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3,28

sur 231 notes
Je ne suis pas une grande fan de Mary Higgins Clark et pour preuve cela fait 20 ans que je n'avais pas lu un de de ces romans.
Un roman qualifié de thriller mais cela ressemble plutôt à un banal roman policier. Il se lit facilement car les chapitres sont courts .
L'intrigue de départ conseillé par son éditeur se veut d'origine biblique mais sert uniquement de fil conducteur pour expliquer le mobile du crimes. Il n'a pas une importance capitale.
Un lecteur aguerri de roman policier devine rapidement le meurtrier. Cela se voit qu'au moment de l'écriture de ce roman Mary Higgins Clack avait déjà 85 ans.
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Je lis les romans de Mary Higgins Clark chaque année, comme un rituel en quelque sorte. En effet, il y a longtemps de cela, elle fut le premier auteur de romans à suspense qu'il m'a été donné de lire.

Certes, ses premiers romans restent, et de loin, les meilleurs. Qu'on relise La nuit du renard, La clinique du docteur H ou Un cri dans la nuit pour s'en souvenir. Et puis, Mary Higgins Clark est devenue un auteur à succès, à qui son éditeur passait commande de plusieurs romans. Et avec le temps, la qualité et le suspense ont disparu. La trame semble toujours la même, le personnage central est quasi identique d'un roman à l'autre : une jeune femme new-yorkaise bien sous tout rapport, qui se retrouve mêlée à une sombre histoire dont elle parviendra à se sortir à l'avant-dernière page.
Ces derniers romans ont l'avantage de se lire très vites, tant les chapitres sont courts, faisant parfois moins d'une page.

Ce dernier opus pourtant se lit bien et on se prend au jeu de chercher qui, parmi les très nombreux personnages (comme souvent chez MHC on finit presque par s'y perdre) a pu tuer cet éminent professeur pour s'emparer d'une lettre qu'aurait écrit le Christ en personne (si si, je vous jure). Les ficèles sont parfois grosses, mais on n'est en rien dérouté à la lecture de ce roman, très fidèle dans son style aux précédents. Mais n'oublions pas que son auteur a près de 85 ans aujourd'hui.

A lire donc, cet été, tranquillement installé sous son parasol, histoire de bien passer le temps.
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Enquête bien menée ,le livre se lis jusqu'au bout. A part quelques rebondissements, ses romans commencent à se ressembler de plus en plus.
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Juste quelques heures perdues à lire ce roman à l'intrigue peu plausible. Il est difficile de croire que cet ouvrage s'ajoute à la prestigieuse bibliographie de Mary Higgins Clark. D'ailleurs, elle se dédouane un peu en précisant à la fin de son livre que l'idée centrale (une lettre écrite par Jésus lui-même) émane de son éditeur et, visiblement peu inspirée par le sujet, s'excuse presque d'avoir produit cette "chose" qui sent le business à plein nez, une commande avec des directives précises, des délais à respecter, toutes contraintes qui empêchent la créativité de l'auteur de s'exprimer librement.

Il faut dire que Mary Higgins Clark a depuis longtemps fait la preuve de son talent, et même en excluant ce roman-ci, il en existe un grand nombre pour satisfaire les lecteurs amateurs de romans policiers bien ficelés, notamment parmi ses premières oeuvres, comme par exemple La nuit du renard.
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J'ai lu tous les livres de Mary Higgins Clark et maintenant à chaque fois qu'un de ses livres sort, je le lis et je trouve immédiatement le meurtrier. Je suis donc déçue. Mais il est vrai que pour ce livre Mary Higgins Clark ne s'est pas trop attardée a donner de l'étoffe à ses personnages et du coup je trouve le roman un peu plat.
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Au risque de me répéter, encore un bon petit polar à lire sans modération.
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Thriller bien conventionnel et bien peu original.
Je me demande même si, au lieu de le qualifier de thriller, on ne devrait pas parler de roman policier de détective privé.

L'élément biblique que son éditeur avait conseillé à Mary Higgins Clark d'introduire dans son prochain roman et qui devait en être un des éléments clefs n'est finalement que très accessoire.

Le seul mérite de la lettre à Joseph d'Arimathie écrite par le Christ, dans ce roman, est finalement, pour le profane, de lui faire découvrir ce pan de la mythologie chrétienne.
Mis à part ce côté éducatif, l'objet autour du quel gravite l'enquête aurait tout aussi bien pu être un bijou, ou un quelconque objet de valeur.

L'approche que l'auteur fait de la maladie d'Alzheimer me paraît, elle, plus pertinente.

Bref, pour moi, le plus mauvais des mary higgins clark que j'ai lu.
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Inutile de préciser que la « mécanique littéraire » de Mary Higgins Clark est bien rôdée, à 83 ans et avec une bonne quarantaine de romans à son actif (dont quelques uns écrits avec sa fille, Carol Higgins Clark) la « mamie du polar » connaît son affaire ; depuis 1986 elle tient même le rythme d'une sortie annuelle. Si la sauce prend plutôt bien on peut toutefois lui reprocher un certain classicisme, ses titres fonctionnent tous plus ou moins sur le même schéma d'où un sentiment de déjà-vu/déjà-lu si l'on ne laisse pas s'écouler un temps suffisant entre deux de ses bouquins.

Ce titre ne déroge pas à la règle, l'auteure nous plonge d'entrée de jeu dans l'intrigue puis prend le temps de planter le décor et les personnages avant de nous embarquer dans une intrigue bien ficelée mais cousue de fil blanc. Quelques supposés rebondissements sont plus que prévisibles (même l'identité du coupable devient évidente avant qu'elle ne soit dévoilée) mais heureusement l'auteure arrive encore à nous surprendre de temps en temps.

Au cours de son enquête Mariah pourra compter sur l'aide d'amis qui ne sont pas inconnus des lecteurs de Mary Higgins Clark puisqu'il s'agit d'Alvirah et Willy Meehan, un couple modeste qui a gagné le gros lot à la loterie et qui fait depuis quelques apparitions plus ou moins importantes dans divers romans de l'auteure. A vrai dire présentement c'est même Alvirah qui mène réellement l'enquête et fait avancer le schmilblick, Mariah fait plus office de potiche/nunuche de service qu'autre chose.

Ma critique peut paraître sévère mais n'allez pas croire pour autant que je me suis fait chier en lisant ce bouquin, la preuve je l'ai terminé en deux jours. L'auteure sait y faire pour rendre ses histoires intéressantes (mais pas extatiques), disons que c'est un polar classique qui se lit sans qu'il soit besoin de se triturer les neurones pour démêler le vrai du faux…
Lien : http://amnezik666.wordpress...
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Mieux vaut ne pas trop se fier à la quatrième de couverture. Si on s'attend à un roman de quête initiatique on sera très déçu et le thème Alzheimer est très sous-utilisé. le coupable se devine assez facilement et l'héroïne n'est pas très attachante Cependant l'histoire d'amour est plutôt sympathique et ça fait plaisir de retrouver Alvirah.
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Encore un livre de la reine des polars, il m'a moins convaincue, peut être que je commence à connaître un peu trop les ficelles de ses romans. C'est toujours aussi plaisant mais il m'a manqué un peu d'ambiance cette fois-ci et j'ai soupçonné le coupable un peu trop tôt à mon goût. Néanmoins, entre 2 lectures plus prenantes, ça fait du bien de lire quelque chose de facile.
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