AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,57

sur 453 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Voici une nouvelle enquête policière de Konrad, policier à la retraite, qui se retrouve lié à l'assassinat de Valborg, une femme en fin de vie.
Cette dernière avait sollicité Konrad, pour retrouver l'enfant qu'elle avait abandonné au début des années 70.
Une suite d'événements va faire éclater la triste vérité...
J'avoue ne pas avoir été transcendée par cette lecture un peu molle à mon goût.

Commenter  J’apprécie          40
C'est le second polar que je lis d'Indridason. le premier avait été @Hypothermie que j'avais beaucoup aimé. Celui-ci est le premier avec le héros Konrad.
L'intrigue : Une vieille femme, Valborg, demande de l'aide à Konrad, un ancien policier à la retraite, à retrouver son fils. Elle l'avait abandonné à la naissance suite à un viol mais aimerait maintenant le voir. Konrad refuse. Quelques jours après, Valborg se fait assassiner dans son appartement saccagé. L'enquêtrice Marta, retrouve le numéro de téléphone de Konrad, et l'appelle pour en savoir plus. Konrad pris de remord va essayer de réparer son erreur et enquête sur cette affaire.
Un polar attachant mais un peu lent et fouillis à mon goût.
Commenter  J’apprécie          470
Il va falloir s'y faire … Erllandur c'est fini !
Arnaldur a choisi de l'abandonner à son sort et est passé à Konrad … 4 livres sont prévu !
Tout a commencé avec « Ce que savait la nuit » où j'ai retrouvé le talent de l'auteur avec après Erlandur et ses fantômes, Konrad, nouveau venu, cet ex policier avec ses propres fantômes. On se balade dans le vieux Reykjavik avec ses anciens quartiers et nous croisons toujours la route d'individus qui ont une histoire, un vécu toujours émouvant. La grande Histoire de l'Islande est toujours sur notre chemin et l'on en découvre à chaque fois un nouveau petit morceau.
La suite était « Les fantômes de Reykjavik » une rencontre avec le milieu des médiums, ( milieu que l'auteur a côtoyé dans sa jeunesse ) et des interrogations qui nous font tourner en rond pendant des pages et des pages … on se retrouve pris au piège de l'histoire.
Nous voici maintenant avec « La pierre du remords »
Où on repart avec des médiums qui parsèment des pages et des pages de leurs délires … on y croit ou on n'y croit pas ?
Où on repart avec un petit couplet sur les violences contre les femmes … on essaie de faire quelque chose ?
Où on repart sur la piste d'un meurtrier quand même !
Les questionnements sur le passé des pères de Konrad et de Eyglo … qui est le plus méchant ? … qui a entraîné l'autre ?
Des passages malheureusement très courts, intéressants et innovants où un lieu choisi devient pendant quelques temps le centre du monde … une rue, des fenêtres avec des scènes de la vie quotidienne qui nous sont décryptées … comme un tableau aux multiples facettes.
Des passages inutiles qui veulent faire durer le suspense mais qui ne servent qu'à rallonger la sauce déjà bien diluée.
Globalement une lecture décevante … dans ce volume, le rythme manque, les personnages nous racontent peut être une histoire mais ils oublient de vivre et c'est vraiment dommage.
Commenter  J’apprécie          80
Même si le style est toujours intéressant
Je trouve que l'on retrouve les thèmes récurrents de ses autres romans
je n'ai pas été tenue en haleine comme dans les autres romans de cet auteur.
Les personnages sont assez superficiels et l'enquête un peu bâclée.
Relisez plutôt la femme en vert ou la cite des jarres.
Commenter  J’apprécie          10
Mon premier "polar islandais".
À en juger par les éléments de communication de certains éditeurs, ce petit pays nordique de 400 000 habitants serait en effet au roman policier ce que le Brésil est au football.
Je préfère éviter de dire ce que tout cela m'inspire...
Au chapitre des bonnes nouvelles, pas de tueur en série, pas de secte de tueurs fous, pas de cadavres mutilés/dépecés/brûlés/éviscérés/démembrés/crucifiés (cocher les cases de votre choix.)
Indridason se soucie de vraisemblance, et on ne peut que louer cette décision. Son histoire tient d'ailleurs à peu près la route et, même si elle met longtemps à se mettre en place (mais c'est un peu la rançon du polar, pour "protéger" la chute), cette histoire de tragédie familiale sur fond de viol et d'accouchement sous X, avec des allers retours entre les années 70 et notre époque, aurait pu m'émouvoir.
Aurait pu.
Encore pour ça aurait-il fallu que je n'aie pas constamment l'impression de lire une rédaction écrite par un élève de seconde.
Pour cela évidemment, je ne sais pas trop qui fustiger, quelle est la part de responsabilité entre l'auteur et le traducteur. Désolé, mais je n'ai pas trop l'intention de me mettre à l'Islandais pour trancher la question, d'autant qu'il paraît qu'il s'agit de l'une des langues les plus compliquées au monde.
Quand ce que dit quelqu'un vous révolte un peu, est-ce que vous diriez "mais enfin, pourquoi tu t'exprimes comme ça ?" ou "mais enfin, pourquoi tu dis ça ?"... Je vous laisse deviner ce que le traducteur a choisi.
Quand un type vient d'insulter le héros de tous les noms à plusieurs reprises, de refuser de lui parler, de le virer de chez lui et de lui claquer la porte au nez, est-ce que vous pensez nécessaire de préciser ensuite que "pour le peu qu'il le connaissait, cet homme était tout sauf sympathique." ?
Même en dehors de ces écueils qui m'ont fait lever les yeux au ciel (dialogues moisis, vérités de la Pallice...), le "style" est tellement, tellement scolaire que ça m'a empêché de ressentir la moindre empathie pour cette galerie de personnages et leurs tragédies personnelles.
J'ai lu l'année dernière "Le secret des andrônes" de Pierre Magnan, qui pour son malheur n'était pas Islandais, mais originaire des Alpes-de-Haute-Provence. Il s'agit d'un bon point de comparaison puisque le héros de Magnan, l'inspecteur Laviolette, est lui aussi un policier en retraite, comme le Konrad d'Indridason. Eh bien laissez-moi vous dire que c'est tout autre chose au niveau de la qualité de l'écriture, du lexique... Bref, du style, quoi !
Combien de fois faudra-t-il répéter qu'écrire un livre, ce n'est pas seulement mettre des phrases les unes derrière les autres pour raconter une histoire ?
Commenter  J’apprécie          130
Valborg, une femme âgée de soixante-neuf ans, sollicite une rencontre avec Konrad, ce policier veuf et à la retraite : elle cherche à retrouver un enfant qu'elle a donné en adoption il y a maintenant de nombreuses années.  Après en avoir discuté avec elle, il ne voit pas bien ce qu'il pourrait faire qu'elle n'a pas déjà essayé, et les choses en restent là.  Lorsqu'elle est retrouvée morte peu après dans son appartement, victime d'un meurtre sordide, Konrad est envahi de remords, s'en voulant de son indifférence, et il se lance sur la piste de ce qui a bien pu arriver à la mère et à l'enfant, tout en continuant d'enquêter sur le meurtre de son père. Bien que les thèmes qu'aborde Arnaldur Indridason soient intéressants comme toujours du point de vue du territoire social de son écriture - il aborde la question des violences conjugales et de l'avortement en Islande dans les années soixante-dix -, il m'a semblé que l'intrigue de ce troisième tome des enquêtes de Konrad était plus linéaire que les précédentes et un peu moins rondement menée, traînant même en longueur pour ce qui est de la mort du père de ce dernier. Et que dire des personnages féminins, qui gagneraient à être un peu plus développés, en particulier la commissaire Marta qu'Indridason cantonne dans un rôle de faire-valoir ronchonneuse, et Eyglo, la fille du médium qui avait monté une escroquerie avec le père de Konrad, qui amène une touche surnaturelle qui pourrait être plus exploitée.
Commenter  J’apprécie          200
Une vieille dame est sauvagement assassinée dans un appartement au coeur de Reykjavik. Peu avant sa mort, elle avait contacté l'ex-inspecteur Konrad pour qu'il retrouve son enfant disparu. Il lui avait opposé un refus ferme mais pris de remords, il est désormais déterminé à accomplir la mission qu'elle voulait lui confier. En parallèle, il cherche aussi à élucider le meurtre de son propre père, disparu depuis de longues années mais dont on n'a jamais retrouvé l'assassin.

Un polar nordique de facture assez classique et sans retournement de situation spectaculaire. L'écriture est fluide est agréable mais on se perd un peu dans les nombreux personnages des deux enquêtes menées de front. Il apparait aussi rapidement que certains éléments de l'histoire sont liés à d'autres romans de l'auteur mais ce n'est pas vraiment un problème, d'ailleurs je n'en avais lu aucun avant. Agréable, donc mais pas renversant.
Commenter  J’apprécie          70
Konrad est un personnage attachant. Solitaire, introverti, mais terriblement humain. C'est lui qui sauve l'intrigue qui n'est pas haletante de mon point de vue. Deux histoires en parallèle (celle du passé de Konrad, et l'enquête en elle même) m'ont fait perdre l'attrait du départ au fur et à mesure.
Je n'ai pas retrouvé non plus cette Islande que j'adore!
Un livre distrayant toutefois si vous souhaitez vous installer au chaud avec une bonne tasse de thé pour un après-midi.


Commenter  J’apprécie          30
un meurtre a été commis, un policier à la retraite est pris de remords car la personne décédée l'avait sollicité quelque temps auparavant pour lui confier une enquête.

Nous partons donc à la recherche de l'assassin de cette femme sans histoire. Cette quête va nous mener plus loin qu'imaginé au départ. Les actions de cet ancien policier porteront ils leurs fruits ?
Commenter  J’apprécie          10
Konrad, ancien policier à la retraite aurait dû aider cette femme qui vient d'être assassinée. Elle l'avait contacté pour qu'il puisse retrouver son enfant qu'elle avait abandonné à la naissance il y a 50 ans. Il se culpabilise, il va donc essayer de retrouver et l'assassin et cet homme. Il est aussi en quête de son histoire personnelle , la mort de son père. Deux histoires en parallèle qui se suivent très bien . Une enquête dans la souffrance, des retours en arrière, l'abandon, la maltraitance.
Se lit facilement.
Commenter  J’apprécie          90




Lecteurs (1087) Voir plus



Quiz Voir plus

Arnaldur Indridason

Un soir glacial de janvier, un petit garçon asiatique de 12 ans qui rentrait de son école est assassiné au pied d’un immeuble de la banlieue de Reykjavik.

La Cité des jarres (2005)
La Femme en vert (2006)
La Voix (2007)
L'Homme du Lac (2008)
Hiver arctique (2009)
Hypothermie (2010)
La Rivière Noire (2011)
Betty (2011)
La Muraille de lave (2012)
Etrange Rivage (2013)

10 questions
271 lecteurs ont répondu
Thème : Arnaldur IndriðasonCréer un quiz sur ce livre

{* *}