AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,27

sur 934 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Page 88 : pause. Je ne me sens pas concernée par cet étalage de nombrilisme de l'héroïne sur la vie de couple, l'infidélité, sa sexualité passée et celle de sa jeunesse, son corps, son cerveau avec le pourquoi du comment, la dépression, la mort, la vieillesse et les effets du temps, les relations d'avec ses semblables. La psychologie des femmes comme sujet de roman ne m'intéresse pas vraiment. Livre trop intime, peut-être, où il n'y pas vraiment de fil conducteur. Quelques belles vérités posées ça et là. Alternance de poésie et SMS. La narration est inégale, fouillis. Je continue ou pas ? Alors je lis les critiques des babeliottes. Merci à vous. Donc : STOP.
Commenter  J’apprécie          230
Partagée entre plaisir de la découverte d'un côté, agacement et ennui de l'autre, j'ai préféré abandonner ma lecture.
C'est probablement dommage mais tant pis !!!
Commenter  J’apprécie          151
Abandonné en cours de route.
Je n'ai pas pu le finir, trop fouillis.
Entre ses souvenirs érotiques, sa classe de poésie, ses envolées poétiques, la narratrice ne m'a pas accrochée du tout.
J'imagine que ce genre d'écriture reflète l'état d'esprit d'une femme délaissée, abandonnée par son mari qui fait une Pause après 30 ans de vie partagée. Ils étaient pourtant si bien ensemble. "Dans 100 ans ils n'auraient former qu'une seule personne"...
Les quelques jolies phrases deci-delà n'ont pas réussi à me faire rester.
Tant pis. D'autres livres m'attendent.
Commenter  J’apprécie          120
Au risque de me faire des ennemis sur ce site et contrairement aux autres livres
de Siri H je n'ai pas du tout aimé ce livre.
Commenter  J’apprécie          105
Plantons d'office le décor : cela faisait bien longtemps que je n'avais pas abandonné un livre en cours de route, mais c'est la mésaventure que j'ai eu avec ce roman américain que j'abordais avec intérêt puisqu'il était depuis un bout de temps dans ma PAL et qu'il y était entré avec beaucoup d'espérance. Oui, mais faire attendre un livre trop longtemps, c'est prendre le risque d'être passé à autre chose, à un autre univers, recherche d'autres émotions et sensations de lecture que celles qu'on pensait y trouver initialement, et passer à côté d'un roman. Ceci dit, j'avais quand même envie de vous parler de ce roman, histoire que ceux qui auraient envie de le tenter soit un peu prévenu de la déconvenue que j'ai ressenti à la lecture et de nuancer certaines chroniques extrêmement positives (comme le Monde qui parle de "roman subtil et enjoué", je pense qu'ils ont fumé...).

Soyons honnête, le livre n'a rien de mauvais. On est dans une écriture de qualité, une romancière américaine contemporaine qui met en scène dans une espèce de mise en abîme une autre écrivain, poétesse celle-là, dont elle parsème son récit d'extraits de cette production imaginaire. Sauf que déjà, là, ça va mal : la poésie, j'aime assez, mais la poésie classique, format sonnet avec des rimes riches par exemple. Pas un espèce de truc contemporain perché basé sur l'écriture intuitive ou je ne sais quelle autre logique. Me voilà donc tentant de lire dans un sens et dans un autre ces brefs passages pour y trouver un sens justement avant de me décider à les zapper.

Ces digressions évitées, que raconte le coeur de l'intrigue ? Une femme à que son compagnon a avoué avoir une maîtresse, qui pète un plomb et a besoin de se reconstruire. Bon, soit. Alors allons-y doucement. Oui, enfin, pas trop doucement... Si ? Bon. Alors certes, j'exagère, il y a un peu d'action, comme la copine de la mère de la narratrice qui se casse la figure et craint d'aller à l'hôpital. Suspense... C'est sur qu'après Stephen King, ça change !... Il y a bien l'autre copine de la maman, la petite vieille qui brode des scènes de cul dans la doublure de ses couvertures. Sauf que poursuivre le livre pour UN personnage, qui n'est même pas le personnage principal, ça fait juste quand le reste ne nous retient pas...

Parce que non, la narratrice n'a pas non plus réussi à capter mon intérêt. Mon empathie pour elle semble s'être évaporée au fil des pages, à mesure qu'elle dénigrait les hommes et les rassemblait dans un pot commun de genre masculin inconséquent et irréfléchi. Alors que, elle, quand même, était la stabilité, la raison incarnée, qu'avec Boris elle a fait tout pour qu'il réussisse sa carrière (Boris qui entre nous soit dit semble surtout aux petits soins de madame qui reste pépère à la maison attendre que l'inspiration de la poétesse qu'elle est descende jusqu'à sa main et trace sur le papier des mots...). Bref, une espère de procès en règle des hommes sans que ces derniers puissent se défendre puisque les deux dont on parle au début (je me suis arrêtée à peu près à la moitié de l'histoire) sont Boris, son ex-compagnon, et le mari de la voisine qui n'est pas non plus décrit sous un jour avantageux... le tout servi par une plume peut-être de qualité, mais qui vire vite à l'hautain...
Lien : http://croqlivres.canalblog...
Commenter  J’apprécie          72
Ah, le piège de la jolie couverture... tu prends le bouquin avec un a priori favorable et tu te retrouve avec un truc insipide. Je n'ai même pas détesté ce livre, cela peut arriver sur un faux espoir ou une histoire qui ne tourne pas comme on voudrait, il m'a juste ennuyé.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
Commenter  J’apprécie          60
Une grand déception pour moi ce roman. J'avais été séduite par le format et la couverture de ce livre.
Mais il ne se passe rien du tout, je me suis ennuyée ferme!
Commenter  J’apprécie          50
Sans doute suis-je passée à côté de ce roman, car je n'ai pas véritablement saisi le sens que l'auteure a voulu donner à la retraite d'un "été sans les hommes" voulue par Mia, l'héroïne, et à cette expérience nouvelle vécue auprès de vieilles dames, dont sa mère, et de jeunes adolescentes attirées par la poésie.
Commenter  J’apprécie          40
Je n'ai pas pu atteindre la moitié du livre. Impossible de continuer et pourtant j'ai horreur de ne pas finir un livre. J'ai comme l'impression de laisser quelqu'un sur bord de la route. Ce livre n'a pas réussi à me captiver. Une autre fois peut-être, j'espère
Commenter  J’apprécie          40
Les premières pages m'ont perturbées. Pas de chapitre, pas de petite étoile pour délimiter les idées. Rien. Juste des paragraphes. J'ai vérifié (l'avantage du livre papier). Les paragraphes s'enchainaient sans « pause » pendant tout le livre. 213 pages. Mouais. Pourquoi pas …

J'ai commencé à lire. L'histoire d'une femme, une poète, qui est atteinte de « folie passagère » car le mari l'a abandonnée pour partir avec La Pause comme elle l'appelle, un retour chez sa mère octogénaire, entourée de ses « vieilles » amies, Les Cygnes, 7 jeunes filles, des cours de poésie, une voisine, ses enfants, des échanges avec sa fille, son mari et un(e) inconnu(e).

Les premières pages ont été assez compliquées à comprendre. J'ai trouvé le style assez lourd, et faute de chapitres ou signes distinctifs, les idées s'entremêlaient. La narratrice nous parlait d'une chose pendant 8 / 10 / 15 paragraphes, et sans s'y attendre, le paragraphe suivant concernait une toute nouvelle situation. Assez désarmant en fait. Il m'a fallu plusieurs fois lire et relire, pour comprendre.

Plus ma lecture avançait, moins je m'y retrouvais. Mais c'est qui Abigail ? Et Moki ? Ashley c'est laquelle ? Elle nous a déjà parlé d'une Lola ? Voilà à peu près à quoi ressemblait ma lecture. Je ne comprenais rien.

Et puis la narratrice, poète, nous parle de poètes ou d'écrivains, citant vers ou passages, totalement inconnus pour moi. Et d'un seul coup, dans ma tête ça a fait « Trop de références culturelles, tue la référence culturelles ». Je ne suis pas inculte, mais c'est presque ce que m'a fait ressentir ce livre.

Bref, j'ai continué, je voulais voir où ça allait me mener. Mais j'avais tellement de mal à comprendre et le style était si décousu (selon mon opinion) que je mettais un temps fou à passer les pages. Heureusement qu'il ne faisait que 213 pages au passage !

Et puis on m'a dit « Mais si tu n'aimes pas, arrête, change de bouquin ! ». J'y ai bien pensé, mais je n'ai jamais réussi à laisser un livre « en cours ». Je lis un livre à la fois. Point. Ça doit remonter à mon état d'esprit de collégienne, et ces profs de Français qui exigeaient qu'on termine les livres même si on ne les aimait pas. Bref, à ce moment là, je me disais qu'il me restait une centaine de pages, que j'allais m'accrocher. Que peut-être d'un coup, j'allais tout comprendre, que l'histoire allait se mettre en marche dans ma tête et que j'allais dévorer le bouquin.

Une centaine de pages. Quelques heures de lecture à peine pour un livre qui me plait. Près de 4 jours pour ce dernier. Et un sentiment de vide à la fin. Comme une perte de temps.

Car voilà. Je n'ai rien compris à l'histoire, je n'ai strictement RIEN compris ! Je ne pourrais même pas vous en parler. Je ne sais pas de quoi il devait parler. Je n'ai rien retenu. D'après certaines critiques que j'avais lu c'était « LE livre », « celui à ne pas rater », « un livre exceptionnel ». Bah moi, il ne m'a pas parlé ce bouquin …

Je n'ai pas compris le cheminement de la narratrice, j'ai compris la moitié des situations, mais j'ai l'impression que ça ne menait nulle part. Et puis ce titre « Un été sans les hommes ». Mouais. Les hommes (enfin, son homme) sont omniprésents. Elle ne parle, ne pense qu'à lui. Ceux des Cygnes sont morts depuis longtemps. Alors oui, elle passe l'été entourée de femmes, mais elle passe son temps à faire référence aux hommes.

Bref, je vais m'arrêter là de ma critique, comme j'aurais peut-être du m'arrêter lors de ma lecture avant d'en avoir terminé …

« Un été sans les hommes » est un livre que j'avais envie de lire. Un livre que je pensais aimer. Finalement, cela s'avère être une réelle déception. Je ne suis pas rentrée dans l'histoire, les idées se confondaient dans un style que j'ai trouvé décousu, lourd et difficile à lire. Ne me demandez pas de quoi il parlait … je n'en ai aucune idée !

Lien : http://vudemeslunettes.fr/20..
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (2029) Voir plus



Quiz Voir plus

Les emmerdeuses de la littérature

Les femmes écrivains ont souvent rencontré l'hostilité de leurs confrères. Mais il y a une exception parmi eux, un homme qui les a défendues, lequel?

Houellebecq
Flaubert
Edmond de Goncourt
Maupassant
Eric Zemmour

10 questions
565 lecteurs ont répondu
Thèmes : écriture , féminisme , luttes politiquesCréer un quiz sur ce livre

{* *}