Sitôt qu’il est question d’esthétique, c’est-à-dire d’une réalité qu’on ne peut quantifier avec exactitude, il est inévitable que s’expriment des opinions divergentes, voire irréconciliables. Les typographes n’ont de cesse de donner leurs avis sur l’utilisation, bonne ou mauvaise, de tel caractère typographique, sur l’emploi d’ornements ou sur le format de page optimal. Hans Rudolf Bosshard traite de quelques exemples – de Bodoni et Bertuch à Morris et Morison – pou...
>Voir plus