'immortalité a ses limites comme vient de l'apprendre un certain Leonard Newman à ses dépens. Il vient d'être criblé de balles et de tomber dans son jacuzzi.

Et puis, ce n'est pas tout ! L'immortalité a un prix : la stérilité ! Impossible de procréer ! Un autre inconvénient, et pas des moindres, c'est que cette immortalité génère de l'ennui. Pas facile de mener la vie des dieux !

Ne voilà-t-il pas que Liv est confrontée à un autre problème : un type menace de se faire exploser dans un bus volant avec les autres passagers comme otages. Elle décide de se faire passer pour une journaliste free-lance pour approcher l'individu…

Pendant ce temps, Anne, qui ressent des symptômes bizarres, découvre grâce à un médecin que quelque chose d'impossible est en train de lui arriver…


Critique :

Et qui retrouve-t-on au scénario ? Si je vous dis que ce sont les éditions Soleil, vous me répondez « Jean-Luc Istin » ! Et vous avez gagné ! L'incontournable scénariste de Soleil a quitté l'univers de la fantasy pour, ici, nous livrer un polar SF qui ne manque pas d'intérêt. Un polar, oui, mais avec une dimension philosophique. Pourquoi des gens qui ont acquis l'immortalité, plus de vieillissement, protection contre toutes les maladies, pourquoi ces personnes se suicident-elles ? Pourquoi ces nouveaux dieux mettent-ils fin à leurs jours ?

Soleil choisit généralement bien ses dessinateurs. Est-ce encore le cas ici ? Chacun appréciera selon ses goûts. Moi, j'ai adoré les dessins de l'Espagnol Jesús Hervàs Millàn, appuyé pour la mise en couleurs par Olivier Héban.

Question de philosophie pour les étudiants au BAC de juin 2056 : « Les androïdes ont-ils une âme ? »
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Grace au "mélange", à cette petite pilule bleue, l'humanité stérile est devenue immortelle. La maladie et la mort a disparu en même temps que la capacité à se reproduire. Pourtant Anna est malade et quand les résultats de ses analyses tombent c'est la surprise et l'espoir : Elle est enceinte!
A coté Liv est une jeune enquêtrice qui va essayer de faire la lumière sur un meurtre au bien étranges mobiles. Elle va se frotter à un terrible secret.

Sur un même thème : celui des androides, va sortir 4 histoires d'auteurs différents sur le format de one shot.
Nous sommes sur des récits d'anticipation et de science fiction où l'humain cohabite avec l'intelligence artificielle.
Ce premier volet est une réussite. Bien que le fond reste classique il est vraiment bien amené. L'histoire recèle une véritable intrigue qui se dévoile petit à petit pour un final plutot surprenant. C'est dynamique avec des rebondissement. le tout tient très bien dans le format du tome unique imposé. Bien sur on aimerait savoir ce qui va se dérouler ensuite. Je ne sais pas si les prochain tome auront tout de même un rapport entre eux ou si le seul fil rouge sera celui de la présence d'androïdes.
Le dessin est coloré, plutot sympathique.
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Excellente BD d'anticipation, le tome 1 d'Androides est vraiment intéressant avec une belle morale qui tend à réfléchir sur l'avenir des technologies et des mœurs de l'homme. Pour le scénario ça tient la route et c'est riche en texte, il y a pas mal à lire et on ne s'en plaindra pas, surtout que c'est assez prenant.

Les personnages sont très intéressant également avec des personnalités bien trempés, voir caractériel pour certain, une chose est certaine les mentalités ne sont pas lisse ni aseptisée.

On trouve quelques clin d'œil aux références de la SF tel que les lois de la robotique souvent cités comme les 3 lois d'Asimov que l'auteur de SF Isaac Asimov à instauré dans son cycle des robots et repris par d'autres comme Phillip K. Dick mais aussi au cinéma par Spielberg et autres, ou même dans la vie réelle avec les avancées technologique en matière de robotique, renseignez-vous par exemple sur le robot de chez Honda qui s'appelle Asimo justement en hommage à Isaac Asimov http://asimo.honda.com/default.aspx ).

* loi numéro 1 : un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger ;
* loi numéro 2 : un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la première loi ;
* loi numéro 3 : un robot doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en conflit avec la première ou la deuxième loi.

Je ne me suis pas ennuyé une seconde et pour parfaire la chose, visuellement c'est magnifique, un coup de crayon sûr et tout en finesse, appuyé par une colorisation pleine de peps.

Voir la chronique complète sur mon blog :
Lien : http://unbouquinsinonrien.bl..
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Quel beau projet ! Quatre équipes d'auteurs, quatre récits complets, un seul thème : l'androïde.
Une belle épigraphe d'Isaac Asimov, commune aux quatre tomes, sur les trois lois de la robotique…
Une superbe collection de BD dans laquelle je me suis plongée avec grand intérêt. Dans l'univers des intelligences artificielles, l'androïde est la seule machine à forme humaine, construite à l'image de l'homme avec un physique et des caractéristiques apparentées…

Dans Résurrection, le premier tome de la série, il est question d'immortalité et de stérilité, grâce à la prise quotidienne d'une pilule bleue, mélange immunisant contre tous les virus et maladies existants, remède universel mis au point par un grand groupe et une loge de néothéologiens…

Dès les premières pages, une tension est palpable et on sent que les personnages féminins seront au coeur de l'action. Pourtant, tout commence par une banale enquête policière après l'assassinat d'un directeur de musée et un attentat terroriste. En parallèle, nous suivons un couple dont la jeune femme ressent d'étranges malaises et est soignée par un éminent médecin.
Le scénario mêle habilement des techniques d'enquête classiques, recherches de preuves, courses-poursuites et interrogatoires et des péripéties relevant de la science-fiction. Peu à peu, l'écheveau se dévide et s'entremêle, rattrapant les premières images du crash d'une station spatiale, sorte de banque de données de l'humanité.
La montée en puissance est maîtrisée ; j'ai adoré toute l'histoire, été bluffée par le dénouement. L'ombre référentielle de Philip K. Dick y est peut-être pour quelque chose. Je salue le talent de Jean-Luc Istin pour la trame de cette BD, son rythme, ses problématiques sur la robotique, ses lois et son devenir.

Le personnage principal de cette BD m'a immédiatement fascinée… Je me suis interrogée, naturellement sur la nécessité de la représenter nue dans les premières planches…, me demandant ce que cela apportait à l'intrigue…
Liv est flic ; elle fait équipe avec un robot dans une New York futuriste ravagée par une pluie de météorites. Elle est sculpturale, dégage une impression de puissance et de beauté presque animale. Elle a un humour décapant, à la fois cynique et provocateur et un franc parler d'un redoutable efficacité ; ses méthodes de travail sont originales et solitaires. Elle exhale une sensualité mâtinée d'ennui et de profond désabusement.
Je me suis beaucoup attachée à elle et, finalement, j'ai pu interpréter et m'approprier cette nudité originelle qu'elle affectionne dans les scènes intimes.

Bien que n'étant pas spécialiste en matière de graphisme, j'ai apprécié les dessins de Jesús Hervas Milán et les couleurs d'Olivier Héban, en alternance de planches très élaborées, en plans larges, et de petites vignettes centrées sur un simple détail. Je note aussi la facilité de lecture, la richesse et la fluidité des dialogues.

Cet opus est particulièrement réussi, tant sur le plan du scénario, très abouti que des graphismes.
C'est, indéniablement, mon préféré de la série.

https://www.facebook.com/piratedespal/
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Véritable découverte, j'ai beaucoup aimé ce premier tome de Androïdes. La série est composée de quatre tomes, qui sont tous indépendants les uns des autres et tous écrits et dessinés par des auteurs différents. J'aime beaucoup le concept, car cela permet en peu de temps de livrer une histoire qui va à l'essentiel. L'héritage de Isaac Asimov et Philip K. Dick est bien là, d'ailleurs, le concept d'histoires indépendantes rappelle bien évidemment le début du Cycle des robots d'Asimov. Les trois lois de la robotique étant d'ailleurs inscrites en début de tome, il est impossible de passer à coté.

Les dessins sont magnifiques, le grand format de la BD aide à apprécier les planches qui sont très détaillées, très foisonnantes et pourtant parfaitement lisibles. L'histoire quant à elle peut sembler de prime abord assez convenue, mais c'est pour mieux nous surprendre à la fin avec un retournement de situation que l'on ne voit pas venir.

Il se dégage de ce titre une véritable ambiance de science-fiction avec ces deux femmes dont les destins vont se croiser et qui sont particulièrement crédibles dans leur rôle. le coté humain est vraiment mis en avant, et je trouve que ce premier tome est une vraie réussite car l'auteur parvient à proposer quelque chose d'intéressant et de novateur, et surtout, il ne se contente pas de copier les maîtres du genre. J'espère que les autres tomes, par d'autres auteurs seront au niveau de celui-ci !

Lien : https://chezxander.wordpress..
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Le fait est désormais coutumier de la part de Jean Luc Istin. Il lance une nouvelle série dont il confie (partage) les rênes avec certains de ses comparses, souvent et toujours les mêmes, scénaristes comme dessinateurs, qui se chargent alors de développer la dite série, l'univers proposé, selon leur propres senisibilité.
On retrouve donc le même concept ici avec cette série d'anticipation Androïdes, qui nous emmène bien loin des sentiers habituellement connus de la fantasy cher à l'auteur. C'est donc avec curiosité et enthousiasme que j'ouvre les premières pages de ce tome 1. Au premier abord Jean Luc Istin nous prévient en citant Isaac Asimov, rien de moins! Les trois lois de la robotique serviront à la fois de point d'ancrage et de ligne directrice à cette série. Mais Istin va plus loin car il développe et pousse plus loin la réflexion née de cette assertion. Son récit nous emmène au delà de l'extinction de la race humaine, alors que la Terre n'est plus peuplée que par des Androïdes, qui se croient plus humains que les humains eux mêmes. Que deviennent alors les trois lois fondamentales de la robotique s'il n'y a plus d'humains à protéger. La réflexion lorgne donc du côté de l'intelligence artificielle et de son propre développement. On retrouve des thèmes communs à l'univers de Masamune Shirow ( Ghost in the shell), notament dans celui de l'âme fantôme. La comparaison ( l'hommage!? la référence!?) ne s'arrête d'ailleurs pas là puisque l'histoire d'Istin met en scène un personnage féminin appartenant à la police, qui rappelle fortement le major Kusanagi. On pourrait citer comme référence le film The Island ( mes références en litérrature sont trop limitées donc je picohe dans le 7eme art!), où il est question que des clones sont maintenus vivants dans l'illusion d'un jeu collectif dont certains les gagnants tirés au sort. L'on donne ainsi de l'espoir au clone qui y trouvent une raison de vivre. Dans la bd d'Istin, les Androïdes doivent avaler régulièrement une pillule bleue miraculeuse qui leur assure l'immortalité et l'immunité totale aux maladies. Si dans le film, l'illusion permet aux clones de survivre, dans la bd, celle ci permet aux Androïdes de ne pas se poser de questions sur leur immortalité, qui est simplement dû à leur nature robotique. Enfin pour en finir avec les références, Jean Luc Istin cite également Philip K Dick. le jeu des apparences est ici un thème central puisqu'il représente rien de moins que le ressort dramatique du récit et ce sur quoi repose toute l'intrigue. L'apparence est tellement bien entretenue qu'elle devient réalité. Elle est si évidente qu'elle ne peut pas être remise en question. La scène du bus explore ce thème à la perfection. La discussion entre Liv l'héroïne et le terroriste menaçant de faire exploser le bus, montre à quel point l'idée de cette fausse réalité est ancrée, les propos de Liv en attestant.
L'histoire développe donc une réflexion où se mêlent plusieurs thèmes qui touchent à l'humanité dans sa globalité et laisse supposer de la part de l'auteur une grande confiance dans la technologie, puisqu'il fait reposer la survie de l'humanité sur les machines conçues par elle.
Encore une fois, il s'agit là d'une bd qui élève le genre au delà du simple divertissement littéraire, une oeuvre qui nécessite plusieurs grilles (niveaux) de lecture pour en saisir tous les aspects et toute la profondeur, et je n'en attendais pas moins de la part de Jean Luc Istin. C'est donc avec voracité et respect que je me lance dans la lecture du second tome, dont le scénario est assuré par Olivier Péru, un autre auteur s'il en est, qui détient au moins autant de talent que le premier.
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Je ne lis pas beaucoup ce genre d'histoires. Ca me change et cette BD le fait avec merveilles. Il faut dire que c'est déjà un très bel album, la couverture est sublime sur laquelle on remarque l'air blasé de notre héroïne.
Car blasée, Liv l'est. Les revers de l'éternité. Elle nous transmet très bien l'ambiance de ce nouveau New York et l'état de l'humanité. Elle en est assez touchante de par cette vision. Elle n'a bien sur pas les deux pieds dans le même sabot, elle est toujours en quête de la vérité et a une belle évolution dans le tome.
Ce dernier contient aussi une histoire pleine de suspense et de rebondissements très bien dosés. Entre émotions et actions on ne s'ennuie jamais. Il y a aussi quelques dialogues savoureux. Et les dessins sont aussi sublimes que la couverture, restituant parfaitement l'univers futuriste.
Une seule question subsiste : que devient l'humanité ?

J'ai hâte de découvrir les autres tomes.
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Quand je n'aime pas une série, je le fais savoir sans aucun ménagement quoique j'y mets souvent les formes. Au contraire, quand j'aime une série, je le dis aussi sans aucune part d'hypocrisie ou de suivisme. Androïdes est une série concept très intelligente.

Certes, il y a une tout petite baisse de régime au second titre mais ces récits sont tout à fait indépendants les uns des autres. Ce sont quatre one-shot sur le même thème à savoir les robots. le premier volume restera certainement dans les annales de la très bonne science-fiction par sa chute totalement inédite. Les références sont Asimov et de Philip K. Dick ce qui n'est pas pour me déplaire.

A noter également un tome 3 dont le scénario demeure le plus complexe. Il faut le relire une seconde fois pour bien tout comprendre à moins de disposer des neurones suffisantes. A chaque fois, le dessin sera de très bonne facture. Au final, de la très bonne science-fiction.
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