Emprunté sur les conseils d'un usager de la bibliothèque qui se plaignait d'avoir lu tout le présentoir à bd (et moi aussi!)
L'auteur décrit le jardin de mes rêves.... une petite maison avec un jardin qui va devenir un peu plus grand en annexant celui du voisin, loin du traité de permaculture, plutôt un moment contemplatif.
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Une très jolie bande dessinée, tant dans les dessins que le message. C'est inspirant, dans l'envie d'observer plus attentivement le monde qui nous entoure, d'apprécier les petites bêtes qu'on dénigre tant sociétalement. Cela donne aussi espoir dans la force de la nature, qui se réinstalle si vite quand on lui laisse la place !
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Une bande-dessinée que j'ai abandonnée en cours de route, malgré toute sa qualité... Ce n'était pas une lecture pour la citadine que je suis et qui ne s'intéresse pas vraiment au jardinage. Je pensais avoir trouvé une porte d'entrée pour un monde auquel je ne connais presque rien, en suivant la démarche de l'auteur, ses interrogations, ses erreurs parfois. Mais les descriptions sont devenues techniques, les noms des insectes affichés en latin m'ont presque fait peur et j'ai préféré renoncé ! Cela ne m'a pas empêché de l'acheter pour l'offrir à un ami, qui lui a su l'apprécier !
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Beau, très beau, l'auteur nous emmène dans 10 ans de jardinage et de travaux pour transformer un jardin désert en oasis de vies sous toutes ses formes. On suit le regard émerveillé de l'auteur sur le développement dune vie plus variée et la capacité de la nature à se réinstaller si on lui laisse le temps et de la place. On sent le (pas si)ancien monde et le (pas si)nouveau monde se confronter. Plein d'ouverture et d'humilité je voudrais diffuser ce livre à tous les utilisateurs de jardin.
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Presque aussi beau que Botanicum, chez casterman, une autre perle de dessins de végétaux. Et l' histoire de l' apprivoisement du jardin, trop bien vu ! J' en ai pour ma part apprivoisé deux et je retrouve tout : les surprises (bonnes ou mauvaises, même si la découverte de la rivière, c' est carrément top !) les situations où le tour de rein du début rôde (le bac en parpaings... moi c' était l' arrachage de neuf souches de thuyas emberlificotées dans des bacs fragiles... ) la haine des thuyas, justement, qui fédère tous les vrais jardiniers, l' arrivée des papillons ....
Et même , j' ai l' impression, au détour d' une promenade de glaneur, le pont suspendu de Meung sur Loire, mon pont suspendu préféré.
Le grand-père et la maman de l' auteur peuvent être fiers !
Bon, mais moi j' ai une grive de compagnie . Faut dire que je lui ai installé une pergola couverte de vigne ... du Perdin, on a pas besoin de sulfater.
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