On retrouve avec plaisir dans "Le tombeau" l'équipe policière de Torkel et surtout le psy de service Sebastian Bergman . Personnage de premier plan, souvent tout tourne autour de lui dans les enquêtes dont Torkel est responsable. Les frasques amoureuses (sexuelles?) de Sebastian, ses manigances, ses manipulations pour arriver à ses fins, font qu'il nous excède mais en même temps, on veut voir jusqu'où ira ce personnage sans scrupules. Dans ce tome, un charnier de 6 cadavres est découvert par des randonneuses. La recherche d'identité de ces cadavres aura des conséquences que même le chef, Torkel, ou encore le psy, Sebastian, n'aurait soupçonnées. Le caractère de chacun s'affirme dans ce titre avec un petit air de fin. La maîtrise dans le développement des personnages est une grande force chez Hjorth & Rosenfeldt, plus que l'intrigue que l'on retrouve parfois non pas bâclée mais plutôt mal exploitée je dirais. Pour ce qui est des personnages, j'ai eu comme l'impression que chacun arrivait presque en bout de piste. Quoique ...le dénouement de ce tome nous ouvre grand la porte sur le tome 4 "La fille Muette". C'est une bonne lecture de dimanche après-midi et j'avoue oui j'avoue que j'ai réservé le tome 4 à ma petite biblio.
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Dans les montagnes du Jämtland, à l'ouest de la Suède, deux randonneuses égarées découvrent un charnier, à la faveur d'un éboulement de terrain. L'équipe de Torkel est dépêchée sur place afin de procéder à l'identification des six cadavres et d'enquêter sur leur mort.
Au même moment, à Stockholm, Shibeka, une mère de famille d'origine afghane, contacte un journaliste afin qu'il l'aide à lever le mystère de la disparition de son mari. Dix ans après, la piste est froide et les hommes de sa communauté lui font clairement comprendre qu'elle doit se taire, ne pas faire de vagues et rester à sa place.
Deux enquêtes qui finissent par se rejoindre et où se mêlent lutte contre le terrorisme, espionnage, contre-espionnage, manipulations et secrets d'Etat. Une trame intéressante qui se marie bien avec la vie privée des enquêteurs. le chef de la crim, Torkel, toujours amoureux de l'inflexible légiste, Ursula qui, elle, doit gérer un divorce auquel elle ne s'attendait pas. Billy l'informaticien qui prend goût au terrain et aux armes. Vanja anéantie par l'arrestation de son père pour malversations financières et qui pense pouvoir oublier ses soucis à Quantico, dans les locaux du FBI. Et, bien sûr, l'inénarrable, l'insupportable psy, Sebastian Bergman…Un personnage complexe, calculateur, égoïste, que l'on prend parfois en pitié mais qui sait surtout se faire détester. Même s'il montre plus de failles dans cet opus, ses manigances pour garder Vanja auprès de lui le rendent odieux.
Quoiqu'il en soit, on aura plaisir à le retrouver dans la suite de la série, le roman se terminant sur un terrifiant cliffhanger…
Un tome parfait avec une bonne intrigue pleine de suspense et des enquêteurs que l'on connaît de mieux en mieux. A suivre.
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Troisième tome d'une série policière qui met en scène un profileur assez antipathique, un homme qui semble ne s'intéresser aux autres que s'il peut en tirer quelque chose. Sebastian Bergman est aussi un homme à femmes, un collectionneur qui les oublie aussi vite qu'il les a mises dans son lit.
Dans cette enquête, il va aider la police à comprendre ce qui a pu arriver aux six personnes dont les corps viennent d'être découverts par des randonneuses après un éboulement dû à de fortes pluies dans une forêt en Suède.
Il vaut mieux avoir lu les deux précédents volumes car la vie personnelle des protagonistes principaux, les policiers chargés de l'enquête, est vraiment mouvementée et il serait difficile de comprendre certains personnages sans savoir ce qu'ils ont vécu auparavant.
Cette histoire nous fait découvrir une face bien sombre de la Suède dans laquelle il ne fait pas bon être un étranger.
J'ai beaucoup aimé ce volume, même si l'intrigue m'a semblé un peu compliquée par moment, heureusement, tout s'éclaire à la fin, mais le roman se termine sur un suspense insoutenable, j'attends donc la suite avec grande impatience.
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Direction les montagnes du Jämtland ou deux randonneuses on découvert une main ! Sympa la balade...
Mais six cadavres vont finalement être découvert. Torkel et son équipe vont partir là bas pour découvrir ce qui a bien pu ce passer ! Comment une famille peut disparaître sans que personne ne mentionne les faits ? Pourquoi ?
Une enquête a rude épreuve, une enquête que Sebastian Bergman va avoir du mal à appréhender !
Des secrets bien gardés, des manigances tout au long de ce roman. Une tension importante !
Bien contente de retrouver l'équipe de la crim' ! L'écriture de HJorth et Rosenfeldt est vraiment addictive, même si j'ai un peu moins apprécié ce tome par rapport au deux précédents, il n'en reste pas moins sympa. Les personnages sont admirablement bien représenté. On vit a 100% leurs histoires. Émotions garanties pour nos super enquêteurs !
Ce que j'aime dans ses romans c'est cette balance parfaite entre l'enquête et la vie personnelle de chacun des personnages.
Le dénouement ne nous laisse pas de répit évidemment.... Avec une fin pareille nous sommes obligés de poursuivre !
Petit bémol tout de même la traduction... Par contre j'adore la couverture du format broché !
Bref il est évident que je continue mon aventure !
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C'est la troisième enquête de l'équipe menée par Torkel Höglund sur fond de menaces à la sécurité nationale et de contre-espionnage, une tourmente dans laquelle une famille afghane immigrée en Suède sera entraînée bien malgré elle.
Un récit efficace pour livrer une intrigue intéressante, du même patron que les autres tomes, ce qui n'est pas forcément un atout : même traduction boiteuse, une prose sans envergure et une fin toujours aussi précipitée. Mais les auteurs nous laissent immanquablement sur une note accrocheuse et c'est le cas ici aussi.
Mon mari s'en est vite lassé même s'il est allé jusqu'au bout. J'avais l'intention après cette lecture d'en rester là, mais, une fois de plus, ma curiosité a été piquée et je crois bien récidiver avec le quatrième volet. Voilà! Ça se lit rapidement, c'est facile d'approche et ça fait du bien de temps en temps!
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J'ai commencé cette série de sept romans par recalé, n'ayant pas compris avant de le lire qu'il faaisait partie d'une suite de sept romans, chacun traitant d'une enquête individuelle, mais reprenant les mêmes personnages, dont la vie privée est en réalité très vite le centre d'intérêt principal du lecteur; et là est le piège: chaque volume se terminant par un "cliffhanger" (comme d'ailleurs dans la majorité des séries télévisées de genre, ainsi dans les médicales où la vie privée des soignants intéresse beaucoup plus que les affactions dont soufffrent les patiens et leur traitement) , il est difficile de ne pas poursuivre.
C'est ce que j'ai fait, en commençant par le premier tome; je n'ai lu que très partiellement le deuxième, étant alelrgique aux histoires de tueurs en srie; je viens de termie le présent volume, dont le troisième, et ai entamé le quatrième.
Et pourtant les personnages ne sont pas vraiment sympathiques. ILs se conduisent de manièree assez stupide dans leur vie privée ( mension spéciale à Vanja, que je ne comprends pas absolument pas) et Sébastian, le personnage principal, est odieux; il a beau être psychologue, il ne montre pas moins un manque total d'empathie, voire une brutalité, inouie dans ses rapports avec les autres. Il est fourbe et manipulateur, et on a du mal à comprendre les succés féminins d'une tel personnage (là c'est peut-être le mâle jaloux qui parle, mais le personnage m'écoeure, et le comportement de ses conquêtes me navre)
Et pourtant je continue à lire la s&rie; ce n'est pas si étonnant d'ailleurs; il arrive qu'on se prenne d'intérêt pour "un méchant" à tel point qu'il devient le personnage principal. Dans les années 80, je ne manquais pas un épisode de Dallas, et c'était pour l'odieux J.R. (Dallas, J.R., les Ewing, ça ne vous dit rien? ça ne m'étonne pas, vous êtes trop jeunes)
Et l'intrigue, alors? Eh bien, pas terrible. C'est une histoire d'espionnage, d'agents secrets, de complots, de services secrets diaboliques, le tout sur fon de lutte contre le terrorisme, et un peu capillo-tractée, avec une dose de
sentiments politiquement corrects à l'égard des immigrés, victimes, forcément victimes; là je m'arrête, car je risque de répasser les bornes, non pas du politiquement correct, il y a longtemps que c'est fait, mais du socialement admissible. On ne critique pas les immigrés, bon sang! Un peu de tenue, Blok! Même s'ils ne font aucun éfffort pour s'intégrer et méprisent leurs hôtes et leur mode de vie, et que les auteurrs qui les présentent ainsi trouvent quand même çà très bien.
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