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Il y a quelques mois, je me suis acheté La Bibliothécaire d'Auschwitz de Antonio Iturbe suite à la très bonne critique du babelionaute La_Bibliotheque_de_Juju, que je remercie pour la découverte.
Je prends enfin le temps de le chroniquer à mon tour :)
A quatorze ans, Dita est une des nombreuses victimes du régime nazi.
Avec ses parents, elle est arrachée au ghetto de Terezín, à Prague, pour être enfermée dans le camp d'Auschwitz. Là, elle tente malgré l'horreur de trouver un semblant de normalité.
Quand Fredy Hirsch, un éducateur juif, lui propose de conserver les huit précieux volumes que les prisonniers ont réussi à dissimuler aux gardiens du camp, elle accepte.
Au péril de sa vie, Dita cache et protège un trésor. Elle devient la bibliothécaire d'Auschwitz.
Ce roman est inspiré d'une histoire vraie car Dita, la bibliothécaire d'Auschwitz a réellement existé. C'est donc son histoire, romancée un peu évidemment, que nous raconte l'auteur.
J'attendais beaucoup de ce roman, j'avais un peu peur d'être déçue. Que nenni ! Non seulement je n'ai pas été déçue mais en plus je me suis pris une grande claque.
Que ces hommes et femmes étaient courageux !
Défendre leurs convictions, défendre des livres envers et contre tout, il fallait le faire.
L'amoureuse des livres que je suis a forcément été touché par cette histoire. Non seulement les allemands enfermaient les Juifs dans des conditions épouvantables (quand ils ne les assassinaient pas..) mais en plus, il n'avaient pas le droit de lire, s'instruire. Aberrant !
J'ai été très touchée par le personnage de Dita et de ceux qui gravitent autour d'elle.
L'histoire est très bien ficelée, il y énormément d'émotions en tout genre et je pense souvent à l'histoire de la jeune Dita.
C'est un roman marquant, difficile à oublier.
J'ai adoré cet ouvrage, et je ne peux que vous inviter à le découvrir à votre tour.
Ma note : un énorme cinq étoiles.
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Dita Adlerova a 14 ans quand elle est transférée avec ses parents du ghetto de Terezin, à Pragues, vers Auschwitz-Birkenau, dans un camp réservé aux familles. Il est inédit de réserver un espace aux familles dans un camps où les enfants sont normalement gazés dès leur arrivée. Pourtant, voulant avoir une façade de pacotille à présenter aux instances étrangères qui s'interrogeraient sur la nature du lieu, les Allemands ont décidé de ne pas exterminer tout de suite tous les enfants et de ne pas séparer immédiatement toutes les familles.
C'est dans ce contexte que Fredy Hirsch, un éducateur juif a fait du Bloc 31 un havre de connaissances et d'une certaine légèreté pour des centaines d'enfants. Partant du principe que "chaque fois que quelqu'un s'arrêtera dans un coin pour raconter quelque chose et que des enfants s'assiéront pour écouter, une école aura été fondée", Hirsch est parvenu à sauver 8 livres de la destruction. Dita en sera la gardienne, au péril de sa vie, jusqu'à la fermeture du camp familial.

Dans la réalité, Dita Adlerova, c'est Dita Kraus, 91 ans aujourd'hui. L'auteur a souhaité s'inspirer de son histoire sous une forme romancée bien avant que la rescapée décide de publier ses mémoires en 2020. Vu les rencontres régulières entre l'auteur et Dita, encore aujourd'hui, l'on peut avoir l'assurance que le roman reste proche de la réalité. Antonio G. Iturbe expliquera quelques uns des éléments qu'il a "inventés" à la fin de l'ouvrage.

La Bibliothécaire d'Auschwitz, c'est un livre poignant mais jamais larmoyant. A l'image de son héroïne, qui a plié maintes fois, sans jamais se briser ou se plaindre. L'auteur, très bien documenté, a dressé un portrait sans concession de ce camp d'extermination et de ses prisonniers. Au-delà du personnage de Dita auquel on s'attache presque immédiatement, il a aussi pris le temps de s'attarder sur plusieurs personnages secondaires qui, à leur manière, ont aussi fait L Histoire.

Le roman de Antonio G. Iturbe est non seulement un vibrant hommage à Dita mais aussi à toutes ces personnes qui ont eu le courage d'agir, chacun dans la mesure de ses moyens, pour tenter de garder une étincelle dans le regard des enfants à qui tout avait été volé. C'est aussi un beau plaidoyer pour la littérature et son impact sur la liberté d'esprit des lecteurs, quelles que soient leur conditions de vie.
Parce que les Nazis avaient décidé d'interdire les livres, armes puissantes qui permettaient aux individus de réfléchir, c'était donc une résistance forte que d'en conserver et d'en passer le flambeau vers la génération suivante. L'Histoire nous apprendra que tous les dictateurs, à travers le temps et le monde, auront toujours pris soin de supprimer les livres. Et de tout temps et à travers le monde, une poignée d'individus prendra des risques pour sauvegarder ces outils qui permettent de s'évader même en prison.

Dans la version française qui ne date que de 2020, l'auteur a ajouté en fin d'ouvrage plusieurs récits de rencontres qu'il a eues avec Dita Kraus depuis la parution du roman en 2012, que ce soit à Prague, Jérusalem ou Barcelone. Cet addendum ajoute encore, si nécessaire, à l'admiration que l'on ne peut que ressentir face à cette femme forte, qui a risqué sa vie à 14 ans, pour préserver la connaissance.
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Ce livre est bouleversant et terrifiant. J'ai déjà eu l'occasion de lire d'autres livres sur le sujet, mais celui-ci se démarque vraiment par l'écriture de l'auteur et les descriptions encore plus poussées qu'il a faites de la vie, du quotidien et de l'horreur qui régnait à Auschwitz.

Je me suis profondément attachée à Dita, cette jeune fille ayant réellement existée et qui est toujours parmi nous (Dita Polachova / Dita Kraus), je suis admirative de son courage et de sa volonté, de son amour des livres et sa force qui lui ont permis d'avancer dans cet enfer.

Je ne connaissais que vaguement le fait qu'il y ait eu un camp familial à Auschwitz pour faire façade au cas où des délégations internationales ou la Croix Rouge venaient en visite, et ai donc apprécié en apprendre plus sur ce sujet.
Je souhaite le dire encore une fois, je suis admirative de ces gens, ces professeurs qui ont essayé de garder un semblant d'enseignement pour les enfants, qui ont tenté à tout prix de leur changer les idées et à cette bibliothécaire qui leur a donné accès aux livres au péril de sa vie.

La psychologie des personnages a été décrite avec finesse ce qui a permis à l'auteur de remettre dans la lumière certaines personnes un peu oubliées de l'Histoire, notamment Fredy Hirsch, jeune homme intelligent, entraîneur sportif et prêt à tout pour aider les enfants.

J'ai été bouleversée par de très nombreux passages, par l'envoi massif et régulier de hordes de personnes juives dans les chambres à gaz, les sélections drastiques, la cruauté de Mengele qui terrorisait tout le monde, passait en sifflant des airs de musique classique avant de retourner à ses expériences. Nous savons tous bien sûr les conditions de vie à Auschwitz, mais voir ainsi décrit le quotidien des prisonniers peut parfois être insoutenables : le quignon de pain et le semblant de soupe pour toute nourriture, le froid, les maladies et les poux, le travail harrassant, la cruauté des kapos, des nazis, mais aussi parfois des autres prisonniers : les délations pour une cigarette ou une portion supplémentaire, les vols de gamelles etc.

Ce pan de l'Histoire est horrible et il est absolumeny nécessaire de continuer à écrire sur ce sujet, afin de ne pas oublier ce qui a été, ceux qui ont disparu, et pour espérer que cela ne se reproduise jamais.
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Auschwitz, ses chambres à gaz, ses milliers de vies anéanties par la barbarie des hommes.

Et pourtant, durant ces années sombres où l'indicible s'est produit, une dernière once d'humanité a subsisté. Car dans le bloc 31, environ cinq cents enfants sont regroupés avec leurs familles. Et grâce à l'admirable Fredy Hirsch, un enseignant juif, une "école" est fondée. Une bibliothèque clandestine est alors constituée, composée de huit livres. Si leur quantité peut sembler dérisoire, elle se révèle des plus précieuses à Auschwitz, dans ce lieu où les chances de survie sont quasi-inexistantes. Une arme contre la folie des hommes, un précieux allié contre la faim et la mort qui rôdent sans cesse.

C'est Dita, une adolescente tchèque de 14 ans, qui se retrouve à la charge de cette inestimable collection. Des livres qu'elle fait circuler et qu'elle cache dans ses vêtements au péril de sa vie.

J'ai beaucoup lu sur l'Holocauste mais j'ignorais tout de l'existence de ce bloc 31 à Auschwitz. le romancier espagnol nous retrace ici l'histoire incroyable de ces livres qui ont sauvé des vies. Grâce au courage de la jeune Dita, une poignée d'hommes et de femmes ont pu se soustraire à leur terrible quotidien et s'accrocher à une étincelle de vie, si infime soit-elle.

Parce que le devoir de mémoire doit perdurer, cette lecture est indispensable. Si son sujet est difficile et bouleversant, l'espoir demeure malgré tout au fil des pages.

J'ai particulièrement apprécié la postface de l'auteur qui évoque notamment ses entrevues avec Dita Kraus, toujours en vie aujourd'hui et rescapée de cet enfer.

Un roman captivant, poignant et nécessaire que j'ai lu d'une traite.
Lien : https://mesechappeeslivresqu..
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Après avoir lu de beaux avis sur Babelio, j'ai eu envie de découvrir à mon tour ce livre.
Antonio Iturbe est un journaliste, romancier espagnol connu pour ses livres jeunesse. Il s'est entretenu avec Dita Kraus, la véritable bibliothécaire d'Auschwitz.
Dita, jeune fille juive de 14 ans, vivant à Prague, se retrouve en 1944 au camp d'Auschwitz dans le bloc 31. Elle va devenir la gardienne de 8 livres. Elle endosse cette responsabilité au péril de sa vie dans un camp de concentration, où chaque jour est déjà une lutte pour sa survie, tout cela au milieu de l'horreur que les SS leur font subir.
C'est un récit émouvant. Un roman entre fiction et réalité. Il y a beaucoup d'émotions, beaucoup d'humanité. C'est une leçon de courage et de ténacité, des gens ordinaires qui sont devenus des héros. A travers Dita, l'auteur nous raconte la vie dans le camp, les subterfuges mis en place pour l'évasion de l'esprit, le pouvoir des livres et des mots.
Une lecture qui n'est pas facile, car le sujet ne l'est pas, mais qui est très intéressante.
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C'est un livre au récit très dur mais que je voulais lire depuis sa sortie. Et il est d'autant plus difficile quand on sait qu'il est inspiré d'un fait réel et que les protagonistes existent ou ont réellement existé, ce que je ne savais pas avant de le commencer.
On ne peut que s'attacher à Dita, notre jeune bibliothécaire clandestine du bloc 31 du camp de concentration d'Auschwitz. L'auteur la dépeint telle une héroïne et c'est véritablement ce qu'elle est. On ne peut également que ressentir de la compassion, pour elle, mais aussi pour tous les détenus qui partagent son quotidien dans ce camp de la mort. Tout comme on ressent de l'aversion, ou plutôt tout simplement de la haine, envers les nazis.
Il y a un nombre incalculable de livres relatant cette période, et j'en ai lu un paquet. Et pourtant, je me pose encore et toujours les mêmes questions... Comment tout ça a pu être possible ? Comment un seul homme a-t-il pu embrigader tous ces gens ? Comment ont-ils pu commettre toutes ces barbaries ?
En lisant ce roman, on ne peut, encore une fois, que se rendre compte de la réalité de ces événements. On accompagne les protagonistes dans la souffrance, la faim, les maladies, des conditions de (sur)vie déplorables, la peur, le désespoir... Et quand arrivent enfin la fin de la guerre et la liberté, il est trop tard pour des milliers et des milliers de personnes...
Un roman difficile mais nécessaire, dont la plume puissante de l'auteur nous relate toute l'horreur de cette période dans les camps de la mort. Période qui ne doit pas être oubliée car les conséquences sont beaucoup trop graves...
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Une plongée dans l'abîme
J'ai lu beaucoup de livres sur les camps , l'holocauste
A chaque fois j'essaye de comprendre ce peuple juif et ces bourreaux
Cette petite Dita , bibliothécaire du sinistre camp d'Auschwitz -Birkenau m'a beaucoup touché
Comme tous les autres
Vivre dans le chaos , la déchéance ,l'humiliation permanente , la mort qui rôde
Je suis allée voir les photos de Dita Kraus la véritable petite fille qui a survécu à la Shoah
Elle qui a caché des livres comme des trésors , elle
a risqué sa vie , elle n'a jamais baissé les bras devant l'adversité
Quelle leçon .........qu'aurions nous fait nous tous , qui en ce moment nous rebellons contre le port " d'un masque " .................
A chaque lecture/témoignagne sur les camps je suis horrifiée , bouleversée
L'humain considéré comme un rien , sans valeur ; exterminé , humilié , rabroué , auquel on enlève tout
En 2020 Dita est toujours avec nous , les survivants de l'horreur sont de moins en moins nombreux
Mais il ne faut JAMAIS oublier cette idéologie immonde qui a permis l'extermination de plus de 6 millions de juifs , et d'autres aussi
Ne jamais oublier la bassesse humaine de ces nazis et se souvenir que quand on commence à stigmatiser un peuple , une race , une religion , une couleur de peau nous allons vers l'infecte , l'immonde
Ce livre est une leçon d'espoir , de vie , de force
Gardons en mémoire la souffrance de tous ces gens



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La bibliothécaire d'Auschwitz d'Antonio G. Iurbe est un roman tirée de l'histoire vraie de Dita Polachova.
A quatorze ans, Dita est d'abord emmené avec sa famille juive au ghetto de Terezín, à Prague, puis ils vont être déportés dans le camp d'Auschwitz.
Elle fréquente le bloc 31, où Fredy Hirsch, un éducateur juif, a créé une école. Son rôle va être de conserver, au péril de sa vie, les huit livres que les prisonniers ont réussi à dissimuler aux gardiens du camp, et de les sortir chaque jour pour animer cette "école". Voici pourquoi elle a la surnom de bibliothécaire d'Auschwitz. On la suit dans son quotidien jusqu'à la libération.
L'auteur, à la fin du livre, nous raconte ensuite ce qu'elle est devenue ensuite et il a pu la rencontrer plusieurs fois. Elle est toujours en vie à 93 ans.
C'est un livre vraiment passionnant, et le courage de cette jeune fille est incroyable.
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"La bibliothécaire d'Auschwitz" d'Antonio G. Iturbe est époustouflant. L'auteur rend hommage à une personne qui a permis à de nombreux enfants d'avoir accès à des livres : Dita. Dita est une personne ayant réellement existé et qui est vivante aujourd'hui. Antibiotiques G. Iturbe est en contact régulier avec elle.

Pour en venir concrètement au livre, le récit nous donne l'impression de vivre à même Auschwitz avec Dita et ses camarades. On survit avec eux.

Dita est la jeune bibliothécaire du bloc 31 d'une bibliothèque clandestine qu'elle gère sous la direction de Freddy Hirsch. Elle se doit de transmettre les livres à l'école, de les cacher et d'en prendre soin.
Au-delà de la bibliothèque, la survie est de rigueur et, ça, Dita l'a bien compris : elle verra de nombreux proches transférés dans d'autres camps, et y mourir ou voir la mort en face, notamment celle de son père puis de sa mère.
Même si tout se passe bien pour l'école et la bibliothèque, du jour au lendemain, Dita va devoir dire au revoir à de nombreuses personnes y compris son ami de toujours : Freddy Hirsch.

Malgré les transferts et morts de ses proches, Dita sent la tension allemande monter. L'étau se resserre autour d'eux. La fin est proche, et ce sera le cas.

Dita vivra dans de meilleures conditions et heureuse. En effet, elle trouvera l'amour en un des éducateurs de l'école du bloc 31 : Oto Kraus avec qui elle aura 3 enfants.

Dans ce roman poignant, Iturbe évoque différents personnages plus ou moins importants et leur devenir. Il fait également référence à Anne Frank et son célèbre journal "Le journal d'Anne Frank" dont j'en recommande fortement la lecture.

Si vous voulez vivre au plus près cette période sinistre, empruntez-le ou achetez-le au plus vite, c'est une lecture hautement recommandée tant j'ai aimé le lire !
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Après avoir vu de multiples avis élogieux sur ce livre, j'avais très envie de le découvrir à mon tour. Avant toute chose, je tiens à préciser que je lis peu de romans historiques et encore moins quand ils traitent de la Première ou Seconde Guerre Mondiale. Je ne sais jamais si mon coeur trop sensible pourra résister à ces lectures. D'ailleurs, j'évite aussi les reportages et films qui abordent cette période car cela me rend malade de voir ce que l'être humain a été capable de faire. Je pense donc que mon propos ne s'adressera peut être pas aux amateurs du genre.

Après de nombreux essais et même un test en version audio, je n'ai malheureusement pas réussi à rentrer dans ce récit. J'ai abandonné ma lecture passé le premier tiers. Mon retour est donc potentiellement incomplet et à prendre avec des pincettes.

L'auteur fournit de nombreux détails, trop à mon goût. L'intrigue n'est pas centrée uniquement sur le personnage de Dita. Au contraire, Antonio G. Iturbe nous présente un panel assez large de protagonistes. On revient sur le passé de certains, leur vie aux camps, des anecdotes diverses. Finalement, j'ai trouvé que la narration manquait de fluidité et demandait une certaine concentration pour identifier et enregistrer les différents acteurs de cette histoire. Je n'ai pas non plus aimé être baladée de droite à gauche, d'avant en arrière. L'auteur propose une véritable gymnastique temporelle que je n'ai pas appréciée.

D'autre part, je n'ai pas réussi à ressentir assez d'émotions. Quand je lis, j'aime être transportée, vibrer, sentir l'angoisse, la joie et toutes ces émotions que les auteurs peuvent transmettre par leurs écrits. Ici, je suis vraiment restée sur le banc de touche ce qui ne m'a pas aidée à entrer dans cette lecture et à vouloir y rester. J'ai l'impression d'être la seule au vu des avis dithyrambiques que j'ai pu lire.

J'ai essayé de persévérer car je voulais vraiment donner une chance à ce récit, d'autant plus qu'il est inspiré d'une histoire vraie. Après quelques chapitres, je n'ai pas souhaité poursuivre et affronter les 400 pages restantes. J'en suis la première déçue. Je m'attendais peut être à retrouver la même intensité que lors de ma lecture du roman de Tatiana de Rosnay intitulé Elle s'appelait Sarah.

En bref, La Bibliothécaire d'Auschwitz est un roman très instructif, bien documenté mais je n'ai pas réussi à me plonger dedans. Je l'ai abandonné au bout de 200 pages.
Lien : https://alexlovebooks.home.b..
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